Cet espace intérieur de liberté où je peux ne pas être complice du mal

« Le mal qui m’environne ne m’atteint, ne devient un mal pour moi que lorsqu’il trouve en moi une certaine complicité, que si c’est moi qui le laisse pénétrer dans mon cœur. Je dispose d’un espace de liberté que personne ne peut me ravir, car c’est Dieu qui en est la source et le garant. Quand je déploie en moi cet espace intérieur de liberté, je cesse de vivre à l’étroit dans mon cœur et rien ne pourra véritablement m’opprimer ni m’étouffer » (Jacques Philippe, La Liberté intérieure).