Ho’oponopono est un mot qui signifie en hawaïen « réparer », « faire la paix ».
Ho’oponopono est une vieille pratique hawaïenne, reconnue en tant que « trésor vivant » du pays (placé dans la Constitution d’Hawaï en 1993).
Sa version popularisée est très simplifiée = 4 phrases à répéter :
Je suis désolé.e.
S’il te plaît, pardonne-moi.
Merci.
Je t’aime.
À vrai dire, la pratique complète stimule des initiatives qui contribuent à la guérison et à la réconciliation, à partir de la paix intérieure : sagesse traditionnelle et universelle d’admettre, demander pardon et libérer, remercier et envoyer de l’amour.
« Je ne suis jamais nostalgique du passé. Je suis nostalgique de l’infinie possibilité de commencer » (Marion Muller-Colard, Le petit théâtre de Hannah Arendt).
« Il dort, dit la lune. Et lentement, elle commença à égrener un chapelet d’étoiles. Les étoiles se plaignaient doucement. La comète qui servait de pendentif brillait de mille feux. Et je me demandais combien de temps encore durerait cette incantation. La lune priait ! Les étoiles une à une pâlissaient et le matin blêmissait mes tempes » (Robert Desnos, La liberté ou l’amour, 1927).
Quand un tambour ou un diapason vibre, s’il y a, à ses côtés, sur la même fréquence, un compère / confrère (on est entre pairs), celui-ci se mettra à résonner. Nous faisons de même entre nous et avec le monde à chaque instant ! Osons entre nous jouer notre rôle de vibromasseurs, ma sœur …et mon frère !
« Plus nous sommes en cohérence cardiaque, plus notre champ magnétique est cohérent. Cela a un impact sur l’entourage, cela élève l’énergie des autres » (Rollin McCraty, du HeartMath Institute). Ce chercheur le montre avec, à l’appui, des courbes de synchronisation que des instruments de mesure en laboratoire objectivent : impressionnante visualisation de l’impact de nos fréquences vibratoires. Voir mon post de demain sur les ‘ondes & résonance de Schumann’…
« Exaucer la Trinité = nous ouvrir à ce don qu’Elle EST en permanence » (Maurice Zundel, Un autre regard sur l’homme).
Que les cailloux sur le chemin soient reçus comme des cadeaux pour accéder à l’Amour véritable.
Que les obstacles dans les relations soient accueillis comme des opportunités. C’est dans nos tombeaux que le cadeau de la Résurrection peut être déballé.
Quelle joie de folâtrer en Laponie avec les douces et généreuses queues de renard ! D’après la mythologie d’ici, les renards arctiques sont à l’origine des aurores boréales, courant dans le ciel si vite que la fourrure de leur queue, en frôlant les montagnes, produit des étincelles illuminant le ciel.
Variante explicative : lors des fréquentes éruptions solaires, des particules sont propulsées du soleil et véhiculées jusqu’ici par le vent solaire. Le champ magnétique terrestre, qui nous protège des ardeurs de l’astre solaire, ne leur permet de pénétrer l’atmosphère que par les pôles. Au contact de ces particules, le gaz en haute atmosphère se consume : si c’est de l’oxygène (cas/gaz le plus fréquent), cela donne une aurore boréale aux couleurs vertes !
L’aurore boréale est d’autant plus intense que 1) le vent solaire a de la vitesse, 2) qu’il est dense, 3) que le pôle magnétique est faible, 4) que le ciel est dégagé, 5) que la lune est à un moment faible de son cycle. Ainsi, le 6 novembre 2023 a été exceptionnel : une aurore boréale puissante a été vue jusque dans le nord de l’Italie, alors même qu’elle fut invisible à Rovaniemi (car alors sous intense chute de neige).
Les appareils de photo sur pied obtiennent des clichés bien meilleurs que ce que capte l’œil humain, grâce à leurs différents réglages et longueurs d’exposition.
Au Moyen-Âge, on utilisait l’expression « de bon oeil », qui signifiait « avec franchise ». Ensuite, du XVIe au XVIIe siècle, on employait « aller de bon pied » pour dire que l’on marchait à bonne allure. C’est au XVIIe siècle qu’est née l’expression « bon pied, bon oeil » dans laquelle le bon pied symbolise la stabilité + la rapidité et le bon œil dit la vue perçante. Avoir « bon pied, bon oeil » signifie donc que l’on est en bonne santé, que l’on reste vif malgré l’âge.
Un pèlerin en chemin vers Compostelle, une petite corne tenue en bandoulière, s’arrête à chaque croisement pour prendre une large inspiration et faire alors résonner la corme devant lui. C’est sa manière originale de prendre la mesure des différents chemins qui s’offrent à lui et de vivre un retour à soi, pour sentir à l’intérieur, avant d’assumer le choix à prendre à l’extérieur : telle voie et non telle autre…
Deutéronome 30,15.19 : « Vois, je mets aujourd’hui devant toi ou bien la vie et le bonheur, ou bien la mort et le malheur. Je mets devant toi la vie ou la mort, la bénédiction ou la malédiction. Choisis donc la vie, pour que vous viviez, toi et ta descendance ».
« Écouter ce que dit le vent quand il ne dit plus rien mais reprend souffle et se souvient d’avoir été si haletant après sa course sa course de vent qui court après le vent
Que dit le vent quand il se tait ? Que dit le silence du vent ? Écouter ce que dit pluie quand un instant elle fait halte et cesse l’espace de trois mesures de tambouriner ses doigts d’eau sur le toit et sur les carreaux Que dit la pluie quand elle se tait ? Que dit le silence de la pluie ?
Écouter ce que dit la mésange nonnette quand elle suspend ses roulades et que son chant dans le matin clair reste en filigrane dans l’air Que dit l’oiseau quand il se tait ? Que dit le silence de la mésange ?
Le silence dit que le silence écoute couler la source du chant » (Claude Roy).