« La muse : ce souffle divin qui donne vie aux chefs-d’œuvre, guidant la main de l’artiste vers des sommets insoupçonnés » (Victor Hugo).

La bibliothèque d'Étienne Chomé
Jeux du "je" jusqu'au coeur du coeur
« La muse : ce souffle divin qui donne vie aux chefs-d’œuvre, guidant la main de l’artiste vers des sommets insoupçonnés » (Victor Hugo).
Voici une énigme à laquelle le roi
Salomon répondit immédiatement :
Quand les 9 commencent,
les 7 cessent.
Et quand les 9 cessent,
les 2 donnent à boire
et 1 seul boit !
De quoi s’agit-il ?
Réponse :
Il est question de la naissance d’un enfant.
9 mois de grossesse
7 jours (le temps des règles)
2 seins et 1 bébé !…
« J’aime me promener dans les bois, sur les sentiers,
le long des plages. J’aime faire partie de la nature.
J’aime marcher seule. C’est une thérapie.
Il faut être seul pour se ressourcer »
(Grace Kelly).
Que dit un crayon à un taille-crayon surbooké ?
…
…
« Prends ton temps,
je ne voudrais pas que tu te blesses
quand tu te tailles ou tu te pointes ! »
Qui ne connaît pas ce jeu en groupe : tous assis par terre en cercle, tournés vers l’intérieur, en chantant « Ne regardez pas le renard qui passe mais regardez-le quand il est passé ». Sauf un (le renard) qui en fait le tour extérieur et lâche son mouchoir le plus discrètement possible dans le dos d’un du groupe. Tant que le marcheur ne m’a pas dépassé, je n’ai pas le droit de regarder dans mon dos. Si j’ y trouve le mouchoir, je le saisis, me lève au plus vite pour rattraper le marcheur devenu coureur, lequel relève son défi s’il parvient à faire le tour et à s’asseoir à ma place vacante ; je suis alors bon pour le remplacer. Sinon il reste le porteur du mouchoir à larguer. Le top du top pour lui est de parvenir à faire le tour complet à son aise, sans que je n’ai remarqué le mouchoir dans mon dos.
Quand j’étais petit, j’adorais ce jeu où plus on est nombreux, mieux c’est !
Aujourd’hui, quand je suis à l’étranger, j’aime demander aux gens s’ils connaissent ce jeu. Et je suis impressionné par le nombre de variantes : la clé de Saint Georges (« Je porte, je porte, la clé de Saint Georges ; quand je l’aurai assez portée, je la laisserai tomber au pied d’un rocher ») ; le jeu du facteur (la clé est un colis postal : « Le facteur n’est pas passé, il ne passera jamais, lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi, dimanche ») ; « Train, train, train balai » ou « Traîne-traîne, mon balai » ; « À la une, à la deux, à la trois dans la boîte à chocolat » ; « À la quatre, à la cinq, à la six… mangez un petit suisse… ».
Version anglophone : duck, duck, goose : pas de mouchoir mais celui qui court est le picker qui pointe chacun de ses camarades comme duck (canard), jusqu’à ce qu’il choisisse the goose (l’oie) qui doit lui courir après…
Bonnes digestions de ce passage 2024 – 25 !
Si tu te sens trop âgé pour rock ‘n’ roll, alors tu l’es !
« For those about to rock, we salute you (Pour ceux qui sont sur le point de se faire un rock, nous vous saluons) » (AC/DC, légende du hard rock).
« Pourquoi un dattier perd-il ses feuilles en automne ?
Pourquoi chaque beau visage devient-il dans la
vieillesse ridé comme le dos d’un lézard lybien ?
Pourquoi une tête chevelue devient-elle chauve ?
Pourquoi est-ce que la force du lion
faiblit jusqu’à disparaître ?
Ils ont mis des robes empruntées
et prétendu qu’elles étaient les leurs.
Dieu reprend les beaux vêtements,
pour qu’ils apprennent la fugacité
de la robe de l’apparence.
Leur lampe est allumée par une autre lampe.
Il est temps de le reconnaître et d’en
rendre grâce avec gratitude »
(Rûmi, La vieillesse).
« Souviens-toi de ton Créateur avant que s’obscurcisse le soleil, au jour où tremblent les gardiens de la maison, où se courbent les personnes vigoureuses qui cessent, l’une après l’autre, de moudre, quand s’éteint la voix de la meule, quand s’arrête le chant de l’oiseau, et quand se taisent les chansons, lorsque l’humain s’en va vers sa maison d’éternité et que les pleureurs sont déjà au coin de la rue, avant que le fil d’argent se détache, que la lampe d’or se brise, que la cruche se casse à la fontaine, que la poulie se fende sur le puits et que la poussière retourne à la terre comme elle en vint, et le souffle de vie à Dieu qui l’a donné. Vanité des vanités, tout est vanité ! » (Qohéleth, 11).
« Il est permis de dépasser les bornes,
à condition toutefois de rester dans les limites »
(Pierre Dac).
« Optimiste = personne qui suppose
que faire un pas en arrière
après avoir fait un pas en avant
n’est pas un désastre mais
un cha-cha-cha » (Robert Brault).
Être h s = être hors service.
Et au figuré : personne très fatiguée et indisponible.
Impressionants récit-reportage + prises de vues video
dans Paris lors des inondations de 1910 :
https://www.youtube.com/watch?v=F3Onvwfbclg
Le maréchal de Saxe s’adresse à un soldat, condamné à être pendu pour un menu larcin :
– II faut que tu sois bien misérable pour risquer de perdre ta vie pour six livres.
– Parbleu, mon général, je la risque bien tous les jours pour cinq sous.
Cette réponse lui valut la grâce.
Il fait F . R . O . I . D :
c’est comme ‘froid’,
sauf qu’on se l’épelle
dans l’hémisphère Nord.
Ceci dit, moi, je savoure les 25° du décembre égyptien…
Et courage à l’hémisphère Sud qui bascule dans de fortes chaleurs…
Comme quoi, nos lieux relativisent nos temps : l’hiver a été / à l’été !
Quand chacun parle à partir de ses propres perceptions, cela donne :
Quand certains projettent sur l’autre, cela donne :