
« L’Amour est au-delà
du temps et de l’espace.
Nulle distance ne peut
empêcher un cœur de battre.
Lorsque Sa lumière brille,
le ciel s’embrase,
le cœur se consume
dans l’infini de la vie »
(Frédéric Cordier).
La bibliothèque d'Étienne Chomé
Jeux du "je" jusqu'au coeur du coeur
« L’Amour est au-delà
du temps et de l’espace.
Nulle distance ne peut
empêcher un cœur de battre.
Lorsque Sa lumière brille,
le ciel s’embrase,
le cœur se consume
dans l’infini de la vie »
(Frédéric Cordier).
De la pax romana à la pax americana,
en passant par les pax francesca et britannica,
« la civilisation trace des chemins droits,
mais les chemins tortueux sans profit
sont ceux-là même du génie »
(William Blake, Le mariage du ciel et de l’enfer).
« Ne perdez jamais confiance, ne cédez jamais au découragement : le pouvoir de l’amour du Christ crucifié et ressuscité est plus grand que tout mal dont l’homme pourrait ou devrait avoir peur » (Jean-Paul II).
Ce 18 avril 2025
« Nous sommes une Pâque :
du tombeau de la mort,
nous passons à la lumière
de la vie » (Augustin).
« Ne pleure pas ce qui s’est éteint,
car il renaît sous une autre forme »
(Rumi).
« Connaître sa propre ombre
est la meilleure méthode
pour vivre avec l’ombre des autres »
(Carl Jung).
Affre : grande peur, extrême frayeur, terrible effroi.
Deux exemples dans la lis-tes-ratures :
« …Et le soleil, rouge de colère,
court après la lune
qui, pâle d’affre, s’enfuit »
(Marcel Arnac, Le Brelan de joie, 1946).
« La ville tentaculaire ?
Quel océan, ses cœurs ! quel orage, ses nerfs !
Quels nœuds de volontés serrés en son mystère !
Victorieuse, elle absorbe la terre ;
Vaincue, elle est l’affre de l’univers :
Toujours, en son triomphe ou ses défaites,
Elle apparaît géante et son cri. Et son nom luit,
Et la clarté que font ses feux dans la nuit
Rayonne au loin, jusqu’aux planètes ! »
(Émile Verhaeren, Les villes tentaculaires, 1895, p. 116-117).
Sagesses populaires :
1) Nuire à son bienfaiteur,
c’est se nuire à soi-même !
2) Le mal a deux façons de nuire :
en faisant le mal,
… et en faisant le bien
(qui se fait alors la malle ?) !
« La haine tue toujours,
l’amour ne meurt jamais »
(Mahatma Gandhi).
« Heureux soient les fêlés,
car ils laisseront passer la lumière »
(Michel Audiard).
« Le désespoir est la fureur passagère d’une âme sans espoir » (Emmanuel Kant, Essai sur les maladies de l’esprit, 1764).
« L’espérance serait la plus grande des forces humaines si le désespoir n’existait pas » (Victor Hugo, Quatre-vingt-treize, 1874).
« Le désespoir n’est pas une grande vague qui submerge un homme ; une brusque invasion, une maladie foudroyante qui brise d’un seul coup tous les ressorts. J’imagine le désespoir, moi, plutôt comme un microbe qui opère ses ravages dans un coin de l’organisme. J’ajouterai qu’il se passe avec le désespoir ce qu’il se passe avec à peu près tous les sentiments et toutes les passions : celui qui en est atteint l’ignore très longtemps. Il ne soupçonne rien du travail du microbe. Puis, un beau jour, il s’aperçoit qu’il ne reste plus rien en lui, plus une trace d’espoir. Tout a été grignoté. Il est comme une maison entièrement absorbée par les termites. La maison tombe en poussière. L’homme tombe en poussière » (Jean Dutourd, Les horreurs de l’amour, 1963).
« Le désespoir est la fureur passagère d’une âme sans espoir » (Emmanuel Kant, Essai sur les maladies de l’esprit, 1764).
« L’espérance serait la plus grande des forces humaines si le désespoir n’existait pas » (Victor Hugo, Quatre-vingt-treize, 1874).
« Le désespoir n’est pas une grande vague qui submerge un homme ; une brusque invasion, une maladie foudroyante qui brise d’un seul coup tous les ressorts. J’imagine le désespoir, moi, plutôt comme un microbe qui opère ses ravages dans un coin de l’organisme. J’ajouterai qu’il se passe avec le désespoir ce qu’il se passe avec à peu près tous les sentiments et toutes les passions : celui qui en est atteint l’ignore très longtemps. Il ne soupçonne rien du travail du microbe. Puis, un beau jour, il s’aperçoit qu’il ne reste plus rien en lui, plus une trace d’espoir. Tout a été grignoté. Il est comme une maison entièrement absorbée par les termites. La maison tombe en poussière. L’homme tombe en poussière » (Jean Dutourd, Les horreurs de l’amour, 1963).
D’où vient l’alternance des saisons stérile et fertile ? La mythologie romaine l’explique par cette histoire : alors qu’elle cueillait des fleurs au pied du volcanique Etna, la très belle Proserpine fut enlevée par Pluton (le dieu des enfers) qui voulut en faire sa reine. Cérès, la mère de Proserpine, la chercha pendant neuf jours et neuf nuits sans manger ni boire, un flambeau allumé dans chacune de ses mains. À bout et furieuse, elle rendit la terre stérile et déclencha une famine. Après une médiation compliquée de Jupiter (le frère de Cérès et de Pluton), Proserpine passera dorénavant 6 mois avec sa mère Cérès (mère heureuse => terre fertile) et 6 mois avec son mari Pluton (mère portant le deuil => terre stérile & livrées en mode hiver).
Étymologiquement, « février » signifie « purification ». À l’approche du temps des semailles, nos ancêtres fêtaient ce temps de renouvellement où l’on termine la farine de la saison passée (vivent les crêpes) et où l’on espère les fruits de la saison qui vient. À la Chandeleur qui vient du mot « chandelle », les Romains organisaient des processions aux flambeaux et des cérémonies aux bougies qui avaient pour but de purifier les habitations et les espaces sacrés. Ce mois de février, charnière entre l’hiver et le printemps, célèbre la victoire de la lumière sur les ténèbres et l’espoir du renouveau, ce qui résonne aux oreilles chrétiennes avec la présentation de Jésus au Temple quarante jours après sa naissance (conformément à la tradition juive pour tout premier-né).