À ceux qui sont éveillés, l’espérance donne de dormir en paix

« L’espérance nous crie sans cesse « en avant ! » et nous attire ainsi jusqu’au tombeau » (Françoise d’Aubigné, Les mémoires et lettres de Madame de Maintenon, 1719).

« Il en est de l’espérance comme de la recherche de la pierre philosophale, elle nous fait souvent trouver ce que nous ne cherchons pas sans émousser notre goût pour ce qui fait le vain objet de nos désirs » (Adolphe d’Houdetot, Dix épines pour une fleur, 1853).

« Sans espérance il n’y a pas de désirs, mais des rêves ou des regrets » (Eugène Marbeau, Les remarques et pensées, 1901).

« L’espérance est le sommeil de ceux qui sont éveillés » (Alcuin, Maximes et pensées morales).