Paradoxe des paradoxes,
la vie orthodoxe est paradoxe.
Les bons contes font les bonnes nuits…
Dans l’histoire que nous racontons à un enfant avant de s’endormir, nous faisons intervenir des monstres à dormir debout, tout en drapant le récit des atours du réel. Serait-ce parce que les fictions cauchemardesques dégagent finalement un goût de sacré qui a le pouvoir bien réel de réparer les esprits et les cœurs ?
Sacré humain quand
ça crée la puissance
étonnante du conte !