« Une catastrophe crée son lot d’incertitudes et, en situations d’urgence, les intervenants n’en savent souvent pas plus que vous. Hélas, la désinformation et les rumeurs se dispersent alors aux quatre vents : de bouche à oreille bien sûr, mais surtout par les médias sociaux. Cela peut causer un grave tort aux personnes touchées, ainsi qu’aux efforts des intervenants, dont les organismes humanitaires. Une personne qui fait circuler de fausses informations n’est pas nécessairement de mauvaise foi. Néanmoins, en crise, jouer au journaliste en herbe peut gaspiller de précieuses ressources » (Croix-Rouge canadienne sur son ‘blogue’, pour que ça ne bloque plus !).