Une bonne tradition familiale : chacun.e tire le nom d’un.e autre de la famille, pour être son « ange gardien » pendant tout le mois de l’Avent, en lui faisant de petites surprises agréables, comme pendre à la clinche de sa chambre un mot doux, mettre dans la poche de son manteau une parole valorisant une de ses attitudes appréciée, poser sur son bureau une photo, un spéculoos de Saint Nicolas,…, etc., etc., etc.
Faire de même dans l’équipe de travail, qui devient les keep de trouvailles 😉
« Par-dessus toute chose, soyez bon ; la bonté est ce qui ressemble le plus à Dieu et ce qui désarme le plus les hommes. Vous en avez des traces dans l’âme mais ce sont des sillons que l’on ne creuse jamais assez. Vos lèvres et vos yeux ne sont pas encore aussi bienveillants qu’ils pourraient l’être et aucun art ne peut leur donner ce caractère que la culture intérieure de la bonté. Une pensée aimable et douce à l’égard des autres finit par s’empreindre dans la physionomie et par lui donner un cachet qui attire tous les cœurs » (Henri Lacordaire).
« Ce n’est pas la réalité qui compte dans un film, mais ce que l’imagination peut en faire » (Charlie Chaplin).
« Les génies n’ont pas plus de neurones que la moyenne mais ils ont la capacité de faire beaucoup plus de connexions entre ceux-ci ! C’est cette capacité qui leur permet d’inventer » (Philippe Brasseur).
« Le seul vrai pouvoir révolutionnaire, c’est le pouvoir d’inventer » (Joseph Beuys).
« Connais-moi si tu peux, ô passant, connais-moi ! Je suis ce que tu crois et suis tout le contraire : La poussière sans nom que ton pied foule à terre Et l’étoile sans nom qui peut guider ta foi. Je suis et ne suis pas tel qu’en apparence :
Forte comme en plein jour une armée en bataille Qui lutte, saigne, râle et demeure debout; Qui triomphe de tout, risque tout, souffre tout, Silencieuse et haute ainsi qu’une muraille… Faible comme un enfant parti pour l’inconnu Qui s’avance à tâtons de blessure en blessure Et qui parfois a tant besoin qu’on le rassure Et qu’on lui donne un peu la main, le soir venu…
Connais-moi ! Connais-moi ! Ce que j’ai dit, le suis-je ? Ce que j’ai dit est faux – et pourtant c’était vrai ! – L’air que j’ai dans le cœur est-il triste ou bien gai ? Connais-moi si tu peux. Le pourras-tu ?… Le puis-je ?…
Ô passant, quand tu verrais Tous mes pleurs et tout mon rire, Quand j’oserais tout te dire Et quand tu m’écouterais, Quand tu suivrais à mesure Tous mes gestes, tous mes pas, Par le trou de la serrure… Tu ne me connaîtras pas!
Et quand passera mon âme Devant ton âme un moment Éclairée à la grand-flamme Du suprême jugement, Et quand Dieu comme un poème La lira toute aux élus, Tu ne sauras pas lors même Ce qu’en ce monde je fus…
Tu le sauras si rien qu’un seul instant tu m’aimes ! »
« Oui il est grand temps de révéler à nos enfants – de nous révéler à nous-mêmes – l’autre versant du monde, celui où, jour après jour, s’invente la vie : les mille gestes d’amour, de compassion, de tendresse, les multiples mains qui bénissent, caressent, plantent, sèment, rêvent, se joignent pour prier, jour après jour, sans se lasser. Car le monde doit de tenir debout à cette conspiration de l’amour, à cette clandestinité de la tendresse et de la louange » (Christiane Singer).
« Qu’ils louent son nom avec des danses. Qu’ils le célèbrent avec le tambourin et la harpe » (Psaume 149).
« Plus le cœur de l’homme est pur, plus la vue de celle qu’il aime le sanctifie. Elle est comme un talisman merveilleux qui l’initie aux enchantements de la vie immortelle. […] Comme l’artiste, la femme n’aspire qu’à réveiller en nous le Feu sacré. Elle se fait aimer pour porter le cœur de celui qui l’aime dans les abris éternels » (Antoine Blanc de Saint-Bonnet, De l’unité spirituelle, 1845).
« Aujourd’hui je n’ai rien fait. Mais beaucoup de choses se sont faites en moi.
Des oiseaux qui n’existent pas ont trouvé leur nid. Des ombres qui peut-être existent ont rencontré leurs corps. Des paroles qui existent ont recouvré leur silence.
Ne rien faire sauve parfois l’équilibre du monde, en obtenant que quelque chose aussi pèse sur le plateau vide de la balance »