manger vert ou mûr ?

Plus une banane est mûre,
plus sa digestion est facile
et ses sucres offrent une énergie
directement disponible.

Plus une banane est verte,
plus elle est bénéfique
pour le microbiote intestinal
et elle offre une énergie stable, durable.

Cela est vrai aussi d’autres fruits
comme les mangues et les papayes…

Cela n’est pas vrai de fruits trop indigestes avant maturité (comme les kakis)
ou sans valeur nutritionnelle avant maturité !

Soyons

« Les ions jouent un rôle important dans notre corps. Les ions de calcium, potassium, sodium, chlore et cuivre font partie des ions clés qui participent au processus électrique de notre corps. Le potassium est le principal ion positif à l’intérieur de la cellule. Le sodium est l’ion positif le plus abondant dans les fluides à l’extérieur de la cellule. Le chlorure est l’ion négatif qui se trouve en plus forte concentration à l’extérieur des cellules, compensant ces charges positives. La perte d’équilibre de l’un de ces ions ou de certains ions peut entraîner des dysfonctionnements dans la conduction des messages électriques. Ce dysfonctionnement entraîne rapidement des altérations dans notre corps et une perte de la capacité à maintenir des conditions internes stables. Du coup, nous sentons que nous n’avons pas assez d’énergie »
(https://www.marnys.com/fr/magazine/).

« Les ions négatifs sont positifs pour notre santé et pour notre sensation de bien-être car ils augmentent l’oxygénation des cellules et apaisent le système nerveux en réduisant le stress, l’anxiété et la fatigue mentale. Ils se prennent en prenant l’air, spécialement sous la pluie + bord de mer + montagnes + près d’une source d’eau ou d’une cascade… Une cascade d’eau produit environ 50.000 ions négatifs par centimètre cube, tandis que l’air des villes en contient 200.
Si on ne peut s’éloigner de sa grande ville, penser à ouvrir les fenêtres de la maison, prendre une douche, marcher dans un secteur concentré en arbres matures » (Guylaine Cliche, Livre qui fait du bien).

Juste présence, juste distance avec chacune de mes zones sensibles

« C’est facile de dire « je t’aime ». C’est facile de parler d’amour, de présence, de conscience, et d’une profonde acceptation de ce qui est. C’est facile d’enseigner, de dire des choses qui sonnent vrai, bien, et spirituel. Mais ce ne sont que des mots. Il y a un monde avant les mots.

Quand la colère monte, peux-tu rester près d’elle, et ne pas l’endormir ou la déchaîner ? Quand la peur envahit le corps, peux-tu respirer en elle, et ne pas fusionner avec elle ou prendre la fuite dans des histoires ? Quand tu te sens blessé.e, rejeté.e, pas aimé.e, abandonné.e, peux-tu faire de la place pour ce sentiment, lui souhaiter la bienvenue dans le corps, t’incliner devant son intensité, son feu, sa présence, et ne pas attaquer, ou passer à l’acte ou lancer des injures ? Peux-tu t’engager à ne pas t’abandonner toi-même au moment où tu as le plus besoin de ton propre amour ?

C’est facile de parler d’amour. C’est facile d’enseigner. Jusqu’à ce que les anciennes blessures s’ouvrent. Jusqu’à ce que la vie ne fasse plus ce que nous voulons. Ce qui te stimule est pour toi une invitation à t’aimer toi-même plus profondément. Peux-tu le voir ? Il n’y a pas à avoir honte de cela. Nous avons tous des zones sensibles » (Jeff Foster).

cent juins sans joints

‘Juin’ vient du latin ‘junius’, en lien avec la déesse romaine Junon, experte en mariage et en fertilité. Juin : le mois de l’éveil qui fleure bon les prémices des vacances et le temps des cerises. Joins-toi à moi pour plonger dans la sonorité suave de ce mot de quatre lettres : JUIN, de toi à moi, a le goût des cerises mûres, les fumets de l’herbe coupée, l’ambiance festive des terrasses ensoleillées.

Réduire mon empreinte émotionnelle

« Aujourd’hui, on fait aisément son examen de conscience sur son empreinte carbone. Ce que je propose, c’est aussi de faire son examen de conscience sur son empreinte émotionnelle :
suis-je émetteur d’émotions
et de comportements toxiques ?
Chaque membre d’un groupe a une responsabilité vis-à-vis des émotions qu’il émet et dégage autour de lui.
Plus de mots pleins d’intelligence émotionnelle
=> Moins de maux de ventre ou autres… »
(Christophe Haag, chercheur
en intelligence émotionnelle).

Prendre soin de mon bout de la relation

Ce que j’aime ou déteste chez un autre me renvoie à la pertinence de prendre du temps avec la part de moi qui vit cela, en moi… L’autre n’est qu’un déclencheur ; le trésor se trouve dans l’accueil de ce qui se révèle en moi au contact de l’autre, non pas pour être avec moi de manière égocentrée, mais pour être pleinement en paix et en harmonie à l’intérieur, suffisamment libéré des transferts, contre-transferts, projections et contre-projections entre nous. Ce dialogue interne, en moi, me permet ensuite de revenir à l’autre, avec une disponibilité pour coconstruire une relation saine dans laquelle chaque personne tient debout par elle-même et peut dès lors danser avec l’autre, en bons partenaires.

C’est le commentaire que j’ai fait à la demande d’une amie qui me demandait de réagir à la citation : « ce qu’ils détestent en toi est ce qui est en train de leur manquer, en eux. Continue de briller ».

Échecs amoureux à répétition

« Aux joies des premières rencontres succèdent souvent les ruptures et les drames du désamour. Nous pensons alors « nous n’étions pas faits pour vivre ensemble », ou « il n’était pas pour moi ». Puis survient un nouvel amour. Et nous reproduisons les mêmes erreurs. Comme si l’échec tenait du destin et qu’une force aveugle s’acharnait sur nous. Pourquoi certaines femmes ne sont-elles attirées que par le même type d’homme, et inversement ? Pourquoi recommençons-nous encore et encore la même histoire au risque de nous faire du mal ? Pourquoi sommes-nous sous l’emprise du passé ? Nous pouvons identifier et analyser la mécanique subtile de la compulsion et les signes avant coureurs de la défaite, puis repérer les moyens de sortir de l’engrenage. Car si l’amour est le lieu de la répétition, faire un pas de coté peut permettre d’aller de l’avant et de s’épanouir enfin à deux » (Maryse Vaillant & Sophie Carquain, La répétition amoureuse : sortir de l’échec).