Elle avait un rêve…

« Elle avait un rêve auquel se raccrocher. Des fois, faut pas grand-chose. Un tout petit rêve de rien du tout et tu voles sur la lune ! Un brin d’herbe devient un palmier, une flaque d’eau, la mer…Et qui te dit que les gens qui réalisent leurs rêves sont plus heureux que ceux qui les imaginent ? La réalité me déçoit toujours, l’imagination jamais » (Françoise Bourdin).

Très bon anniversaire,
sœur Geneviève très chère !

« Une Femme que le soleil enveloppe : la lune est sous ses pieds et douze étoiles couronnent sa tête » (Apocalypse 12,1).

Triples sauts ou sots ?

Ci-dessous une image tirée d’une vidéo prise le 2 juillet 2015 par une Canadienne, montrant comment « Fraser« , le grand fleuve canadien, qui traverse la ville de Vancouver, rejoint l’océan Pacifique.

Sa vidéo a été détournée par de nombreuses publications qui font croire qu’au sud de l’Argentine et du Chili, il s’agirait là de la rencontre entre le Pacifique et l’Atlantique, sans se mélanger, vu la forte différence de densité et de salinité entre l’eau claire et bleue de l’océan Pacifique (provenant de la fonte des glaciers, elle est fraîche et peu salée) et l’eau grise de l’océan Atlantique. Troisième saut qualitatif que ces Fake news prétendent : les 2 océans n’auraient pas les mêmes niveaux d’eau, en plein orage d’hiver ! Qui font les triples sauts / sots so chauds ? Les océans ou les crédules ?

Rusé comme un renard ?

Le renard a un truc pour se débarrasser des puces sur lui :

il cherche des touffes de mousse ou de laine de mouton.

La bouche pleine, il va à la rivière et y entre doucement, à reculons, en commençant par la queue jusqu’à n’avoir plus que le museau et la gueule à l’air libre, en donnant le temps à toutes les puces de se réfugier sur la mousse ou la laine. Puis, dans le courant, il lâche celle-ci d’un coup, en finissant son bain sous l’eau…

Comme quoi, être rusé comme un renard, c’est avoir la puce à l’oreille ! C’est une habilité bien utile pour toutes les foutaises sur le net (images truquées et Fake News). Et puis, il y a les images riches en créativité qui inspirent et me font prendre mon pied !

Rusé comme un renard ?

Le renard a un truc pour se débarrasser des puces sur lui :
il cherche des touffes de mousse ou de laine de mouton.
La bouche pleine, il va à la rivière et y entre doucement, à reculons, en commençant par la queue jusqu’à n’avoir plus que le museau et la gueule à l’air libre, en donnant le temps à toutes les puces de se réfugier sur la mousse ou la laine. Puis, dans le courant, il lâche celle-ci d’un coup, en finissant son bain sous l’eau…

Comme quoi, être rusé comme un renard, c’est avoir la puce à l’oreille ! C’est une habilité bien utile pour toutes les foutaises sur le net (images truquées et Fake News). Et puis, il y a les images riches en créativité qui inspirent et me font prendre mon pied !

Le serpent : symbole de renouveau et de transformation

« Dans la mythologie, le serpent apparaît sans doute comme l’image la plus forte du renouveau et de la transformation. Il est le gardien de la sagesse des Enfers et de la prédiction. La capacité du serpent à se dépouiller régulièrement de son ancienne peau et la reconstituer est reflétée chaque mois dans le renouveau de la lune et dans le cycle menstruel féminin. Comme la lune, le serpent est considéré comme un symbole de la lumière et de l’obscurité : il vit à la fois à la surface du sol et sous terre dans des terriers et des caves. Il représente les pouvoirs de la nouvelle lune, l’énergie dynamique qui émane de la conscience intérieure ou monde des Enfers, et qui met en lumière les pouvoirs de la prédiction, de la sagesse, de l’inspiration et de la fécondité. Les mouvements sinueux et ondoyants du serpent renforcent son association avec l’eau. Il est ainsi devenu le symbole des eaux du Paradis, sous la forme de la pluie fertilisante, des eaux de la terre donnant la vie, et de celles des Enfers se présentant comme l’utérus qui apporte renaissance et vie nouvelle. Dans certaines mythologies, le serpent représente la source créatrice qui donne naissance à l’univers. Il est considéré comme l’énergie dynamique de la déesse, qui est à la fois la terre mère et l’énergie de la terre qui fait croître les plantes » (Miranda Gray, Lune Rouge. Les forces du cycle féminin, p. 82-83).

Né original et y rester loyal

« Tous naissent comme des originaux,
mais beaucoup meurent comme des photocopies »
(Carlo Acutis, né le 3 mai 1991 à Londres,
mort le 12 octobre 2006 à Monza,
mort à 15 ans d’une leucémie,
reconnu comme le « cyber-apôtre » de l’Eucharistie,
déclaré bienheureux par l’Église catholique et fêté chaque 12 octobre).

La joie de créer chaque jour

Comme d’autres font des pompes ou des étirements chaque matin,
je cultive l’inspiration qui m’habite …
Certains se détendent en faisant
des sudokus,
des mots croisés,
du tricot…

Moi, je me détends en laissant
mon esprit divaguer,
mon cœur se dilater,
mon âme s’exprimer,
la Source couler…

Et ça pond un post, chaque matin,
comme la poule l’œuf,
avec ou sans coq, avec housse en coque…

Haute hallucination

« L’intuition artistique ressemble aux hallucinations hypnagogiques, par son caractère de fugacité ; ça vous passe devant les yeux. C’est alors qu’il faut se jeter dessus, avidement » (Gustave Flaubert, Lettre à Hippolyte Taine, le 20 novembre 1866).

« Le succès n’est que l’expression d’une vaste hallucination collective » (Charles Aznavour, À voix basse, 2009).

« Une vision sans action n’est qu’une haute hallucination » (Michael Kami, Trigger Points, 1988).

Bonne journée !

Climat : doter les instances internationales des pouvoirs de gendarme et de juge

L’Europe s’est engagée à réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 55 % d’ici 2030.  Les pays du Nord, comme le Danemark, la Suède et la Finlande, sont dans les clous pour y parvenir. Certains sont même en avance sur le calendrier. D’autres, comme la Belgique, sont très en retard. « Ces objectifs sont trop ambitieux », entend-on, surtout de la part des pires pays pollueurs de la planète.

Quasi tous les États sont Parties à la Convention-cadre des Nations unies sur le changement climatique. Combien de catastrophes faudra-t-il encore pour trouver le courage politique de doter les instances internationales des pouvoirs de gendarme et de juge ? Un pouvoir de justice avec des instruments efficients : « le fléau qui lui permettrait de constater les transgressions et le glaive qui lui permettrait de les sanctionner efficacement », disait déjà John Crowley en 2000, dans Les enjeux politiques du changement climatique. Quels instruments pour quelle justice ?, dans Critique internationale, 2000, p. 162).