Pote au chaud

« Pourquoi la présence de certains hommes, de certaines femmes bien précis à mes côtés fait-elle se dilater le soleil dans mon sang ? » (Walt Whitman).

« Il n’y a pas d’étrangers ici ; seuls des amis que tu n’as pas encore rencontrés » (William Butler Yeats).

« L’amitié adoucit les douleurs et redouble les plaisirs » (Madeleine de Scudéry).

« Chaque fois que deux personnes se rencontrent, un monde nouveau est créé » (Osho).

Auréolé olé olé ?

« Je leur ai donné la gloire que tu m’as donnée, afin qu’ils soient UN comme nous sommes UN » (Jean 17,21-22).

« Et nous tous qui, le visage dévoilé, reflétons la gloire du Seigneur, nous sommes transfigurés en cette même image, avec une gloire toujours plus grande dans le Seigneur, qui est Esprit » (2 Co 3,18) : l’appel de Dieu à la sainteté nous fait aller de gloire en gloire…

« Chers frères et sœurs,  rendons grâce à Dieu pour les merveilles qu’il a accomplies dans les saints, dans lesquels resplendit sa gloire.
Laissons-nous attirer par leurs exemples, laissons-nous guider par leurs enseignements, afin que toute notre existence devienne comme la leur un cantique de louange à la gloire de la Très sainte Trinité » (Benoît XVI).

Auprès de mon arbre

Auprès de mon arbre je vivais heureux
J’aurais jamais dû m’éloigner de mon arbre
Auprès de mon arbre je vivais heureux
J’aurais jamais dû le quitter des yeux

Je l’savais par cœur depuis
Et pour un baiser la course
J’emmenais mes belles de nuits
Faire un tour sur la grande ourse

(Georges Brassens, Auprès de mon arbre).

Pâque que ça à faire avec Messi Mais si tu vois la Cène

« Voici, je me tiens à la porte, et je frappe. Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui, je souperai avec lui, et lui avec moi » (Ap 3,20).

« Je te le dis en vérité, aujourd’hui tu seras avec moi dans le paradis » (Lc 23,43).

« Dieu ne ferme jamais toutes les portes à la fois » (Abla Farhoud, Jeux de patience).

A tombeaux ouverts

« La mort est une formalité désagréable, mais tous les candidats sont reçus » (Paul Claudel, Journal, Tome II).

« Morgue : refuge très frais où les pensionnaires le sont moins » (Philippe Bouvard, La belle vie après 70 ans).

« La mort, sans la honte, est aussi bien venue que l’enfant nouveau-né » (Shûdraka, Le chariot d’enfant).

Du kangourou au poisson

Une nouvelle qui déménage : j’ai reçu une proposition de poste d’un an en Australie, pour des recherches appliquées en résolution des conflits.

Dire oui et tant quitter ?
Ne pas attraper cette balle au vol et le regretter longtemps ?
Que dois-je faire ?

Like si tu sens bien le plongeon vers le pays des kangourous. Mets plutôt l’emoji avec une larme si tu sens l’inverse. Commente si tu as quelque intuition à me partager…

Sincèrement, merci à ceux qui ont mordu à l’hameçon de mon poisson d’avril… Pardon de vous avoir attrapé et merci pour vos réactions derrière lesquelles je sens votre amitié qui me touche.

Bravo à ceux qui ont repéré mon poisson d’avril. Je suis impressionné du nombre de ceux qui se sont souvenus de l’année dernière et qui ne sont pas fait prendre cette fois-ci…

Merci à ceux qui ont résisté à la tentation de taguer un poisson dès ce 1er avril matin…

Je vous embrasse tous et je fais le bon bond avec vous toutes et tous, qui êtes dans mon cœur.

Tousse pour un, heuuuu…

Souplesse dans l’adversité

« Oui, c’est dur d’avoir 20 ans en 2020 » (Emmanuel Macron).

Tiens bon, toi le jeune confiné dont la croissance est en pleine phase de socialisation…

« Que votre esprit soit flexible, employez vos efforts à rendre la volonté souple et obéissante aux occasions et aux circonstances. Les caractères graves et qui ne savent pas changer ont d’ordinaire plus de dignité que de bonheur » (Frédéric Ozanam).

« La grâce est à la beauté ce que la souplesse est à la rose. Sans grâce, la beauté n’est qu’une fleur artificielle, qu’un colibri sans vie » (Jean-Napoléon Vernier).

Le roseau / la rose-haut plie mais ne se rompt pas !

Rappel de la finale de la fable de Jean de La Fontaine :

« Le chêne tient bon, le roseau plie.
Le vent redouble ses efforts,
et fait si bien qu’il déracine
celui de qui la tête au ciel était voisine,
et dont les pieds touchaient à l’empire des morts. »