Le pouvoir de choisir où je mets mon attention

J’ai la liberté de choisir
où je mets mon attention et mon énergie.
J’ai le pouvoir de laisser aller
les choses qui me bloquent…
Plutôt que d’y réagir,
je peux regarder ce qui me fait vivre.
J’apprends lentement à me centrer
sur ce qui se passe en moi
plutôt qu’autour de moi,
là où ça vibre et palpite de la Vie
même de l’Amour Infini.
Et je m’en porte d’autant mieux…
Quel cadeau extraordinaire
que ce pouvoir de choisir
où je mets mon attention.

Prisons intérieures et espaces full grandeurs

« Les saints du paradis peuvent-ils voir autre chose que de la beauté, de la pureté ? Mais des saints au milieu de la boue, voilà le miracle éternel ! Voilà qui donne à la vie sa valeur. Voir la grandeur morale se dégager de la fange, entrevoir la beauté à travers un rideau de boue, puis peu à peu – surgissant de l’abîme d’inconscience et de vice –, la voir monter, grandir en force, en vérité, en splendeur » (Jack London, Martin Eden, 1909). 

« Il travaillait comme en rêve, étrangement détaché de tout ce qui l’entourait, pareil à un fantôme qu’un enchantement retient sur les lieux d’une existence antérieure. Un fantôme n’est que l’âme d’un mort qui ne sait pas encore qu’il est mort, lui avait-on dit un jour, et il se demandait s’il n’était pas mort, par hasard, sans s’en douter » (idem).

La vie t’éjecte de ton piédestal

« Laisse la vie t’éjecter de ton piédestal encore et encore, jusqu’à ce que tu perdes tout intérêt à être sur un piédestal » (Jeff Foster).

« Trois choses sont essentielles dans la vie : l’humilité qui vous fait garder les pieds sur terre, le courage qui vous permettra d’affronter n’importe quelle situation, comme aussi le courage de se remettre en question, et la sagesse de savoir se taire quand il le faut » (Jordan Ray).

De la triste façade de nos faces sad à la joie de nos âmes rencontrées…

Au-dessus des vieux volcans,
glissent des ailes sous les tapis du vent.
Voyage, voyage,
éternellement.
De nuages en marécages,
de vent d’Espagne en pluie d’équateur.
Voyage, voyage
Vole dans les hauteurs
au-dessus des capitales.
Des idées fatales
regardent l’océan.

Voyage, voyage
Ne t’arrête pas
au-dessus des barbelés,
des cœurs bombardés.
Regarde l’océan.

Voyage, voyage
Plus loin que la nuit et le jour
Voyage, voyage
Dans l’espace inouï de l’amour
Voyage, voyage

(chanson de Desireless, Voyage, voyage, 1987 : https://www.youtube.com/watch?v=sM2ZhByFcDk).

J’étais là dans le sycomore
et je m’entendais plus que toi.
Mais je ne savais pas encore
que tu t’inviterais chez moi
(Chanson de Mannick & Jo Akepsimas, Zachée, descends de ton arbre, 1979 : https://www.bide-et-musique.com/song/6416.html).

Bilan personnel en cette fin d’année ?

Un bilan personnel de fin d’année est un exercice d’introspection qui consiste à revenir sur les objectifs que je m’étais fixés au cours de l’année, ainsi que sur les résultats obtenus : en tirer des leçons constructives et apprendre plus sur moi-même, cultiver la gratitude, me recentrer sur ce qui est important pour moi, ma vision, ce que je veux accomplir dans ma vie.

Répondre par écrit à ces 4 questions :
Qu’est-ce qui s’est bien passé cette année ?
Qu’est-ce qui s’est moins bien passé ?
Qu’est-ce que j’ai appris ?
Quelle est la suite ?
Développement et exemple :
https://everlaab.com/bilan-personnel-de-fin-dannee/

Traverser la nuit

« L’exercice qui te sauve :
Te tenir comme un arbre
Ancré dans les courants
Consentant aux averses
Être fleuve sans rives
Ou bien homme debout
Qui marche dans sa nuit
Sans lieu, sans autre sol
Que le bel aujourd’hui
Conscient que tout naufrage
Recèle des trésors
Oublieux de ses failles
Ne gardant que l’élan
La clarté des passages
Invitant chaque oiseau
À demeurer chez lui »

(Jean Lavoué, Ce rien qui nous éclaire).

Ci-dessous peinture de Tomas Sanchez : ‘le témoin’.

Tout peut changer par un simple regard de côté

Solstice d’hiver
= de nouvelles paires
=> lunettes, changez
regard, ouvrez !
Tout peut changer par un simple coup de dé, par un simple regard de côté !
Exemple : « Ainsi, la vie est dure ! »
devient « Un six et la vie dure ! »
= petit pas de côté du ‘est’ et…
ce jusqu’à l’éternité…

On prend le bonheur toujours en retard ?

« Pour tout bagage, on a vingt ans.
On a l’expérience des parents.
On se fout du tiers comme du quart.
On prend le bonheur toujours en retard.
Quand on aime c’est pour toute la vie,
cette vie qui dure l’espace d’un cri,
d’une permanente ou d’un Blue jean.
Et pour le reste on imagine »            
(Léo Ferré, Chanson Vingt Ans).