Vivre, c’est dire merci d’être connecté à la Source

1/1/2019 : Nouvel An, vers de nouveaux champs, avec le même chant : gratitude en première attitude.
J’allais sur mes 15 ans quand j’ai fait l’expérience d’être aimé d’un Amour d’une telle intensité que ce moment reste le plus important de ma vie.

L’expérience de cet Amour gratuit, inconditionnel, surabondant et inépuisable a été le fondement et est le roc de ma vie, la source de ma joie.

Vivre, c’est dire merci d’être connecté à la Source.

Tomber amoureux de qui est promesse de complétude

Grâce à la sagesse de notre inconscient, nous « choisissons » un.e partenaire susceptible de rejouer avec nous dans le présent notre drame fondamental du lointain passé.

Nous tombons amoureux d’un.e qui a résolu partiellement le drame en développant des qualités auxquelles nous-même avons dû renoncer, petit.e, pour recevoir l’amour imparfait de nos parents.

Nous allons nous combler l’un.e l’autre dans la phase attractive.

Nous allons nous blesser, nous dégoûter dans la phase répulsive.

Nous sommes ensemble pour devenir adultes : chacun.e peut guérir, récupérer les talents qu’il a du sacrifier, petit.e.

À l’époque, nous avons eu du génie à construire ce programme de survie. Aujourd’hui, devenus adulte, notre génie est de découvrir comment lâcher nos programmes devenus obsolètes et goûter à la plénitude de cœurs réconciliés avec leur histoire.

Vive la condition humaine,

histoire d’incarnation

en route vers la plénitude.

Vivre la confiance, celle que vivent des enfants bien aimés, qui se savent bien aimés

« La façon dont nous parlons à nos enfants, devient leur petite voix intérieure » (Peggy O’Mara, Natural Family Living: The Mothering Magazine Guide to Parenting, Atria publishing, 2000).

« La transmission, c’est cette attention portée à un autre qui fait qu’en lui surgit le meilleur de lui-même » (Christiane Singer).

« Le plus grand fardeau qu’un enfant puisse porter est la vie non vécue de ses parents » (Carl G. Jung).

En cette reprise de l’école pour beaucoup de jeunes enfants dans bien des pays, je nous souhaite de bonnes prises de terre et de ciel pour être les messagers de la Paix et de la Joie simple de vivre la confiance, celle que vivent des enfants bien aimés, qui se savent bien aimés…

L’amour est plus profond des impressions passions

« Ce qui rend le mariage si lumineux et si cruellement thérapeutique, c’est qu’il est la seule relation qui mette véritablement au travail. Toutes les autres relations aventureuses et amicales permettent les délices de la feinte, de l’esquive, de la volte-face et de l’enjouement. Obstiné, têtu, doté d’une tête chercheuse que rien ne distrait de son but, le mariage n’est rien d’autre que la quête en chacun de sa vérité » (Christiane Singer).

« Le mariage ne nous veut pas présentables, il nous veut vivants ! Et il nous fera perdre la face jusqu’à ce que, sous nos masques, apparaissent nos vrais visages » (Christiane Singer).

Après la pente, la côte, pour sûr ?!

Posté le Lundi de Pentecôte

Quand la vérité, en moi, se dévoile…

« On va de l’amour à la vérité. Essayer de faire l’inverse, c’est vouloir planter un arbre à l’envers. […] On cueille la vérité sur l’arbre de la charité » (Paul Couturier).

« Quand il viendra, lui, l’Esprit de vérité, il vous guidera vers la vérité tout entière » (Jn 16,13).

Posté le dimanche de Pentecôte 31/5/20

Désaccord ne veut pas dire désamour !

« Désaccord ne veut pas dire désamour ! Respecter nos espaces propres ; l’art d’une juste distance dans une juste présence l’un à l’autre » (Étienne Chomé, La méthode C-R-I-T-E-R-E pour mieux gérer nos conflits, Presses Universitaires de Louvain, 2009, p. 44).

La méthode C-R-I-T-E-R-E, première étape : juste distance dans une juste présence

Point besoin de prendre de la drogue pour snifer en moi du stupéfiant !

« Quelque chose en moi sait que rien ne peut m’arriver, que rien ne peut me détruire. C’est ce noyau infracassable en nous, ce noyau infracassable du divin en nous. Alors la peur cesse, et quand la peur cesse, il y a un drôle de morceau de moins d’horreur sur la terre !
Parce que la peur est la plus grande créatrice de réalités qui existe. Ce dont nous avons peur, nous le créons presque irrémédiablement. C’est quelque chose d’effarant. Vous avez dû le remarquer dans votre vie. La peur a le pouvoir d’engendrer images et réalités. Dans l’univers d’épouvante dans lequel nous vivons, tout tient par la peur.  Il faut y répondre en congédiant en nous la peur, en reprenant contact avec ce noyau infracassable qui nous habite » (Christiane Singer).

Ce noyau infracassable, divin, qui, au cœur de notre coeur, exhale l’Un

« Quelque chose en moi sait que rien ne peut m’arriver, que rien ne peut me détruire. C’est ce noyau infracassable en nous, ce noyau infracassable du divin en nous. Alors la peur cesse, et quand la peur cesse, il y a un drôle de morceau de moins d’horreur sur la terre !
Parce que la peur est la plus grande créatrice de réalités qui existe. Ce dont nous avons peur, nous le créons presque irrémédiablement. C’est quelque chose d’effarant. Vous avez dû le remarquer dans votre vie. La peur a le pouvoir d’engendrer images et réalités. Dans l’univers d’épouvante dans lequel nous vivons, tout tient par la peur.  Il faut y répondre en congédiant en nous la peur, en reprenant contact avec ce noyau infracassable qui nous habite » (Christiane Singer).

Somme toute, l’extérieur est accidentel ; . . . . . . . . . l’intérieur, de la dentelle essentielle !…

Marilyne Monroe a  dit : « Nous sommes toutes des étoiles, il nous suffit juste d’apprendre à briller ».

Ne serait-ce pas plutôt  : « Nous sommes toutes des étoiles, il nous suffit juste de vivre un infini merci à la source de notre brillance » ?

Les deux versions complémentaires du « je t’aime » parental

Dans son élan de type plus maternel, le parent t’entoure de ses bras, avec douceur et tendresse (mouvement horizontal).

Dans son élan de type plus paternel, le parent confirme l’existence et t’appelle à déployer ta propre bonne puissance  (mouvement vertical).

Deux versions complémentaires du « je t’aime » parental.

Vivent  les mères et les pères,

vive la paire à la mer !