Le dicton « Qui aime bien, châtie bien ! » s’appliquerait-il bien aux Français et Belges ? Vivent des voisins qui passent leur temps à se charrier, tout en s’échangeant du vin et des bières, en s’aspergeant de blagues bêtes à coup de vinaigrette < > mayonnaise…
Je suis impatient d’arriver en 2027. Car 27 est magnifique, c’est un cube parfait : 3³ (3 x 3 x 3). C’est également un nombre décagonal et un nombre Harshad (il est divisible par la somme de ses chiffres (2 + 7 = 9, et 27 ÷ 9 = 3) !).
Un nombre décagonal est un nombre figuré polygonal (cf. image) qui peut être représenté graphiquement par des points répartis dans un décagone. Les onze premiers nombres décagonaux sont : 1, 10, 27, 52, 85, 126, 175, 232, 297, 370, 451… Vivement donc dans 2 ans aussi dans 27 ans = en 52 !
Et vive l’amitié franco-belge, décagonale + déconn-égale !
Tel le tournesol qui suit le soleil, tout être vivant se tourne spontanément vers ce qui le rend plus vivant, à l’exception des êtres humains qui sont plus complexes, grâce à leur glorieuse liberté, leur pouvoir de choisir par leurs facultés d’intelligence et de volonté telles que l’instinct peut être détourné. Ainsi, à la première bouffée de cigarette, les signaux du corps qui informent clairement combien c’est toxique peuvent être vite réduits au silence par des parts évoluées qui se croient éclairées et éclairantes, qui sont capables de dominer…
Je nous souhaite bons choix de vie, vers ce qui nous rend vraiment plus vivant.e !
Mon premier choix est d’exprimer ma gratitude envers mon corps qui me rend sans cesse tant de services, du style : -l’homéostasie, cette capacité à assurer un équilibre interne (régulation de la température corporelle, équilibrage hydrique et électrolytique, guérison des blessures, etc.), -la régénération des cellules de mes organes (peau, foie, etc.) en remplaçant celles qui sont en bout de course vitale, -la coagulation sanguine en cas d’hémorragie, -le système immunitaire qui traite les infections, -la capacité de réparer les tissus endommagés… Amazing… Merci !
C’est après coup que nous comprenons le sens de ce qui nous arrive… Son sens profond est voilé au moment même, il advient une fois le crépuscule tombé : « la chouette de Minerve ne prend son envol qu’à la tombée de la nuit, à l’irruption du crépuscule » (Hegel), la chouette étant le symbole de la sagesse et de la perspicacité. D’où l’intérêt de recueillir la compréhension profonde des événements dans des bons temps de relecture approfondie.
Voici un document précieux pour faire une telle relecture annuelle (exemples : la décision la plus sage que j’ai prise en 2024 fut =… ; la plus grande leçon que j’ai apprise =… ; les 3 plus grands challenges en 2024 =…) puis dans un deuxième temps, conscientiser mes motivations et intentions pour l’année qui vient :
Image de gauche : « Le pire, c’est qu’on se demande comment le lendemain on trouvera assez de forces pour continuer à faire ce qu’on a fait la veille ? […] C’est l’âge aussi qui vient peut-être, le traître, et nous menace du pire. On n’a plus beaucoup de musique en soi pour faire danser la vie, voilà. Toute la jeunesse est allée mourir déjà au bout du monde dans le silence de vérité » (Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit).
Image de droite : Ce n’est pas le passage d’une année à l’année suivante qui change la vie mais bien l’esprit dans lequel nous passons les étapes de la vie. C’est l’esprit d’enfance qui est décisif !
Bon esprit d’enfance en 2025 et jusque dans la tombe !…
« Nos âmes sont des poèmes que le Ciel écrit sur la terre » (moi, dans la foulée de Khalil Gibran qui chantait : « Les arbres sont des poèmes que la terre écrit sur le ciel. »
« Nous sommes la terre sur laquelle Dieu a reversé son ciel, la poussière qui contient ses rêves. Nous sommes l’espérance de Dieu, son trésor, sa gloire » (pape François, 20 mai 2023).
Les hippocampes sont monogames. Ils s’unissent et s’aiment pour toujours. Au petit matin, leurs retrouvailles représentent cinq minutes de danse endiablée, les queues entrelacées, la couleur de leur corps virant vers du vif intense, comme s’ils rougissaient de tendresse. Ils aiment nager souvent côte à côte.
Dans cette image, la femelle (qui a déjà pondu dans sa poche les œufs) est en plein transfert pour que le mâle prenne le relais du boulot : il les couve jusqu’à éclosion et envoi au monde ! Quelle magnifique collaboration dans l’art de donner la vie, non ?
« Les caractéristiques de l’autisme sont très variées d’un individu à l’autre. C’est pourquoi on parle de troubles du spectre autistique (TSA) : chaque personne se situe à un degré différent dans ce spectre » (Centre de Ressources Autisme Ile-de-France / CRAIF). Ainsi , à l’inverse du mutisme (scénario habituel), certaines personnes autistes peuvent avoir une propension très prononcée à la parole. Dans ces cas-là, elles peuvent même parler énormément, voire « trop » pour leur entourage. « Trop parler » pourrait ainsi être un comportement révélateur de TSA et en particulier de syndrome d’Asperger. Bien sûr, le fait de parler énormément ne peut pas constituer une preuve en soi, il ne s’agit que d’une première piste pour aller ensuite vers un diagnostic, en compagnie de professionnels.
Le syndrome d’Asperger, un trouble du spectre autistique, est caractérisé par des difficultés dans les interactions sociales comme se focaliser sur des sujets particuliers et avoir des comportements répétitifs. La logorrhée est une des manifestations de ce syndrome. C’est la tendance à parler de manière excessive, en se perdant dans des monologues détaillés sur ses sujets d’intérêts et sans remarquer les signaux sociaux indiquant que les personnes autour de soi ne sont pas intéressées, sans repérer quand il est approprié de s’arrêter ou de changer de sujet.
Pour les personnes autistes, cette tendance à parler trop peut avoir des implications sociales et émotionnelles. Elles peuvent être perçues comme égocentriques ou insensibles aux besoins des autres, ce qui peut conduire à des malentendus et à des difficultés dans leurs relations personnelles. De plus, l’incapacité à capter les signaux sociaux peut renforcer leur isolement et leur sentiment de déconnexion par rapport aux autres.
Ce texte abrège les propos répétitifs de https://www.psychologies.com/moi/moi-et-les-autres-moi/insignifiant-en-apparence-ce-comportement-peut-signaler-de-l-autisme-579539.
« Mon conseil en début d’année : abandonner les grandes résolutions abstraites, viser plutôt la réalisation de petits objectifs » (Lee Chambers).
« Plutôt que de vouloir changer totalement qui nous sommes, prenons soin de nous-même pour pouvoir continuer à grandir et à vivre en accord avec nous-même » (Susanne Wolf).
À chaque personne chère à mon coeur, je souhaite ce que je me souhaite pour une bonne année 2025 : un voyage continu vers moi-même, cette quête de cohérence entre ce que je suis à l’intérieur et ce que je montre à l’extérieur, l’écoute attentive de cette bonne boussole intérieure et le courage de me démarquer pour rester fidèle à moi-même…
Apprends, petite grenouille : « qui vole un œuf, vole un bœuf ! » Sors de tes brumes / brouillard / fog, petite frog : « qui part en vogue, finit dans un froc de bouledogue ? »
Derrière le réflexe machinal de se souhaiter une bonne année, nos bons vœux ont leur valeur ! Quand je te souhaite le meilleur, se tisse un fil entre toi et moi, un fil de lumière, certes peu visible mais lumineux… Je prends position en faveur de la Vie nouvelle qui vient. Je pose l’intention d’enrichir l’étoffe du monde d’un tissu aux mille fils confiants : l’Esprit neuf crée et recrée toute chose. Je désire accueillir en chair et en os ce Royaume d’Amour et de paix, dans la Justice et la Vérité, qui se rapproche. Je m’aligne un peu plus à l’Essence-Ciel en moi, pour vivre un peu plus en accord avec cette Vie qui coule généreusement et gratuitement en moi…
J’aime te transmettre les bénédictions que je reçois de la personne Source de la Vie et des Vivants qui fait du neuf aussi par l’An neuf, aussi parlant neuf…
« Il faut que le hasard renverse la fourmi pour qu’elle voit le ciel » (proverbe arabe).
« Le véritable voyage de découverte ne consiste pas à chercher de nouveaux paysages, mais à avoir de nouveaux yeux » (Marcel Proust ).
Je nous souhaite 2025 occasions de changer de point de vue pour voir du nouveau. Et je nous souhaite une belle traversée 2025, avec des cours d’eau vive et des rivages nouveaux…
Bons pas sages (avec toute l’ambiguïté de la formule « pas sages »)…