« Un Hollandais, une Église. Deux Hollandais, une secte. Trois Hollandais, un schisme » (dicton néerlandais).
« Dieu par minou ? = le cat est schisme ! »
« Ne vous effrayez pas des divergences, réjouissez-vous de ce grand labeur ; pourquoi insulter les travailleurs du nom de schismatiques et de sectaires ? » (Hippolyte Taine).
Voici la méthodologie d’éducation à la paix qu’avec CommunicActions (l’École internationale que j’ai fondée), je propose depuis plus d’un quart de siècle dans des groupes divers et variés à travers le monde.
Comme c’est à l’intérieur des cœurs et des esprits que résident les principaux obstacles à la paix autant que les transformations les plus décisives, la ressource primordiale vers la paix est une communication vraie, authentique, à même de déverrouiller les blocages humains. C’est en accueillant avec empathie et en profondeur ce qui est important pour chaque personne (ses vécus + besoins, fondements, motivations, intentions profondes, valeurs spirituelles les plus chères) que s’améliore la relation, que se crée une connexion relationnelle sincère qui rend toute la suite du processus de paix possible. Oui mais une telle qualité d’écoute est d’autant plus possible et fructueuse que le dialogue est débarrassé des jeux de pouvoir et agendas cachés. Or, ce n’est pas l’empathie qui peut offrir cela. C’est là qu’interviennent deux autres compétences : la justesse d’un cadre de droit et la force tranquille du négociateur vacciné contre les stratagèmes de prise de pouvoir en vue de gagner davantage.
L’art d’améliorer le cadre de droit est un défi collectif de fond : chaque fois qu’un groupe est confronté à un abus de pouvoir ou plus largement à des structures déficientes ou à des injustices, ce groupe est devant le défi de s’organiser davantage et de renforcer sa cohésion (c’est déjà vrai pour un troupeau d’herbivores face à un prédateur en chasse). Plus un groupe humain est structuré, plus il est capable de se mobiliser pour que la force de la loi l’emporte sur la loi du plus fort. C’est la compétence du processus normatif par lequel le groupe pose la règle juste et s’accorde sur le dispositif en cas de non-respect de cette règle. Ce processus de sanction dissuasive qui donne un poids incontournable à la règle rend le bon comportement plus intéressant que le comportement inacceptable, lequel est mis hors-la-loi. Plus l’endroit où j’anime la formation est une zone de non-droit, plus il est crucial de prendre du temps sur cette compétence. Ce travail qui met fin aux impunités commence dans les familles et les écoles, avant de s’établir à un échelon plus haut de la société : que, déjà, les parents et les enseignants apprennent à remplacer toute punition-répression (la loi du plus fort) par une sanction-réparation (la force de la loi).
Aux côtés de la communication vraie et du cadre de droit, une troisième compétence est indispensable à la résolution constructive d’un conflit : l’art d’une négociation efficace qui évite les pièges des réflexes de rivalité et de compétition en cas d’intérêts divergents et qui est capable de déjouer les techniques de déstabilisation, les tactiques déloyales, les effets de manche, les coups de botte secrète, etc. Plus une personne a appris à rester focus sur les intérêts en présence et à employer la créativité qui invente des solutions nouvelles, plus elle peut induire et garder le cap d’un processus Win-Win : optimiser l’accord le plus pertinent et judicieux, c’est-à-dire celui qui satisfait au mieux tous les intérêts en présence.
Empathie envers les personnes pour connecter le trésor qu’ils portent dans leurs entrailles ET justesse de la justice au niveau d’un cadre de droit qui empêche tout abus de pouvoir ET créativité dans le processus Win-Win qui déjoue les coups de force, tout en augmentant le gâteau à partager, voilà trois énergies très différentes à déployer chacune dans son registre propre. Par exemple, il convient de ne pas recadrer au moment d’écouter en profondeur. Ce qui tonifie une communication vraie, sincère et authentique, c’est la qualité de connexion : un être humain qui accueille un autre être humain. Dès lors, au stade du dialogue où nous cherchons à nous comprendre, un parent, un professeur, un supérieur hiérarchique ont intérêt à enlever entièrement leur casquette d’autorité, qui n’apporte rien à la compréhension du trésor de l’autre ; au contraire, elle crée des interférences qui la bloquent. Il y aura d’autres moments pour recadrer (objectiver) et négocier (se mettre d’accord et décider). Autre exemple, dans l’autre sens, l’empathie et la confiance dans les personnes ne sont pas les bons outils pour améliorer le cadre de droit. Une juste autorité s’exerce de façon dépersonnalisée, sans aucun pouvoir sur les personnes ; elle est au service du Law and Order, en se bornant à être juste, c’est-à-dire gardienne de la loi, garante de son respect par tous, y compris les plus hauts gradés, tandis qu’un autoritaire personnalise son pouvoir : « je suis la loi ; tu m’obéis ». Et il usera subtilement d’appel à l’allégeance à sa personne plutôt qu’à la loi.
Il y a de simples et ingénieux petits changements structurels qui améliorent la vie quotidienne, comme ajouter des étagères murales libérant de l’espace au sol et rendant les objets plus accessibles.
Tes trucs à toi pour améliorer tes espaces de vie ?
« Quand est-ce que nous, Allemands, sommes parvenus à mener une révolution sans effusion de sang, sans guerre, sans victoire et sans humilier d’autres personnes et d’autres peuples ? Ce qui s’est passé en 1989 est un miracle de dimension biblique, dit la théologienne que je suis. C’était l’interaction multifactorielle de constellations politiques externes et internes, dit la politologue que je suis. Les deux sont vrais, dit l’expérience qui est la mienne », a souligné Marie Anne Subklew-Jeutner, au cours de la conférence organisée par Church and Peace à l’extrême est de l’Allemagne, ces 24-26 octobre 2025.
Accueillis par la communauté des Frères et Sœurs moraves, nous étions 120 participants venus de 19 pays à tirer les leçons des expériences de transformation en Europe centrale et orientale, sous le thème : « Les temps sont durs, ne te laisse pas endurcir – Résister, réconcilier, transformer ». Gratitude pour ces intenses partages concrets sur ce qui nous aide à ne pas nous endurcir et à nous engager au service de la paix, à travers de multiples interventions civiles concourant à une défense civile…
Nous avons notamment chanté la chanson ci-dessous « Ermutigung » (Encouragement) de Wolf Biermann, dédiée à un dissident harcelé par les autorités de la RDA avant la chute du mur de 1989 :
« Les temps sont durs, ne te laisse pas endurcir Ceux qui sont trop durs finissent par se briser Ils piquent, mais ils se cassent aussi
Les temps sont amers, Ne te laisse par gagner par l’amertume Les puissants tremblent, ils te mettent derrière les barreaux, Mais ils se foutent de ta souffrance
En ce temps de terreur, Ne te laisse pas terroriser C’est ça qu’ils veulent : que nous rendions les armes avant la grande bataille.
Ne te laisse pas avoir à l’usure, Use de ton temps Faut pas que tu disparaisses Tu as besoin de nous Et nous, nous avons besoin de ta bonne humeur
Même si les temps sont au silence, Nous ne resterons pas silencieux Il y a du vert dans les branches Nous le dirons à tout le monde Comme ça ils le sauront »
« Dieu qui t’a créé sans toi ne te sauvera pas sans toi » (Saint Augustin).
« Être à la merci de » signifie dépendre totalement de quelqu’un ou de quelque chose.
Être à la merci d’un vainqueur, c’est être sous sa coupe, sous son pouvoir, à sa discrétion.
Être à la merci des flots, c’est être exposé à leurs dangers, sans avoir de contrôle.
Stupéfiante vérité : la personne qui me donne Vie se met à ma merci par amour ; vulnérable, elle se met entre mes mains, en faisant preuve de mercy (miséricorde). Le monde à l’envers…
En ayurvéda, la cannelle est utilisée pour renforcer le feu intérieur, et à partir de là, la passion et la libido sexuelle… Dans l’autre antique médecine, la chinoise, la cannelle est réputée tonifier et augmenter la vitalité en stimulant la circulation sanguine et l’irrigation des organes. Son parfum, son arôme chaud, son goût intense et légèrement sucré offrent de plaisantes sensations qui énergisent les papilles et éveillent les sens.
En outre, la cannelle favorise une meilleure digestion et contribue à brûler les graisses. Elle aide à stabiliser le taux de sucre dans le sang, ce qui évite les pics d’insuline responsables des fringales. Cette régulation de la glycémie aide à réduire les envies de sucre, l’envie de grignoter. Coupe-faim naturel idéal entre les repas…
L’Antarctique semble un désert blanc, glacé et inerte. À vrai dire, son côté occidental est posé sur une des chaînes volcaniques les plus denses de la planète, avec au moins 138 volcans (dont certains s’élèvent à plus de 4000 mètres, entre leur socle rocheux et leur sommet). Ils échappent à notre vue sous les kilomètres de glace qui les recouvre…
À part quelques exceptions (comme le Mont Erebus, situé sur l’île de Ross, avec son bouillonnant lac de lave), ils sont plutôt dormants en ce moment. Mais si une éruption volcanique venait à faire fondre toute la calotte glaciaire de l’Antarctique occidental, le niveau des océans monterait d’environ 3 mètres. À vos maillots, matelots !…
Lui : Que notre quête de bonheur ne s’arrête un jour…
Elle : Une de ces nuits, je vais finir par couper ta quéquette de malheur !
{ Pardon à mes followers qui espèrent trouver ici des posts de plus grande qualité… Je suis rentré hier soir tard de deux mois de missions diverses et variées ! Je vais me poser et améliorer le niveau, sans que le travail mène-aux-pauses bien sûr. }
« To be, or not to be, that is the question Être ou ne pas être, telle est la question d’Hamlet, ce prince danois accablé par le deuil, la trahison et le doute, qui se demande s’il vaut mieux mettre fin à ses jours plutôt que d’endurer les douleurs de la vie. Shakespeare or not j’expire ?
« Aimez votre vie, soyez heureux. Avant de blesser, prenez le temps de considérer l’autre. Avant de le détester, prenez le temps de l’aimer. Avant de mourir, prenez le temps de vivre » (William Shakespeare).