La non-violence tient dans la solidité
d’un réseau solidaire
de mouvements sociaux
aussi fluide et rapide
que l’organisation
des fourmis qui fourmillent,
des abeilles qui bourdonnent,
des araignées qui se faufilent partout.
Un riche article à ce propos :
https://wagingnonviolence.org/2025/07/why-movements-need-to-learn-to-fly-like-bees-and-thread-like-spiders/

Merci à Catherine Gris pour son remarquable commentaire de mon post (fait sur LinkedIn) que je reprends ici :
« Cet article est une ode subtile mais puissante à la non-violence active, celle qui ne se limite pas à refuser la brutalité, mais qui engage un processus profond de reliance, d’écoute et de transformation.
Face à la montée des autoritarismes, des extrêmes, des murs érigés dans les esprits comme sur les cartes, Lederach appelle au tissage patient de liens, comme les araignées et à la pollinisation humble et discrète, comme les abeilles.
La vraie audace consisterait à circuler, à écouter là où ça fait mal, à servir là où ça manque. La non-violence devient alors une compétence, un art, une stratégie : celle d’investir dans la dignité de l’autre, même lorsqu’il semble loin, différent, ou en désaccord. »