« Le voyage mystique nous conduit à l’intérieur de nous, à une Flamme sacrée en notre centre » (Marianne Williamson).
« Ton rayonnement a allumé un Feu dans mon cœur, et tu as rendu radieux pour moi la Terre et le Ciel. Mon âme brûle, chaque fibre de mon être est amoureuse de Toi » (Rûmî).
« Le penchant à la solitude provient d’abord du besoin de fuir tout ce que nous haïssons dans le tumulte du monde, puis du besoin de recouvrer le calme et l’indépendance, puis ensuite, pour un esprit sensé, du besoin de goûter le bonheur non envié que l’on trouve en soi-même » (Johann Georg Zimmermann, Les réflexions sur la solitude, 1756).
« Le Christ serait-il né mille fois à Bethléem, s’il ne naît pas en toi, c’est en vain qu’il est né » (Angelus Silesius).
« Quand on laisse mourir le feu de Noël, il n’y a plus qu’un moyen de le rallumer ; c’est d’aller chercher le feu des étoiles » (Pierre Jakez Hélias, Les autres et les miens).
« Être heureux, c’est laisser vivre la créature libre, heureuse et simple qui vit en chacun de nous. Que votre vie devienne un jardin d’opportunités pour être heureux … Puissiez-vous être un amoureux de la joie dans vos sources. Puissiez-vous être pour vous-même un ami de sagesse et de paix pendant vos hivers » (pape François).
« Par-dessus toute chose, soyez bon ; la bonté est ce qui ressemble le plus à Dieu et ce qui désarme le plus les hommes. Vous en avez des traces dans l’âme mais ce sont des sillons que l’on ne creuse jamais assez. Vos lèvres et vos yeux ne sont pas encore aussi bienveillants qu’ils pourraient l’être et aucun art ne peut leur donner ce caractère que la culture intérieure de la bonté. Une pensée aimable et douce à l’égard des autres finit par s’empreindre dans la physionomie et par lui donner un cachet qui attire tous les cœurs » (Henri Lacordaire).
« Par-dessus toute chose, soyez bon ; la bonté est ce qui ressemble le plus à Dieu et ce qui désarme le plus les hommes. Vous en avez des traces dans l’âme mais ce sont des sillons que l’on ne creuse jamais assez. Vos lèvres et vos yeux ne sont pas encore aussi bienveillants qu’ils pourraient l’être et aucun art ne peut leur donner ce caractère que la culture intérieure de la bonté. Une pensée aimable et douce à l’égard des autres finit par s’empreindre dans la physionomie et par lui donner un cachet qui attire tous les cœurs » (Henri Lacordaire).
« Les mauvaises nouvelles ont beaucoup plus d’impact sur nous que les bonnes nouvelles. Et même les critiques peuvent nous affecter bien plus que les compliments. Dans le livre Le cerveau de Bouddha, le neuroscientifique Rick Hanson propose une explication, qui a été approuvée par de nombreux autres chercheurs, sur l’origine du caractère évolutif de ce biais de négativité. Selon Hanson, ce biais de négativité est une conséquence de l’évolution par laquelle nos ancêtres ont appris à prendre des décisions intelligentes dans des situations à haut risque. Ce sont ce genre de décisions qui leur ont permis de survivre assez longtemps pour garantir la relève. C’était une question de vie ou de mort. Ainsi, les personnes qui vivaient en harmonie avec les événements potentiellement dangereux avaient plus de chances de survivre. Avec le temps, la structure du cerveau s’est adaptée très lentement pour accorder plus d’attention aux informations négatives qu’aux informations positives.
Dans les études menées par le psychologue John Cacioppo sur le traitement neuronal du biais de négativité, il a été prouvé que la réponse du cerveau aux stimuli sensoriels, cognitifs et moteurs négatifs provoque une activation beaucoup plus importante que les événements positifs. Surtout dans le cortex cérébral.
En conséquence de ce qui précède, aujourd’hui, ce biais de négativité nous incite et nous influence à nous concentrer sur le négatif qui nous entoure. Et ce même lorsque nous prenons une décision.
Cela semble aussi influencer grandement la motivation avec laquelle une tâche est accomplie. Il est curieux que nous soyons beaucoup plus motivés par une tâche qui consiste à éviter une expérience négative que motivés par une tâche lorsque le prix est une incitation positive.
Pour sa part, l’approche évolutive suggère qu’il s’agit simplement d’une tendance que nous avons pour éviter les dommages produits par les situations négatives. Et que c’est uniquement un moyen par lequel notre cerveau essaie de nous maintenir en sécurité et protégés » (https://nospensees.fr/le-biais-de-negativite-selon-la-science).
« Les choses font leur petit bonhomme de chemin, que vous laissiez faire ou non. La rose fleurit sans votre approbation et se fane sans votre consentement. […] Il n’y a rien de pire que d’essayer de contrôler ce qui ne peut être contrôlé. Si tu veux une véritable emprise, laisse tomber l’illusion de l’emprise, laisse la vie te guider. Elle le fait de toute façon. Tu ne fais que raconter l’histoire qui montre le contraire. Cette histoire ne peut être réelle. Tu n’as pas créé le temps qu’il fait, ni le soleil ou la lune. Tu n’as aucune emprise sur tes poumons, ton cœur, ou ta faculté de voir ou de marcher. […] Est-ce vous qui vous respirez? » (Byron Katie).
« La vie ne commence à faire mal, très mal, que lorsque nous ne nous laissons pas porter par son courant, lorsque nous refusons d’en épouser le cours et les méandres, lorsque nous tentons de nager à contre-courant » (Christiane Singer).