« Le christianisme est en moi
comme un vide incendiaire
que je n’ai pas voulu remplir ;
à jamais neuf :
qui s’invente de
neuf chaque jour »
(Christiane Singer,
Derniers fragments d’un long voyage).

La bibliothèque d'Étienne Chomé
Jeux du "je" jusqu'au coeur du coeur
« Le christianisme est en moi
comme un vide incendiaire
que je n’ai pas voulu remplir ;
à jamais neuf :
qui s’invente de
neuf chaque jour »
(Christiane Singer,
Derniers fragments d’un long voyage).
Restaurer une « grandeur » nationale,
c’était essentiel pour Hitler,
après les humiliations
subies par l’Allemagne
après la Première Guerre mondiale.
Combien de millions d’humains
a-t-il entraîné dans sa perte ?
Restaurer une « grandeur » nationale,
c’est essentiel pour Poutine,
après les humiliations
subies par les Russes
après la chute de l’Union soviétique.
Combien de millions d’humains
entraîne-t-il dans sa perte ?
Restaurer une « grandeur » nationale,
c’est essentiel pour Trump,
pour conjurer la fin inexorable
de l’impérialisme américain…
Combien de millions d’humains
entraîne-t-il dans sa perte ?
Restaurer la grandeur de son Royaume de Justice et de Paix,
c’est essentiel pour le Fils de Dieu, après les choix de
puissance des humains à travers leurs guerres dites justes.
Combien de millions d’humains
entraîne-t-il dans son salut ?
Voici le rêve d’un concert des Nations en paix,
avec leurs leaders réunis dans « We are the world » :
https://www.youtube.com/watch?v=D_WQ7XwbiSQ
(impressionnante I.A. nous permettant
de visualiser et d’entendre un tel rêve)…
« La poussière retournera à la terre, comme elle y était,
et l’esprit retournera à l’Esprit qui l’a donné » (Qohélet 12,7).
« Le véritable amour, toujours modeste, n’arrache pas ses faveurs avec audace, il les dérobe avec timidité. La décence et l’honnêteté l’accompagnent au sein de la volupté même, et lui seul sait tout accorder au désir sans rien ôter à la pudeur. Bien souvent l’erreur cruelle est de croire que l’amour heureux n’a plus de ménagements à garder avec la pudeur, et qu’on ne doit plus de respect à celle dont on n’a plus de rigueurs à craindre » (Jean-Jacques Rousseau, Julie ou la nouvelle Héloïse, 1761).
Descendre pour monter à Pâques !
« Tu es poussière
et tu retourneras poussière »
(Genèse 3,19).
« Tout va en un même lieu : tout a été fait de la poussière, et tout retourne à la poussière » (Qohélet 3,20).
« Tout est éphémère. Lorsque vous voyez cela avec sagesse, vous vous détournez de la souffrance » (Bouddha).
« Les êtres naissent de l’espace, et retournent à l’espace. L’homme naît de la terre, et retourne à la terre » (Lao Tseu).
« Les cendres qu’un vieux précepte recommande de répandre au vent, d’où proviennent-elles ? D’innombrables générations d’hommes ont été consumées dans l’incendie de la vie et de la mort » (Omar Khayyam).
« En amour, le badinage est un amusement que l’on croit sans conséquence, et qui mène au sérieux sans qu’on s’en doute » (Adrien Dupuy, L’amour, les femmes et le mariage, 1857).
« Il est si beau d’aimer et d’être aimé que cet hymne de la vie peut se moduler à l’infini, sans que le cœur en éprouve la moindre lassitude » (Germaine de Staël, Le petit livre de l’amour, 1854).
« Heureux soient les fêlés,
car ils laisseront passer la lumière »
(Michel Audiard).
D’où vient l’alternance des saisons stérile et fertile ? La mythologie romaine l’explique par cette histoire : alors qu’elle cueillait des fleurs au pied du volcanique Etna, la très belle Proserpine fut enlevée par Pluton (le dieu des enfers) qui voulut en faire sa reine. Cérès, la mère de Proserpine, la chercha pendant neuf jours et neuf nuits sans manger ni boire, un flambeau allumé dans chacune de ses mains. À bout et furieuse, elle rendit la terre stérile et déclencha une famine. Après une médiation compliquée de Jupiter (le frère de Cérès et de Pluton), Proserpine passera dorénavant 6 mois avec sa mère Cérès (mère heureuse => terre fertile) et 6 mois avec son mari Pluton (mère portant le deuil => terre stérile & livrées en mode hiver).
Étymologiquement, « février » signifie « purification ». À l’approche du temps des semailles, nos ancêtres fêtaient ce temps de renouvellement où l’on termine la farine de la saison passée (vivent les crêpes) et où l’on espère les fruits de la saison qui vient. À la Chandeleur qui vient du mot « chandelle », les Romains organisaient des processions aux flambeaux et des cérémonies aux bougies qui avaient pour but de purifier les habitations et les espaces sacrés. Ce mois de février, charnière entre l’hiver et le printemps, célèbre la victoire de la lumière sur les ténèbres et l’espoir du renouveau, ce qui résonne aux oreilles chrétiennes avec la présentation de Jésus au Temple quarante jours après sa naissance (conformément à la tradition juive pour tout premier-né).
Écouter et observer
tout en trouvant du sens et de la beauté
dans chaque être rencontré.
Créer un post chaque jour
avec passion et curiosité,
dans l’émerveillement des possibles
et la gratitude,
voilà ce qui me rend plus vivant.
Et toi, qu’est-ce qui te fait sentir plus vivant.e ?
Quel souffle gonfle tes voiles ?
Tu le dévoiles ?
Ne pas croire en voyant l’illustration que j’aime pêcher.
Je ne pêche jamais, tout en péchant souvent…
« En 2025, nous allons célébrer le Jubilé, qui remonte à une ancienne tradition juive où le son d’une corne de bélier (en hébreu yobel, dont dérive le mot « jubilé ») annonçait, tous les quarante-neuf ans, une année de clémence et de libération pour le peuple (cf. Lv 25, 10 : « Vous ferez de la cinquantième année une année sainte, et vous proclamerez la libération pour tous les habitants du pays. Ce sera pour vous le jubilé ») afin de rétablir la justice de Dieu dans les différents domaines de la vie : l’usage de la terre, la possession des biens, les relations avec le prochain, en particulier les plus pauvres et ceux qui étaient tombés en disgrâce. Le son de la corne rappelait à tout le peuple, aux riches comme aux pauvres, que personne ne vient au monde pour être opprimé : nous sommes frères et sœurs, enfants d’un même Père, nés pour être libres selon la volonté du Seigneur (cf. Lv 25, 17.25.43.46.55) »
(pape François, message en ce 1er janvier 2025 pour la 58ème journée mondiale de la paix).
« Le Sermon sur la Montagne (Matthieu 5 à 7) présente la justice du Royaume du Père (ce sont les 3 mots qui s’y répètent, surtout ‘Père’, avec 17 occurrences). Le message principal de ce discours est de nous révéler que nous sommes tous fils et filles d’un même Père et donc frères et sœurs. La triade Paternité – Filiation – Fraternité constitue la structure profonde de ces 3 chapitres de Mt » (Chomé Étienne, Tends l’autre joue, ne rends pas coup pour coup. Mt 5, 38-42, non-violence active et Tradition, Lumen Vitae, 2008, p. 6).
Qu’on se le dise /
Console le dise !
Le dicton « Qui aime bien, châtie bien ! »
s’appliquerait-il bien aux Français et Belges ?
Vivent des voisins qui passent leur temps à se charrier,
tout en s’échangeant du vin et des bières,
en s’aspergeant de blagues bêtes
à coup de vinaigrette < > mayonnaise…
Je suis impatient d’arriver en 2027.
Car 27 est magnifique, c’est un cube parfait :
3³ (3 x 3 x 3). C’est également un nombre décagonal
et un nombre Harshad (il est divisible par la somme
de ses chiffres (2 + 7 = 9, et 27 ÷ 9 = 3) !).
Un nombre décagonal est un nombre figuré polygonal (cf. image) qui peut être représenté graphiquement par des points répartis dans un décagone. Les onze premiers nombres décagonaux sont : 1, 10, 27, 52, 85, 126, 175, 232, 297, 370, 451… Vivement donc dans 2 ans
aussi dans 27 ans = en 52 !
Et vive l’amitié franco-belge,
décagonale + déconn-égale !