« Les ions jouent un rôle important dans notre corps. Les ions de calcium, potassium, sodium, chlore et cuivre font partie des ions clés qui participent au processus électrique de notre corps. Le potassium est le principal ion positif à l’intérieur de la cellule. Le sodium est l’ion positif le plus abondant dans les fluides à l’extérieur de la cellule. Le chlorure est l’ion négatif qui se trouve en plus forte concentration à l’extérieur des cellules, compensant ces charges positives. La perte d’équilibre de l’un de ces ions ou de certains ions peut entraîner des dysfonctionnements dans la conduction des messages électriques. Ce dysfonctionnement entraîne rapidement des altérations dans notre corps et une perte de la capacité à maintenir des conditions internes stables. Du coup, nous sentons que nous n’avons pas assez d’énergie » (https://www.marnys.com/fr/magazine/).
« Les ions négatifs sont positifs pour notre santé et pour notre sensation de bien-être car ils augmentent l’oxygénation des cellules et apaisent le système nerveux en réduisant le stress, l’anxiété et la fatigue mentale. Ils se prennent en prenant l’air, spécialement sous la pluie + bord de mer + montagnes + près d’une source d’eau ou d’une cascade… Une cascade d’eau produit environ 50.000 ions négatifs par centimètre cube, tandis que l’air des villes en contient 200. Si on ne peut s’éloigner de sa grande ville, penser à ouvrir les fenêtres de la maison, prendre une douche, marcher dans un secteur concentré en arbres matures » (Guylaine Cliche, Livre qui fait du bien).
‘Juin’ vient du latin ‘junius’, en lien avec la déesse romaine Junon, experte en mariage et en fertilité. Juin : le mois de l’éveil qui fleure bon les prémices des vacances et le temps des cerises. Joins-toi à moi pour plonger dans la sonorité suave de ce mot de quatre lettres : JUIN, de toi à moi, a le goût des cerises mûres, les fumets de l’herbe coupée, l’ambiance festive des terrasses ensoleillées.
« Aujourd’hui, on fait aisément son examen de conscience sur son empreinte carbone. Ce que je propose, c’est aussi de faire son examen de conscience sur son empreinte émotionnelle : suis-je émetteur d’émotions et de comportements toxiques ? Chaque membre d’un groupe a une responsabilité vis-à-vis des émotions qu’il émet et dégage autour de lui. Plus de mots pleins d’intelligence émotionnelle => Moins de maux de ventre ou autres… » (Christophe Haag, chercheur en intelligence émotionnelle).
Ce que j’aime ou déteste chez un autre me renvoie à la pertinence de prendre du temps avec la part de moi qui vit cela, en moi… L’autre n’est qu’un déclencheur ; le trésor se trouve dans l’accueil de ce qui se révèle en moi au contact de l’autre, non pas pour être avec moi de manière égocentrée, mais pour être pleinement en paix et en harmonie à l’intérieur, suffisamment libéré des transferts, contre-transferts, projections et contre-projections entre nous. Ce dialogue interne, en moi, me permet ensuite de revenir à l’autre, avec une disponibilité pour coconstruire une relation saine dans laquelle chaque personne tient debout par elle-même et peut dès lors danser avec l’autre, en bons partenaires.
C’est le commentaire que j’ai fait à la demande d’une amie qui me demandait de réagir à la citation : « ce qu’ils détestent en toi est ce qui est en train de leur manquer, en eux. Continue de briller ».
« Aux joies des premières rencontres succèdent souvent les ruptures et les drames du désamour. Nous pensons alors « nous n’étions pas faits pour vivre ensemble », ou « il n’était pas pour moi ». Puis survient un nouvel amour. Et nous reproduisons les mêmes erreurs. Comme si l’échec tenait du destin et qu’une force aveugle s’acharnait sur nous. Pourquoi certaines femmes ne sont-elles attirées que par le même type d’homme, et inversement ? Pourquoi recommençons-nous encore et encore la même histoire au risque de nous faire du mal ? Pourquoi sommes-nous sous l’emprise du passé ? Nous pouvons identifier et analyser la mécanique subtile de la compulsion et les signes avant coureurs de la défaite, puis repérer les moyens de sortir de l’engrenage. Car si l’amour est le lieu de la répétition, faire un pas de coté peut permettre d’aller de l’avant et de s’épanouir enfin à deux » (Maryse Vaillant & Sophie Carquain, La répétition amoureuse : sortir de l’échec).
« Aimer, c’est avoir accordé tous ses organes, toutes ses cellules et toutes ses facultés pour qu’ils vibrent à l’unisson dans la lumière et dans la paix.
L’amour véritable est un état de conscience indépendant des êtres et des circonstances. Celui qui a atteint cet état de conscience sent que tout son être est imprégné de fluides divins et tout ce qu’il fait est une mélodie » (Omraam Mikhaël Aïvanhov).
Tiré de : « Vous comprendrez ce qu’est véritablement l’amour quand vous cesserez de le considérer comme un sentiment. Le sentiment est obligatoirement sujet à des variations selon qu’il s’adresse à telle ou telle personne, alors que l’amour véritable est un état de conscience indépendant des êtres et des circonstances.
Aimer, ce n’est pas avoir un sentiment pour quelqu’un, mais vivre dans l’amour et faire toute chose avec amour : parler, marcher, manger, respirer, étudier avec amour… Aimer, c’est avoir accordé tous ses organes, toutes ses cellules et toutes ses facultés pour qu’ils vibrent à l’unisson dans la lumière et dans la paix.
L’amour est donc un état de conscience permanent. Celui qui a atteint cet état de conscience sent que tout son être est imprégné de fluides divins et tout ce qu’il fait est une mélodie » (Omraam Mikhaël Aïvanhov).