S’autopeluredebananiser

Se prendre pour une banane =
se dit de quelqu’un qui pensait réussir
facilement une épreuve, un examen, une
tâche, mais qui échoue lamentablement !

Un éléphant, ça trompe énormément.
Un Donald Trump, ça te dit avoir la banane mais ne serait-ce
pas aigle-gris aigri qui trump énormément ?

Gourou goure où ?

En sanskrit ‘guru’ désigne un maître spirituel, au sens noble du terme.

En Occident, gourou est souvent employé pour parler d’une personne qui exerce une subtile emprise sur d’autres.

Un véritable guide spirituel renforce la capacité de conscience et de choix personnel de chaque personne rencontrée.

Mes voiles, qu’est-ce que tu me les gonfles…

« Ce qui me permet de suivre aujourd’hui Jésus comme un Maître, c’est précisément qu’il ne promet pas l’évitement du risque.
C’est ce crédit qu’il accorde au réel, sa plongée inconditionnelle dans la complexité du monde et de l’âme humaine, sans tenter de nous y soustraire, de la résoudre ou de la contourner. Voilà les seules paroles qui puissent me toucher, me rejoindre.
Vivre la paix d’une bénédiction originelle pour ne pas céder aux tranquillités qui nous privent de la grâce de savoir être dérangés »
(Marion Muller-Colard, L’intranquillité).

Cf. aussi https://etiennechome.site/pour-que-ou-parce-que/

La pugnacité du vivant à laquelle Il m’invite à participer

« Fâchée avec mon Dieu imaginaire qui avait rompu sans préavis mon contrat inconscient de protection, je manquais de secours spirituel. Je ne trouvais pas de prière qui puisse être autre chose qu’une immense contradiction, une négociation régressive avec la peau morte d’un Dieu qui ne tenait pas.

Pourtant, lorsque je caressais, du bout des doigts, le visage bleu et enflé de cet enfant presque étranger, dans le roulis devenu rassurant de l’oxygène qui lui parvenait machinalement, j’étais parfois saisie par une sérénité démente. Il arrive que l’impuissance ouvre sur des paysages singuliers.

La détresse m’avait dilatée et, en quelque sorte, elle avait élargi ma surface d’échange avec la vie. Et près de ce petit corps, se superposait à ma supplication muette pour qu’il vive, la conviction profonde que, ‘quoi qu’il arrive’, ce qui était incroyable et sublime, c’était qu’il fût né. Et que cela, jamais, ne pourrait être retiré à quiconque. Ni à lui, ni à moi, ni au monde, ni à l’histoire.

Je mis du temps à comprendre que cette clairvoyance fulgurante était peut-être la première véritable prière de ma vie.

[…] En dépit des relents de superstition qui me saisissent parfois, en dépit de mon petit négoce intérieur qui n’en finira jamais tout à fait de marchander avec un Dieu imaginaire, j’ai entrevu un Autre Dieu qui ne se porte pas garant de ma sécurité, mais de la pugnacité du vivant à laquelle il m’invite à participer » (Marion Muller-Colard, L’autre Dieu).

Pour creuser : https://etiennechome.site/pour-que-ou-parce-que/

Quadragénaire cadre-à génère

« C’est l’année de mes quarante ans que je suis devenu complètement fou. Auparavant, comme tout le monde, je faisais semblant d’être normal » (Frédéric Beigbeder).

« Quarante ans, c’est la vieillesse de la jeunesse, mais cinquante ans, c’est la jeunesse de la vieillesse » (Victor Hugo).

« Passé quarante ans, un homme est responsable de son visage » (Léonard de Vinci).

« Pour une femme, quadragénaire est une torture, la fin » (Grace Kelly).

Quarante ans : selon le Talmud, c’est l’âge où l’on commence à pouvoir lire la Bible avec sagacité…

Invités à être des oiseaux

Partage de ma chère Sara Barbera Pera :
« Il fait toujours beau au dessus des nuages, mais moi si j’étais un oiseau j’irais danser sous l’orage, je traverserais les nuages comme le fait la lumière… »
Et si nous étions invités à être des oiseaux… capables de rester au dessus des nuages, mais choisissant librement de venir vivre les orages de la vie, écouter sa mélodie, danser dans l’existence…tout en connaissant le beau d’en Haut…🙏♥️

https://www.facebook.com/reel/1972877786440985/?s=single_unit&cft[0]=AZXrWtQstXr4PNXwpPE3_lqMTBMJC9BZ6dE2aQTJEI47X_8FHwLVsAHz6qmDwm9_lx-zx4kwdnZYF-yFr6omOaHzygHwHnnm-cpLsOXJtzX8iUf9L1_nbDAv9WHLSCXNhskiRHkwfinAo9uOb3HIaiSrDF9UL1U8AHji59OzDY9rPJhLcIWBtKXElKXBczVciLMV4VULXmbCjNqfOGRWl8q7KsCooRCwoW7inJGkJ-CMBg&tn=H-R

Ho’oponopono

Ho’oponopono est un mot qui signifie en hawaïen « réparer », « faire la paix ».

Ho’oponopono est une vieille pratique hawaïenne, reconnue en tant que « trésor vivant » du pays (placé dans la Constitution d’Hawaï en 1993).

Sa version popularisée est très simplifiée = 4 phrases à répéter :

Je suis désolé.e.

S’il te plaît, pardonne-moi.

Merci.

Je t’aime.

À vrai dire, la pratique complète stimule des initiatives qui contribuent à la guérison et à la réconciliation, à partir de la paix intérieure : sagesse traditionnelle et universelle d’admettre, demander pardon et libérer, remercier et envoyer de l’amour.