
« L’Amour est au-delà
du temps et de l’espace.
Nulle distance ne peut
empêcher un cœur de battre.
Lorsque Sa lumière brille,
le ciel s’embrase,
le cœur se consume
dans l’infini de la vie »
(Frédéric Cordier).
La bibliothèque d'Étienne Chomé
Jeux du "je" jusqu'au coeur du coeur
« L’Amour est au-delà
du temps et de l’espace.
Nulle distance ne peut
empêcher un cœur de battre.
Lorsque Sa lumière brille,
le ciel s’embrase,
le cœur se consume
dans l’infini de la vie »
(Frédéric Cordier).
Le pain, c’est de la farine, de la levure et de l’eau. Ce sont trois éléments distincts qui se rencontrent au point de former une seule substance. Une fois la pâte bien malaxée, le boulanger la façonne avant la cuisson, en la séparant en 3 apprêts : de même substance ET aux formes différentes. Chacun à sa manière va être gonflé et doré par la cuisson. Voilà une manière terre-à-terre, certes très indigente, d’approcher le mystère céleste de la Trinité : notre Seigneur est Un dans la nature, en substance, avec des personnes égales, différentes les unes des autres ET entièrement unies.
Je crois en Dieu
et j’ai goûté à son Amour,
lequel me donne
de croire en nous
et en notre amour,
lequel, à son tour,
me fait goûter à son Amour…
Icônes ci-jointes réalisées par Alain Chenal sur la « périchorèse trinitaire », c’est à dire la relation d’Amour réciproque, unique et sans fin entre les trois personnes de la Sainte Trinité.
« Le fini ne se dissout pas dans l’infini, il se détend, il s’ouvre. Il connaît alors la forme que lui donne l’infini sans que cette forme ne l’enferme. L’infini informe le fini il ne l’enferme pas dans sa finitude. Parce qu’ils croient entendre des messages divins, leurs oreilles restent sourdes à toutes paroles d’humanité » (Stefan Zweig).
« Avant de pénétrer dans le Saint des Saints, il te faut enlever tes chaussures, mais pas seulement les chaussures. Il faut aussi te défaire de tout vêtement de voyage et bagage, avec en dessous la nudité et tout ce qui se cache dessous encore. Et puis ensuite, le noyau et le noyau du noyau, puis tout ce qui reste et ensuite le reste, et puis la lueur du feu qui jamais ne disparaît » (Kafka dans ses ‘Journaux’).
Make the authentic peace great again!
« La paix du Christ ressuscité est une paix désarmante, humble et persévérante. Elle vient de Dieu, de Dieu qui nous aime tous inconditionnellement. […] Que cette salutation de paix entre dans vos cœurs, qu’elle parvienne à vos familles, à tous les hommes, où qu’ils soient, à tous les peuples, à toute la terre » (premiers mots de Léon XIV, premier pape citoyen des États-Unis).
« Ne perdez jamais confiance, ne cédez jamais au découragement : le pouvoir de l’amour du Christ crucifié et ressuscité est plus grand que tout mal dont l’homme pourrait ou devrait avoir peur » (Jean-Paul II).
« Je t’aime telle que tu es.
Je viens avec ma miséricorde,
avec mon désir de te guérir
par les bienfaits du par-don,
avec tout l’amour que j’ai pour toi ;
un amour au-delà de toute compréhension,
un amour où chaque battement du cœur
est celui que j’ai reçu du Père/Mère même.
Comme Père/Mère m’a aimé,
moi aussi, je vous ai aimés.
Je viens, assoiffé de te consoler,
de te donner ma force,
de te relever, de t’unir à moi,
dans toutes mes blessures »
(Mère Teresa recevant, en priant).
« Aimer, c’est avoir accordé tous ses organes, toutes ses cellules et toutes ses facultés pour qu’ils vibrent à l’unisson dans la lumière et dans la paix.
L’amour véritable est un état de conscience indépendant des êtres et des circonstances. Celui qui a atteint cet état de conscience sent que tout son être est imprégné de fluides divins et tout ce qu’il fait est une mélodie » (Omraam Mikhaël Aïvanhov).
Tiré de : « Vous comprendrez ce qu’est véritablement l’amour quand vous cesserez de le considérer comme un sentiment. Le sentiment est obligatoirement sujet à des variations selon qu’il s’adresse à telle ou telle personne, alors que l’amour véritable est un état de conscience indépendant des êtres et des circonstances.
Aimer, ce n’est pas avoir un sentiment pour quelqu’un, mais vivre dans l’amour et faire toute chose avec amour : parler, marcher, manger, respirer, étudier avec amour… Aimer, c’est avoir accordé tous ses organes, toutes ses cellules et toutes ses facultés pour qu’ils vibrent à l’unisson dans la lumière et dans la paix.
L’amour est donc un état de conscience permanent. Celui qui a atteint cet état de conscience sent que tout son être est imprégné de fluides divins et tout ce qu’il fait est une mélodie » (Omraam Mikhaël Aïvanhov).
Ma part intelligente cherche à connaitre Dieu, assoiffée de savoirs sur lui. Elle construit ses images et ses concepts sur lui. Si elle opère seule, de manière isolée, elle s’embourbe dans ses fabrications d’idoles.
Ma part volontaire, à coups de résolutions déterminées, s’efforce de décider de rester fidèle aux formes de prière qu’elle se sent obligée d’honorer ! Et tant pis si c’est du bout des lèvres. Hélas, ses réserves d’énergie sont limitées et à force de trimer en étant coupée de la source, à la longue, sa batterie interne propre s’épuise peu à peu.
Mes parts intelligente et volontaire sont les seconds du navire, elles peuvent apprendre du capitaine, qui est alimenté par les sources inépuisables et surabondantes : déjà les tout simplement naturelles, l’aquatique et la terrienne qui montent du bas ; la lumineuse qui descend du haut ; l’oxygénante (dont l’inspire et l’expire combinent horizontal et vertical). Le capitaine du navire, lui, commence chaque aventure de prière par l’accueil interne de chaque membre de l’équipage tourmenté, activé d’une manière ou d’une autre. Il met toute son attention sur ce qui est présent, y compris le manque qui déstabilise et l’absence qui creuse le manque. Y compris ? À vrai dire, prioritairement. Car ce manque est l’eau fade de laquelle va jaillir le vin des Noces : ce manque est le verre à moitié vide du besoin qui s’y trouve en creux… En lui offrant toute mon attention, jusqu’à ma considération, je vais cheminer dans mes boyaux psychiques noués, jusqu’au moment – cadeau-surprise – d’une transformation intérieure : de hug en hug, avec chaque part en manque de quelque chose, viendra le moment béni où l’absence deviendra Présence inépuisable et surabondante…
Ainsi alimentées, mes parts intelligente et volontaire peuvent alors se déployer avec leur talent propre : la première me permet de rendre compte de l’expérience vivifiante, la deuxième est excellente pour demeurer fidèle au processus d’empathie envers chaque part tourmentée. Non pas décider d’aimer (à la force du poignet) tout qui ne va pas bien (avec le danger de me donner de bons points et de grimper sur un pied d’estale) mais décider de lui offrir ma curiosité bienveillante, jusqu’à ce que s’ouvre quelque chose, de l’ordre de la vie.
Restaurer une « grandeur » nationale,
c’était essentiel pour Hitler,
après les humiliations
subies par l’Allemagne
après la Première Guerre mondiale.
Combien de millions d’humains
a-t-il entraîné dans sa perte ?
Restaurer une « grandeur » nationale,
c’est essentiel pour Poutine,
après les humiliations
subies par les Russes
après la chute de l’Union soviétique.
Combien de millions d’humains
entraîne-t-il dans sa perte ?
Restaurer une « grandeur » nationale,
c’est essentiel pour Trump,
pour conjurer la fin inexorable
de l’impérialisme américain…
Combien de millions d’humains
entraîne-t-il dans sa perte ?
Restaurer la grandeur de son Royaume de Justice et de Paix,
c’est essentiel pour le Fils de Dieu, après les choix de
puissance des humains à travers leurs guerres dites justes.
Combien de millions d’humains
entraîne-t-il dans son salut ?
Voici le rêve d’un concert des Nations en paix,
avec leurs leaders réunis dans « We are the world » :
https://www.youtube.com/watch?v=D_WQ7XwbiSQ
(impressionnante I.A. nous permettant
de visualiser et d’entendre un tel rêve)…