
« L’Amour est au-delà
du temps et de l’espace.
Nulle distance ne peut
empêcher un cœur de battre.
Lorsque Sa lumière brille,
le ciel s’embrase,
le cœur se consume
dans l’infini de la vie »
(Frédéric Cordier).
La bibliothèque d'Étienne Chomé
Jeux du "je" jusqu'au coeur du coeur
« L’Amour est au-delà
du temps et de l’espace.
Nulle distance ne peut
empêcher un cœur de battre.
Lorsque Sa lumière brille,
le ciel s’embrase,
le cœur se consume
dans l’infini de la vie »
(Frédéric Cordier).
« Ce n’est pas la quantité de tes paroles
que je mesure, mais la fécondité
du cœur d’où provient
ce que tu dis »
(Pierre Abélard).
Le pain, c’est de la farine, de la levure et de l’eau. Ce sont trois éléments distincts qui se rencontrent au point de former une seule substance. Une fois la pâte bien malaxée, le boulanger la façonne avant la cuisson, en la séparant en 3 apprêts : de même substance ET aux formes différentes. Chacun à sa manière va être gonflé et doré par la cuisson. Voilà une manière terre-à-terre, certes très indigente, d’approcher le mystère céleste de la Trinité : notre Seigneur est Un dans la nature, en substance, avec des personnes égales, différentes les unes des autres ET entièrement unies.
Je crois en Dieu
et j’ai goûté à son Amour,
lequel me donne
de croire en nous
et en notre amour,
lequel, à son tour,
me fait goûter à son Amour…
Icônes ci-jointes réalisées par Alain Chenal sur la « périchorèse trinitaire », c’est à dire la relation d’Amour réciproque, unique et sans fin entre les trois personnes de la Sainte Trinité.
« Une joie partagée est une double joie,
une peine partagée est une demi-peine »
(Proverbe anglais).
‘Juin’ vient du latin ‘junius’, en lien avec la déesse romaine Junon, experte en mariage et en fertilité. Juin : le mois de l’éveil qui fleure bon les prémices des vacances et le temps des cerises. Joins-toi à moi pour plonger dans la sonorité suave de ce mot de quatre lettres : JUIN, de toi à moi, a le goût des cerises mûres, les fumets de l’herbe coupée, l’ambiance festive des terrasses ensoleillées.
« Le fini ne se dissout pas dans l’infini, il se détend, il s’ouvre. Il connaît alors la forme que lui donne l’infini sans que cette forme ne l’enferme. L’infini informe le fini il ne l’enferme pas dans sa finitude. Parce qu’ils croient entendre des messages divins, leurs oreilles restent sourdes à toutes paroles d’humanité » (Stefan Zweig).
La reine des abeilles est seule capable de donner la vie dans la ruche. Quand elle meurt, les abeilles ouvrières choisissent une larve qui aurait normalement dû devenir une simple ouvrière comme elles. Pour le coup, tout à coup, son destin change du tout au tout. Nourrie désormais exclusivement de la gelée royale, la larve se développe différemment : son corps grandit et se fortifie bien plus ; sa durée de vie est multipliée par près de vingt ; ses ovaires deviennent actifs.
Les abeilles ouvrières et la reine partageant le même code génétique, ce n’est pas leur ADN qui détermine leur destin distinct mais bien leur nutrition et les soins prodigués, à partir d’un choix qui donne une pérennité à toute la colonie. Ruchement well done, isnt it?!…
Comme il est bon que chacune de nos communautés entoure de soins ses futurs leaders politiques, qui ont besoin d’être nourris et fortifiés par nos soutiens et nos visions !
« Dieu aima les oiseaux et inventa les arbres. L’homme aima les oiseaux et inventa les cages » (Jacques Deval).
« Un oiseau en cage rêve des nuages » (Proverbe japonais).
Une penne, dans le domaine de l’ornithologie, désigne une grande plume de couverture rigide et asymétrique qui sert à la fois aux ailes (rémiges) et à la queue (rectrices) des oiseaux. Elle est essentielle pour le vol et joue un rôle important dans le plumage de l’oiseau.
« La fécondité et la grandeur d’un genre se mesurent souvent au déchet qui s’y trouve » (Albert Camus).
« Les papillons ne sont que des fleurs envolées un jour de fête où la nature était en veine d’invention et de fécondité » (George Sand).
Me revoici, vou zot, pour mon post quotidien… après un long marathon d’activités en continu, sans discontinuer ! Je suis si heureux de reprendre mes créations quotidiennes, que je fais tôt matin, comme d’autres font leur sud-au-kul avant d’aller dormir… Vive la vie !
« Avant de pénétrer dans le Saint des Saints, il te faut enlever tes chaussures, mais pas seulement les chaussures. Il faut aussi te défaire de tout vêtement de voyage et bagage, avec en dessous la nudité et tout ce qui se cache dessous encore. Et puis ensuite, le noyau et le noyau du noyau, puis tout ce qui reste et ensuite le reste, et puis la lueur du feu qui jamais ne disparaît » (Kafka dans ses ‘Journaux’).