Ce qui me rend plus vivant

Écouter et observer
tout en trouvant du sens et de la beauté
dans chaque être rencontré.
Créer un post chaque jour
avec passion et curiosité,
dans l’émerveillement des possibles
et la gratitude,
voilà ce qui me rend plus vivant.

Et toi, qu’est-ce qui te fait sentir plus vivant.e ?
Quel souffle gonfle tes voiles ?
Tu le dévoiles ? 

Ne pas croire en voyant l’illustration que j’aime pêcher.
Je ne pêche jamais, tout en péchant souvent…

Ce qui nous rend vraiment plus vivants

Tel le tournesol qui suit le soleil,
tout être vivant
se tourne spontanément
vers ce qui le rend plus vivant,
à l’exception des êtres humains
qui sont plus complexes,
grâce à leur glorieuse liberté,
leur pouvoir de choisir
par leurs facultés d’intelligence et de volonté
telles que l’instinct peut être détourné.
Ainsi, à la première bouffée de cigarette,
les signaux du corps qui informent clairement
combien c’est toxique peuvent être vite
réduits au silence par des parts évoluées
qui se croient éclairées et éclairantes,
qui sont capables de dominer…

Je nous souhaite bons choix de vie,
vers ce qui nous rend vraiment plus vivant.e !

Mon premier choix est d’exprimer
ma gratitude envers mon corps
qui me rend sans cesse tant de services,
du style :
-l’homéostasie, cette capacité à assurer un équilibre interne (régulation de la température corporelle, équilibrage hydrique et électrolytique, guérison des blessures, etc.),
-la régénération des cellules de mes organes (peau, foie, etc.)
en remplaçant celles qui sont en bout de course vitale,
-la coagulation sanguine en cas d’hémorragie,
-le système immunitaire qui traite les infections,
-la capacité de réparer les tissus endommagés…
Amazing… Merci !

Logorrhée d’autiste / Asperger

« Les caractéristiques de l’autisme sont très variées d’un individu à l’autre. C’est pourquoi on parle de troubles du spectre autistique (TSA) : chaque personne se situe à un degré différent dans ce spectre »  (Centre de Ressources Autisme Ile-de-France / CRAIF). Ainsi , à l’inverse du mutisme (scénario habituel), certaines personnes autistes peuvent avoir une propension très prononcée à la parole. Dans ces cas-là, elles peuvent même parler énormément, voire « trop » pour leur entourage. « Trop parler » pourrait ainsi être un comportement révélateur de TSA et en particulier de syndrome d’Asperger. Bien sûr, le fait de parler énormément ne peut pas constituer une preuve en soi, il ne s’agit que d’une première piste pour aller ensuite vers un diagnostic, en compagnie de professionnels.

Le syndrome d’Asperger, un trouble du spectre autistique, est caractérisé par des difficultés dans les interactions sociales comme se focaliser sur des sujets particuliers et avoir des comportements répétitifs. La logorrhée est une des manifestations de ce syndrome. C’est la tendance à parler de manière excessive, en se perdant dans des monologues détaillés sur ses sujets d’intérêts et sans remarquer les signaux sociaux  indiquant que les personnes autour de soi ne sont pas intéressées, sans repérer quand il est approprié de s’arrêter ou de changer de sujet.

Pour les personnes autistes, cette tendance à parler trop peut avoir des implications sociales et émotionnelles. Elles peuvent être perçues comme égocentriques ou insensibles aux besoins des autres, ce qui peut conduire à des malentendus et à des difficultés dans leurs relations personnelles. De plus, l’incapacité à capter les signaux sociaux peut renforcer leur isolement et leur sentiment de déconnexion par rapport aux autres.

Ce texte abrège les propos répétitifs de https://www.psychologies.com/moi/moi-et-les-autres-moi/insignifiant-en-apparence-ce-comportement-peut-signaler-de-l-autisme-579539.

requin qu’est ?

« J’aime me promener dans les bois, sur les sentiers,
le long des plages. J’aime faire partie de la nature.
J’aime marcher seule. C’est une thérapie.
Il faut être seul pour se ressourcer »
(Grace Kelly).

Que dit un crayon à un taille-crayon surbooké ?


« Prends ton temps,
je ne voudrais pas que tu te blesses
quand tu te tailles ou tu te pointes ! »

Zouaves en balade dans la vie

Faire le zouave : faire le malin, le pitre.

Origine : il y a 180 ans, les Zouaves étaient des soldats algériens kabyles enrôlés dans l’armée française (leur tribu d’origine = les « zwawis », devenus « zouaves » en français). Ils se reconnaissaient tout de suite par leur uniforme unique (très épicé d’allure orientale) mais aussi par leurs traditions atypiques, jugées exubérantes et leur caractère volontaire voire téméraire et bravache…

pageuniforme

Monstres à dormir debout, ça crée

Paradoxe des paradoxes,
la vie orthodoxe est paradoxe.
Les bons contes font les bonnes nuits…

Dans l’histoire que nous racontons à un enfant avant de s’endormir, nous faisons intervenir des monstres à dormir debout, tout en drapant le récit des atours du réel. Serait-ce parce que les fictions cauchemardesques dégagent finalement un goût de sacré qui a le pouvoir bien réel de réparer les esprits et les cœurs ?

Sacré humain quand
ça crée la puissance
étonnante du conte !

La vieillesse pour sortir de la vanité

« Pourquoi un dattier perd-il ses feuilles en automne ?
Pourquoi chaque beau visage devient-il dans la
vieillesse ridé comme le dos d’un lézard lybien ?
Pourquoi une tête chevelue devient-elle chauve ?
Pourquoi est-ce que la force du lion
faiblit jusqu’à disparaître ?

Ils ont mis des robes empruntées
et prétendu qu’elles étaient les leurs.
Dieu reprend les beaux vêtements,
pour qu’ils apprennent la fugacité
de la robe de l’apparence.
Leur lampe est allumée par une autre lampe.
Il est temps de le reconnaître et d’en
rendre grâce avec gratitude »
(Rûmi, La vieillesse).

« Souviens-toi de ton Créateur avant que s’obscurcisse le soleil, au jour où tremblent les gardiens de la maison, où se courbent les personnes vigoureuses qui cessent, l’une après l’autre, de moudre, quand s’éteint la voix de la meule, quand s’arrête le chant de l’oiseau, et quand se taisent les chansons, lorsque l’humain s’en va vers sa maison d’éternité et que les pleureurs sont déjà au coin de la rue, avant que le fil d’argent se détache, que la lampe d’or se brise, que la cruche se casse à la fontaine, que la poulie se fende sur le puits et que la poussière retourne à la terre comme elle en vint, et le souffle de vie à Dieu qui l’a donné. Vanité des vanités, tout est vanité ! » (Qohéleth, 11).

Exercices aériens

Vive le tissu aérien, sport qui consiste à faire des acrobaties aériennes à l’aide de deux longues bandes de tissu souple accrochées au plafond : une activité qui muscle les bras.

Vive la pole dance, qui mêle la danse et les acrobaties autour et sur une barre verticale ( = “pole” en anglais) : un fin mélange entre sensualité, fitness et gymnastique.

La pole dance est accessible à toutes et à tous, homme ou femme… Certaines mamans pratiquent la pole dance avec leurs enfants dès 6 ans. Cette discipline leur enseigne la coordination, la prise de conscience de leur corps et la confiance en soi ; elle offre le renforcement de leur musculature profonde et un corps plus souple : un gage de santé.

Avent-son et lumière…
Avançons vers lumière !

La maladie comme moindre mal pour qu’enfin, cesse la dictature ?

Une part manager d’Arthur ne connait que la lutte : elle se bat durement, à coups de bonnes résolutions. Mais quand ses parts fragiles et blessées n’en peuvent plus d’être ainsi en dictature, intervient un pompier = la part d’Arthur qui le rend malade ; c’est son moyen radical pour empêcher que le manager continue son puissant contrôle, un moyen paradoxal pour soulager à sa façon les parts fragiles en souffrance…

Quelle beauté pour Arthur le jour où il apprendra à vivre un dialogue intérieur de type IFS, afin qu’il rencontre son manager et son pompier dans leur intention positive : chacun, à sa manière, tente du mieux qu’il peut, de protéger. Le manager protège le système par le contrôle ; il exile les parts fragiles dans la cale du navire, espérant que la blessure ne soit pas revécue, en tous cas qu’elle ne mette pas de désordre sur le pont. Le pompier, quant à lui, cherche à contrecarrer le contrôle du manager en vue d’un soulagement-détente des exilés…

Mener un tel dialogue permet l’émergence du Self : ce lieu-source en Arthur, où coule abondamment et naturellement la capacité à entrer et à demeurer en contact, avec curiosité, compassion, clarté et créativité, à partir de la simple Présence capable d’accueillir pleinement chaque part dans ses motivations et intentions profondes… 

L’Avent-sais-tu pas ?
c’est l’avancée pas tue
d’abord dans l’accueil bienveillamment lutin
de nos parts qui luttent, hein !

Rôle précieux de la tristesse

La méthode C-R-I-T-E-R-E, cinquième étape : l’émotion conduit à la chambre du trésor.

Par exemple, la joie est aussi l’art d’accueillir jusqu’au bout la tristesse quand elle vient clignoter sur mon tableau de bord interne… La tristesse est un cadeau en cas de perte pour que je fasse toutes les étapes qui mènent jusqu’à l’acceptation de la perte et ainsi jusqu’à la vie nouvelle après deuil, afin d’expérimenter à nouveau la joie, authentiquement…