« Il est permis de dépasser les bornes,
à condition toutefois de rester dans les limites »
(Pierre Dac).

La bibliothèque d'Étienne Chomé
Jeux du "je" jusqu'au coeur du coeur
« Il est permis de dépasser les bornes,
à condition toutefois de rester dans les limites »
(Pierre Dac).
« Optimiste = personne qui suppose
que faire un pas en arrière
après avoir fait un pas en avant
n’est pas un désastre mais
un cha-cha-cha » (Robert Brault).
Être h s = être hors service.
Et au figuré : personne très fatiguée et indisponible.
Impressionants récit-reportage + prises de vues video
dans Paris lors des inondations de 1910 :
https://www.youtube.com/watch?v=F3Onvwfbclg
Le maréchal de Saxe s’adresse à un soldat, condamné à être pendu pour un menu larcin :
– II faut que tu sois bien misérable pour risquer de perdre ta vie pour six livres.
– Parbleu, mon général, je la risque bien tous les jours pour cinq sous.
Cette réponse lui valut la grâce.
Il fait F . R . O . I . D :
c’est comme ‘froid’,
sauf qu’on se l’épelle
dans l’hémisphère Nord.
Ceci dit, moi, je savoure les 25° du décembre égyptien…
Et courage à l’hémisphère Sud qui bascule dans de fortes chaleurs…
Comme quoi, nos lieux relativisent nos temps : l’hiver a été / à l’été !
Quand chacun parle à partir de ses propres perceptions, cela donne :
Quand certains projettent sur l’autre, cela donne :
L’erreur qui consiste à inverser des consonnes (les linguistes parlent là d’une métathèse), comme dans aréoport pour aéroport et infractus pour infarctus, est intervenue quand mosquito est devenu moustique ou « formage » est devenu « fromage », lequel vient du latin formaticus : « moulé dans une forme » ; le formage est une pâte qu’on met dans une forme. Les Italiens qui disent formagio n’ont pas fait la métathèse !
Pourquoi les canards arrivent toujours à l’heure ?
Parce qu’ils sont dans l’étang.
Voilà, voilà, solidarité avec tous ceux qui plongent dans un hiver froid et arrosé…
Pourquoi les voleurs de salades feraient bien d’arrêter ?
Parce qu’on laitue.
Un cambrioleur vole des objets de valeur dans une belle maison bourgeoise. Soudain, il entend une petite voix qui dit :
— Jésus va te punir, Jésus va te punir !
Le voleur allume sa lampe de poche et demande :
— Qui parle ?
— Moi, le perroquet !
— Ah bon, et comment t’appelles-tu ?
— Coco !
— Coco, mais c’est banal pour un perroquet !
— Peut-être mais Jésus, ce n’est pas banal pour un pitbull !
C’était le premier jour de vol, hors de la maison, pour bébé moustique.
Quand il rentra plus tard ce jour-là, son père moustique lui demanda : “Comment a été ce premier vol ?”
Le bébé moustique répondit : “C’était très bien. Tout le monde m’applaudissait ! »
Une question suscite mon intérêt :
à force de rater le bus,
devient-on
ceinture noire
de karaté ?
Si oui, quelle révolution dans ma vie :
tous mes cars ratés ainsi fécondés !
1) Monsieur et Madame Lairbon ont un fils.
Comment l’ont-ils appelé ?
2) Monsieur et Madame Herrvitemonslip ont un fils.
Comment l’ont-ils appelé ?
3) Monsieur et Madame Vrogne ont une fille.
Comment l’ont-ils appelée ?
4) Monsieur et Madame Oukoi ont deux fils.
Comment les ont-ils appelés ?
5) Monsieur et Madame Cale ont deux filles et un fils.
Comment les ont-ils appelés ?
6) Monsieur et Madame Holl ont cinq filles.
Comment les ont-ils appelées ?
1) Oussama
2) Jean- Philippe
3) Kelly
4) Ted et Bill
5) Anna, Lise, Mehdi
6) Jenny, Diya, Beth, Nicole, Esther
Diya = prénom donné à Maurice (désignant une petite lampe à huile (en hindi : दीया) en argile avec une mèche en coton trempée dans du ghi ou de l’huile végétale.
« Personne ne veut réellement être libre parce que la liberté engendre la responsabilité. Être dépendant est simple : la responsabilité n’est pas sur soi, la responsabilité est sur la personne de qui on dépend. Alors on adopte une façon de vivre schizophrénique. D’un côté, on parle de la vérité, on parle de la liberté ; de l’autre, on vit dans un esclavage qui nous libère d’une certaine responsabilité. Et on vit sa vie dans le mensonge. Celui qui souhaite vraiment devenir libre doit accepter une immense responsabilité. Il ne peut pas déverser sa responsabilité sur quelqu’un d’autre. Quoi qu’il fasse, quoi qu’il soit, il est responsable » (Osho).
Réflexion très responsable,
saupoudrée d’un peu d’humour :
de tous les animaux,
Dieu créa l’homme en dernier !
On sent la fatigue…