Je te donne la définition de procrastiner.
…Et puis, non, tiens, je te la donne demain !
À deux mains…
Tien é-tienne

La bibliothèque d'Étienne Chomé
Jeux du "je" jusqu'au coeur du coeur
Je te donne la définition de procrastiner.
…Et puis, non, tiens, je te la donne demain !
À deux mains…
Tien é-tienne
« Mais quoi qu’il arrive, n’oublie pas qu’il y aura toujours un être au monde vers lequel, à tout moment, tu pourras te retourner ou venir.
Je t’ai donné un jour, du fond du cœur, tout ce que je possède et tout ce que je suis.
Tu le garderas jusqu’à ce que je quitte ce monde bizarre qui commence à me fatiguer.
Mon espoir est seulement que tu apercevras un jour à quel point je t’ai aimée… » (Albert Camus à Maria Casarès).
Savez-vous que Marie Skłodowska-Curie, née à Varsovie (1867 – 1934), est la seule femme à avoir été récompensée par deux prix Nobel (physique et chimie) et que Linus Pauling (1901 – 1994) est le seul homme à avoir été récompensé par deux prix Nobel (chimie et la paix) ?
Quant à lui, Freddy Mercury (1946 – 1991), chanteur et pianiste cofondateur en 1970 du groupe de rock Queen, est le seul humain mort du sida qui nous rende de si bonne humeur avec « Don’t Stop Me Now » !
Législatives en Allemagne, ce 23/2/25 (23 + 2 = 25 !)
Chers voisins,
compatriotes d’Anne Frank, Hannah Arendt,
Ludwig van Beethoven et Albert Einstein,
votez bien !
Je vous souhaite bonne mémoire,
lucidité et clairvoyance…
Bel exemple de l’art de mettre les pieds dans le plat
(ou de glisser sur les mots comme on marche sur une peau de banane) ?
C’est l’histoire d’un mec, non, d’un autre mec, j’en connais plusieurs, à qui on a raconté une histoire et qui l’a très bien comprise, lui, mais qu’au moment de la raconter il était bien emmerdé avec. Et l’histoire qu’on lui a raconté au mec, c’est l’histoire d’un éléphant qu’est dans la jungle.
Un éléphant normal, blanc, y s’approche de la rivière pour boire parce que là-bas y a pas de bistrots. Y va à la rivière,
y met un pied dans l’eau,
y met deuuuuuux pieds dans l’eau,
y met sa trompe dans l’eau,
et à ce moment-là, y a un crocodile qu’arrive et qui lui mange la trompe.
Et l’éléphant y s’relève et y dit : « Et fous trouffez cha trôle ! »
Et le mec à qui on a raconté l’histoire, un jour y se trouve invité à dîner chez des amis, et vous savez comment c’est, souvent les mecs y s’invitent à dîner et y n’ont pas grand-chose à se dire.
L’inénarrable Coluche
Inénarrable = adjectif
« La muse : ce souffle divin qui donne vie aux chefs-d’œuvre, guidant la main de l’artiste vers des sommets insoupçonnés » (Victor Hugo).
Voici une énigme à laquelle le roi
Salomon répondit immédiatement :
Quand les 9 commencent,
les 7 cessent.
Et quand les 9 cessent,
les 2 donnent à boire
et 1 seul boit !
De quoi s’agit-il ?
Réponse :
Il est question de la naissance d’un enfant.
9 mois de grossesse
7 jours (le temps des règles)
2 seins et 1 bébé !…
« J’aime me promener dans les bois, sur les sentiers,
le long des plages. J’aime faire partie de la nature.
J’aime marcher seule. C’est une thérapie.
Il faut être seul pour se ressourcer »
(Grace Kelly).
Que dit un crayon à un taille-crayon surbooké ?
…
…
« Prends ton temps,
je ne voudrais pas que tu te blesses
quand tu te tailles ou tu te pointes ! »
Qui ne connaît pas ce jeu en groupe : tous assis par terre en cercle, tournés vers l’intérieur, en chantant « Ne regardez pas le renard qui passe mais regardez-le quand il est passé ». Sauf un (le renard) qui en fait le tour extérieur et lâche son mouchoir le plus discrètement possible dans le dos d’un du groupe. Tant que le marcheur ne m’a pas dépassé, je n’ai pas le droit de regarder dans mon dos. Si j’ y trouve le mouchoir, je le saisis, me lève au plus vite pour rattraper le marcheur devenu coureur, lequel relève son défi s’il parvient à faire le tour et à s’asseoir à ma place vacante ; je suis alors bon pour le remplacer. Sinon il reste le porteur du mouchoir à larguer. Le top du top pour lui est de parvenir à faire le tour complet à son aise, sans que je n’ai remarqué le mouchoir dans mon dos.
Quand j’étais petit, j’adorais ce jeu où plus on est nombreux, mieux c’est !
Aujourd’hui, quand je suis à l’étranger, j’aime demander aux gens s’ils connaissent ce jeu. Et je suis impressionné par le nombre de variantes : la clé de Saint Georges (« Je porte, je porte, la clé de Saint Georges ; quand je l’aurai assez portée, je la laisserai tomber au pied d’un rocher ») ; le jeu du facteur (la clé est un colis postal : « Le facteur n’est pas passé, il ne passera jamais, lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi, dimanche ») ; « Train, train, train balai » ou « Traîne-traîne, mon balai » ; « À la une, à la deux, à la trois dans la boîte à chocolat » ; « À la quatre, à la cinq, à la six… mangez un petit suisse… ».
Version anglophone : duck, duck, goose : pas de mouchoir mais celui qui court est le picker qui pointe chacun de ses camarades comme duck (canard), jusqu’à ce qu’il choisisse the goose (l’oie) qui doit lui courir après…
Bonnes digestions de ce passage 2024 – 25 !
Si tu te sens trop âgé pour rock ‘n’ roll, alors tu l’es !
« For those about to rock, we salute you (Pour ceux qui sont sur le point de se faire un rock, nous vous saluons) » (AC/DC, légende du hard rock).
« Pourquoi un dattier perd-il ses feuilles en automne ?
Pourquoi chaque beau visage devient-il dans la
vieillesse ridé comme le dos d’un lézard lybien ?
Pourquoi une tête chevelue devient-elle chauve ?
Pourquoi est-ce que la force du lion
faiblit jusqu’à disparaître ?
Ils ont mis des robes empruntées
et prétendu qu’elles étaient les leurs.
Dieu reprend les beaux vêtements,
pour qu’ils apprennent la fugacité
de la robe de l’apparence.
Leur lampe est allumée par une autre lampe.
Il est temps de le reconnaître et d’en
rendre grâce avec gratitude »
(Rûmi, La vieillesse).
« Souviens-toi de ton Créateur avant que s’obscurcisse le soleil, au jour où tremblent les gardiens de la maison, où se courbent les personnes vigoureuses qui cessent, l’une après l’autre, de moudre, quand s’éteint la voix de la meule, quand s’arrête le chant de l’oiseau, et quand se taisent les chansons, lorsque l’humain s’en va vers sa maison d’éternité et que les pleureurs sont déjà au coin de la rue, avant que le fil d’argent se détache, que la lampe d’or se brise, que la cruche se casse à la fontaine, que la poulie se fende sur le puits et que la poussière retourne à la terre comme elle en vint, et le souffle de vie à Dieu qui l’a donné. Vanité des vanités, tout est vanité ! » (Qohéleth, 11).