Quelque part, dans un pays d’Afrique, le premier Ministre discute avec un diplomate européen préoccupé par la politique de conquête des Russes qui viennent ici comme chez eux. Le Ministre les défend :
« Ils ont construit une centrale électrique, un aéroport ; ils nous ont appris à boire de la vodka et à jouer à la roulette russe ».
Le diplomate a une moue d’effroi et de dégoût :
« La roulette russe est un jeu très dangereux ».
« C’est vrai, répond le Ministre, c’est pourquoi nous avons inventé la roulette africaine. Ça vous dirait d’y jouer ? »
« Je ne suis pas sûr… Comment ça se joue ? »
Le Ministre frappe dans ses mains et six magnifiques jeunes femmes totalement nues surgissent. Il explique :
« Choisissez celle qui vous plaît et elle vous donnera du plaisir oralement. »
« Ah, c’est quand même plus plaisant et moins risqué que la roulette russe… »
Et le Ministre d’enchaîner tout de go :
« Choisissez bien ! Sur les six, une seule est cannibale. »
Dans cette image,
licote : en patois bourguignon, cela désigne un loquet qui protège la porte d’entrée ;
coque : enveloppe rigide et protectrice (exemple : coque de noix ou noisettes).
Un couple de sourds-muets attentionné l’un envers l’autre met en place un système de signes pour s’indiquer mutuellement s’ils ont envie de faire l’amour ou pas. La femme mime :
« Si tu veux faire l’amour, tu me touches le sein gauche.
Si tu ne veux pas, tu me touches le sein droit ».
L’homme à son tour mime :
« Si tu veux faire l’amour, tu me secoues le pénis une fois.
Si tu ne veux pas, tu me le secoues 100 fois ».