L’indécence de la souffrance < > l’un des sens de l’amour

L’indécence de la souffrance qui conduit à la mort et

l’un des sens de l’amour qui sauve notre humanité.

Par son amour qui demeure au cœur de l’épreuve, qui traverse la souffrance de part en part, qui transfigure la mort et la colore d’un sens nouveau , le Christ a ouvert une porte que personne, jamais, ne pourra refermer.

C’est par cette petite porte qu’il nous attire encore,

pour vivre nos petites morts, et la grande aussi.

Engendrés au Ciel par un ancrage à la Terre nourricière

Béni soit le féminisme aligné,
qui crée bien mieux qu’une copie pâle
des cerfs-vitudes guerrières du mâle,
lorsqu’il est en mal d’épée !

(?Oraison branchée, connectée,
concert / qu’on sert à l’octave pascale?)

J’entends par « féminisme aligné » le génie, le charisme de la femme à engendrer en nous le ciel et la terre par un enracinement dans la Terre-mère nourricière, base solide de notre sécurité, ET une connexion à la lumière chaleureuse et éclairante du Père qui est aux cieux.

Je rends grâce pour les femmes qui m’ont engendré et initié à cet axe vertical qui fait de nous des ponts entre ciel et terre. Axe qui féconde l’axe horizontal de notre commune humanité, de notre fraternité… Ce double axe en croix, j’y crois et avec lui je crois, je peux croître !

Je crois en ces ancrages comme remèdes à la violence des humains les uns contre les autres. Pâques nous conduit à une non-violence active !

Posté le Lundi de Pâques