Logique du mathématicien Bertrand Russell : « Dans Naples, à douze mendiants étendus au soleil, je proposai une pièce de monnaie à celui qui se montrerait le plus paresseux. Onze d’entre eux bondirent pour venir me la réclamer : je l’ai donc donnée au douzième ! »
« Ainsi que la plupart des gens de ma génération, j’ai été élevé selon le principe que l’oisiveté est mère de tous les vices. Comme j’étais un enfant pétri de vertu, je croyais tout ce qu’on me disait, et je me suis doté d’une conscience qui m’a contraint à peiner au travail toute ma vie. Cependant, à soixante ans, j’en suis venu à penser que l’on travaille beaucoup trop de par le monde… » (Bertrand Russell, Éloge de l’oisiveté).
« J’ai vu des miracles se produire, quand les gens disent la vérité. Pas la “belle” vérité. Pas la vérité qui cherche à plaire ou à réconforter. […] La vérité que tu as peur de dire. L’horrible vérité sur toi que tu caches pour “protéger” les autres. Pour éviter d’être “trop”. Pour éviter d’avoir honte et de te sentir rejeté. Pour éviter d’être vu. La vérité de tes sentiments les plus profonds. La rage que tu as ressassée, dissimulée, maîtrisée. Les terreurs dont tu ne veux pas parler. Les pulsions sexuelles que tu as essayé d’engourdir. Les désirs primaires que tu ne peux supporter de formuler. Les défenses se décomposent enfin, et ce matériel “dangereux” émerge du plus profond de l’inconscient. […] Pas une vérité abstraite. Pas une vérité “spirituelle”, soigneusement formulée et conçue pour prévenir l’offense. Pas une vérité habilement emballée. Mais une vérité humaine désordonnée, enflammée, bâclée. Une vérité sanglante, passionnée, provocatrice, sensuelle. Une vérité mortelle, indomptée et sans fard. Et fragile, collante, suante, vulnérable. La vérité qui permet à l’autre de te voir à l’état brut. La vérité qui fait haleter, qui fait battre ton cœur. C’est la vérité qui te libérera.
J’ai vu des dépressions chroniques et des angoisses permanentes s’effacer du jour au lendemain. J’ai vu s’évaporer des traumatismes profondément enracinés. J’ai vu de la fibromyalgie, des migraines à vie, de la fatigue chronique, des maux de dos insupportables, des tensions corporelles, des troubles de l’estomac, disparaître, ne jamais revenir. […] Pense à toute la tension dans le corps, et aux dommages causés à notre système immunitaire, quand nous vivons dans la peur de “nous montrer”.
Prends le risque de dire ta vérité. […] Trouve une personne sûre, un ami, un thérapeute, un conseiller, toi-même, et laisse-les entrer. Laisse-les te tenir alors que tu te brises. Laisse-les t’aimer alors que tu pleures, rages, trembles de peur, que tu es en plein gâchis. Dis ta putain de vérité à quelqu’un, cela pourrait simplement te sauver la vie, te guérir du plus profond de toi et te connecter à l’humanité d’une manière que tu n’avais jamais imaginée » (Jeff Foster).
Je t’écris un message, convaincu que tu as à l’entendre. Une part de moi y crie ‘help, au secours, à moi’. À vrai dire, c’est faute de trouver en moi un Self leader, capable d’entendre ce cri.
Finalement, je ne t’enverrai pas ce message à toi ; je prends un temps pour lui donner le droit d’être en moi, et me laisser inspirer la petite initiative qui me remet dans le flow de la Vie… Et merci à Ouistiti (ma part jeu de mot), qui y contribue par ses acrobaties de branche en branche (qui me rebranchent à la vie).
Savez-vous que ‘chakra’ en sanskrit signifie cercle et à partir de là roue ? L’Inde antique nous dit que chaque humain vit spirituellement à partir de 7 chakras, chacun ressemblant à une roue de lumière qui tourne dans le sens des aiguilles d’une montre à une vitesse différente. Ils sont le long de la colonne vertébrale, comme des spirales d’énergie de différentes couleurs. Ces principaux centres énergétiques du corps fonctionnent comme des valves-clé qui régulent notre flux d’énergie et donc notre santé. Es-tu tenté ‘sans T’, si tant est tantra ?
« I feel like I’m not on Earth just to shake it and shake it endlessly, you know? » (Shakira).
Cras : ancien français venant du latin ‘crassus’ (= gras, sale).
« Nous devons mettre tous nos défauts et nos faiblesses au travail pour les rendre utiles. Certains diront : « Mais les défauts, il faut les fouler aux pieds, il faut les anéantir ! » Essayez et vous verrez si c’est facile : c’est vous qui serez anéanti. Le problème est le même pour tous les défauts. Qu’il s’agisse de la gourmandise, de la cupidité, de la vanité, vous devez apprendre à les mobiliser afin qu’elles travaillent pour vous dans la direction que vous avez choisie. Si vous êtes seul pour travailler, vous ne pourrez pas réussir » (Omraam Mikhaël Aïvanhov).
Chaque personne présente a été invitée à accueillir et à recueillir ses expériences spirituelles les plus lumineuses, en entendant celles que je présenterai, à partir de mes pratiques d’émergence du Self dans l’IFS (Internal Family System, Dick Schwarz) et d' »Intensif Qui suis-je ? » (Enlightenment Intensive process, Charles Berner).
Un chemin passionné et passionnant de reconnaissance de notre être véritable. Bienvenue à cette conférence hors de l’ordinaire, ouverte à tous, quelles que soient notre religion et notre philosophie de vie…
Merci si vous avez l’élan de diffuser cette invitation !
Le renard et les raisins, fable de Jean de la Fontaine :
« Certain renard gascon, d’autres disent normand, mourant presque de faim, vit au haut d’une treille des raisins mûrs apparemment, et couverts d’une peau vermeille. Le galant en eût fait volontiers un repas… Mais comme il n’y pouvait atteindre : ils sont trop verts, dit-il, et bons pour des goujats. Fit-il pas mieux que de se plaindre ? »
Un obstacle sur notre route et nous voici en train de réinterpréter la réalité, histoire de disposer de bonnes raisons d’abandonner…
Pas chouette ce que nous nous faisons, c’est pour notre pomme…
Victoria’s Secret, lingerie de luxe aux top modèles angéliques, affublées d’ailes : une machine de guerre pour vendre. C’est le numéro un de la lingerie aux États-Unis ! En lançant ses soutien-gorge Body, l’enseigne a pris sa guitare pour chanter son slogan « The perfect Body« , avant de corriger, vu les réactions : « The Body for every body« .
Commentaire de la photo jointe : « le patrimoine architectural d’un pays est le miroir de sa société ! »
Pauvres papillons allant dans la nuit griller leurs ailes sur la première lampe venue / veut-nue :
« Ange ou Démon, de par sa beauté, elle m’ensorcelle. Nul besoin de prières pour capter son attention. Alors que je m’approche, la Divine déplie ses ailes. Ces yeux de braises provoquent en moi d’érotiques frissons. Rien de plus sensuel me sortant de ma torpeur. Hallucinante créature qui, en tout point, me fascine. Aveugle obéissant, je me laisse aller sans heurts. Nonobstant, j’ai peur ; mon âme d’amour se calcine, Idolâtrant ma courtisane comme son pire esclave, Soumis à ma diablesse, entravé par des fers, Cerné par le Styx, un fleuve de haine fait de lave, Qui sépare le monde terrestre des enfers » (un Parisien qui s’est autoproclamé Perceval).
Ce projet m’a fait monter très haut dans l’enthousiasme, tout excité que j’étais d’imaginer tous les possibles, de créer à partir de ces nouvelles perspectives. Les défis m’enchantaient, les inconvénients m’échappaient, les petits cailloux dans ma chaussure à peine perceptibles…
Et puis, progressivement, le poids de nos inerties s’est refait sentir. La réalité des contraintes s’est rappelée à moi. C’est le temps où je démêle avec lucidité ce qui relève de l’appel… et du fantasme… Il y eut un soir, pétant toutes les limites. Il y eut un matin, incarné dans la matière.
Bienvenue à l’un qui a crevé tous les plafonds ! Bienvenue à l’autre qui nous a fait prendre la poutre en face. Les deux contribuent à l’humble accueil du monde tel qu’il devient par nos enthousiasmes et tel qu’il est encore par les résistances qui nous immobilisent encore…