Écouter et observer tout en trouvant du sens et de la beauté dans chaque être rencontré. Créer un post chaque jour avec passion et curiosité, dans l’émerveillement des possibles et la gratitude, voilà ce qui me rend plus vivant.
Et toi, qu’est-ce qui te fait sentir plus vivant.e ? Quel souffle gonfle tes voiles ? Tu le dévoiles ?
Ne pas croire en voyant l’illustration que j’aime pêcher. Je ne pêche jamais, tout en péchant souvent…
Tel le tournesol qui suit le soleil, tout être vivant se tourne spontanément vers ce qui le rend plus vivant, à l’exception des êtres humains qui sont plus complexes, grâce à leur glorieuse liberté, leur pouvoir de choisir par leurs facultés d’intelligence et de volonté telles que l’instinct peut être détourné. Ainsi, à la première bouffée de cigarette, les signaux du corps qui informent clairement combien c’est toxique peuvent être vite réduits au silence par des parts évoluées qui se croient éclairées et éclairantes, qui sont capables de dominer…
Je nous souhaite bons choix de vie, vers ce qui nous rend vraiment plus vivant.e !
Mon premier choix est d’exprimer ma gratitude envers mon corps qui me rend sans cesse tant de services, du style : -l’homéostasie, cette capacité à assurer un équilibre interne (régulation de la température corporelle, équilibrage hydrique et électrolytique, guérison des blessures, etc.), -la régénération des cellules de mes organes (peau, foie, etc.) en remplaçant celles qui sont en bout de course vitale, -la coagulation sanguine en cas d’hémorragie, -le système immunitaire qui traite les infections, -la capacité de réparer les tissus endommagés… Amazing… Merci !
C’est après coup que nous comprenons le sens de ce qui nous arrive… Son sens profond est voilé au moment même, il advient une fois le crépuscule tombé : « la chouette de Minerve ne prend son envol qu’à la tombée de la nuit, à l’irruption du crépuscule » (Hegel), la chouette étant le symbole de la sagesse et de la perspicacité. D’où l’intérêt de recueillir la compréhension profonde des événements dans des bons temps de relecture approfondie.
Voici un document précieux pour faire une telle relecture annuelle (exemples : la décision la plus sage que j’ai prise en 2024 fut =… ; la plus grande leçon que j’ai apprise =… ; les 3 plus grands challenges en 2024 =…) puis dans un deuxième temps, conscientiser mes motivations et intentions pour l’année qui vient :
« Les caractéristiques de l’autisme sont très variées d’un individu à l’autre. C’est pourquoi on parle de troubles du spectre autistique (TSA) : chaque personne se situe à un degré différent dans ce spectre » (Centre de Ressources Autisme Ile-de-France / CRAIF). Ainsi , à l’inverse du mutisme (scénario habituel), certaines personnes autistes peuvent avoir une propension très prononcée à la parole. Dans ces cas-là, elles peuvent même parler énormément, voire « trop » pour leur entourage. « Trop parler » pourrait ainsi être un comportement révélateur de TSA et en particulier de syndrome d’Asperger. Bien sûr, le fait de parler énormément ne peut pas constituer une preuve en soi, il ne s’agit que d’une première piste pour aller ensuite vers un diagnostic, en compagnie de professionnels.
Le syndrome d’Asperger, un trouble du spectre autistique, est caractérisé par des difficultés dans les interactions sociales comme se focaliser sur des sujets particuliers et avoir des comportements répétitifs. La logorrhée est une des manifestations de ce syndrome. C’est la tendance à parler de manière excessive, en se perdant dans des monologues détaillés sur ses sujets d’intérêts et sans remarquer les signaux sociaux indiquant que les personnes autour de soi ne sont pas intéressées, sans repérer quand il est approprié de s’arrêter ou de changer de sujet.
Pour les personnes autistes, cette tendance à parler trop peut avoir des implications sociales et émotionnelles. Elles peuvent être perçues comme égocentriques ou insensibles aux besoins des autres, ce qui peut conduire à des malentendus et à des difficultés dans leurs relations personnelles. De plus, l’incapacité à capter les signaux sociaux peut renforcer leur isolement et leur sentiment de déconnexion par rapport aux autres.
Ce texte abrège les propos répétitifs de https://www.psychologies.com/moi/moi-et-les-autres-moi/insignifiant-en-apparence-ce-comportement-peut-signaler-de-l-autisme-579539.
« Mon conseil en début d’année : abandonner les grandes résolutions abstraites, viser plutôt la réalisation de petits objectifs » (Lee Chambers).
« Plutôt que de vouloir changer totalement qui nous sommes, prenons soin de nous-même pour pouvoir continuer à grandir et à vivre en accord avec nous-même » (Susanne Wolf).
À chaque personne chère à mon coeur, je souhaite ce que je me souhaite pour une bonne année 2025 : un voyage continu vers moi-même, cette quête de cohérence entre ce que je suis à l’intérieur et ce que je montre à l’extérieur, l’écoute attentive de cette bonne boussole intérieure et le courage de me démarquer pour rester fidèle à moi-même…
Apprends, petite grenouille : « qui vole un œuf, vole un bœuf ! » Sors de tes brumes / brouillard / fog, petite frog : « qui part en vogue, finit dans un froc de bouledogue ? »
Origine : il y a 180 ans, les Zouaves étaient des soldats algériens kabyles enrôlés dans l’armée française (leur tribu d’origine = les « zwawis », devenus « zouaves » en français). Ils se reconnaissaient tout de suite par leur uniforme unique (très épicé d’allure orientale) mais aussi par leurs traditions atypiques, jugées exubérantes et leur caractère volontaire voire téméraire et bravache…
« Pourquoi un dattier perd-il ses feuilles en automne ? Pourquoi chaque beau visage devient-il dans la vieillesse ridé comme le dos d’un lézard lybien ? Pourquoi une tête chevelue devient-elle chauve ? Pourquoi est-ce que la force du lion faiblit jusqu’à disparaître ?
Ils ont mis des robes empruntées et prétendu qu’elles étaient les leurs. Dieu reprend les beaux vêtements, pour qu’ils apprennent la fugacité de la robe de l’apparence. Leur lampe est allumée par une autre lampe. Il est temps de le reconnaître et d’en rendre grâce avec gratitude » (Rûmi, La vieillesse).
« Souviens-toi de ton Créateur avant que s’obscurcisse le soleil, au jour où tremblent les gardiens de la maison, où se courbent les personnes vigoureuses qui cessent, l’une après l’autre, de moudre, quand s’éteint la voix de la meule, quand s’arrête le chant de l’oiseau, et quand se taisent les chansons, lorsque l’humain s’en va vers sa maison d’éternité et que les pleureurs sont déjà au coin de la rue, avant que le fil d’argent se détache, que la lampe d’or se brise, que la cruche se casse à la fontaine, que la poulie se fende sur le puits et que la poussière retourne à la terre comme elle en vint, et le souffle de vie à Dieu qui l’a donné. Vanité des vanités, tout est vanité ! » (Qohéleth, 11).
Vive le tissu aérien, sport qui consiste à faire des acrobaties aériennes à l’aide de deux longues bandes de tissu souple accrochées au plafond : une activité qui muscle les bras.
Vive la pole dance, qui mêle la danse et les acrobaties autour et sur une barre verticale ( = “pole” en anglais) : un fin mélange entre sensualité, fitness et gymnastique.
La pole dance est accessible à toutes et à tous, homme ou femme… Certaines mamans pratiquent la pole dance avec leurs enfants dès 6 ans. Cette discipline leur enseigne la coordination, la prise de conscience de leur corps et la confiance en soi ; elle offre le renforcement de leur musculature profonde et un corps plus souple : un gage de santé.
Les tests projectifs utilisent des images ambiguës ou d’autres stimuli ambigus pour évaluer les peurs, les désirs et les défis inconscients d’une personne.
Il y a plus d’un siècle, Alfred Binet puis Hermann Rorschach ont accompli de belles tâches en mettant au point « le test des taches », s’appuyant sur le fait qu’une personne révèle certains aspects cachés de sa personnalité par l’interprétation qu’elle fait d’une scène ambiguë.