Dans le dictionnaire, je suis tombé sur le mot
« Indéfinissable ». Et y avait une définition !
Ils se paierait pas notre tête ?

La bibliothèque d'Étienne Chomé
Jeux du "je" jusqu'au coeur du coeur
Dans le dictionnaire, je suis tombé sur le mot
« Indéfinissable ». Et y avait une définition !
Ils se paierait pas notre tête ?
« Mon cher, quel que soit le système politique,
les hommes de pouvoir sont toujours des parleurs »
(Georges Duhamel, Vie et aventures de Salavin).
« Il ne faut pas jouer avec la langue française.
Personnellement, jeu de mots-torise
aucun calembour » (Grégoire Lacroix).
Circulez, tambourins, il
n’y a aucun bal-en-cours !
« On prend souvent pour de la passion
une impatience passagère du cœur »
(Victor Cherbuliez).
Le 2 octobre est jour de fête nationale en Inde :
c’est le Gandhi Jayanti / Gandhi Day.
« La voie de la non-violence véritable
exige beaucoup plus de courage
que celle de la violence »
(Mohandas Karamchand Gandhi,
né le 2 octobre 1869).
« Se réunir est un début ;
rester ensemble est un progrès ;
travailler ensemble est la réussite »
(Henry Ford, décédé en 1947).
Dans l’image ci-jointe,
ils se la coulent douce
= forme elliptique de
« couler une vie douce ».
Comment l’équipe apostolique est passée de douze à onze ? Pas douce et pas cool, notre liberté quand elle coule l’équipe ! Mes choix ont un impact réel sur ma famille, mes cercles d’amitié, de travail…
« Le moindre mouvement importe à toute la nature : la mer entière change pour une pierre. Ainsi, dans la grâce, la moindre action importe pour ses suites à tout. Donc, tout est important » (Pascal, Pensées).
« Tout nous peut être mortel, même les choses faites pour nous servir, comme dans la nature les murailles peuvent nous tuer, et les degrés nous tuer, si nous n’allons avec justesse » (Pascal, Pensées).
« J’ai maintenu ma vie,
en voyageant parmi les arbres jaunes,
selon les pentes de la pluie,
sur des versants silencieux,
surchargés de feuilles de hêtre.
J’ai maintenu ma vie,
en chuchotant dans l’infini silence »
(Georges Séféris, Epiphania).
« S’ils ont la peau noire, jaune, ou blanche, les humains ont tous la même origine. Très peu de leurs gènes diffèrent. Les nuances de couleur de peau sont des adaptations ajustées au milieu dans lequel chacun vit ! » (Nina Marchi, Musée de l’Homme).
Ce WE-ci, au cours de la conférence européenne de Church and Peace (à Baarlo, aux Pays-Bas), nous serons une centaine des 4 coins de l’Europe et plusieurs d’Afrique à relever le défi d’accueillir ensemble les souffrances causées par le racisme + la discrimination. Nous allons vivre ensemble un laboratoire d’expérimentation de relations nouvelles entre personnes de couleurs et d’ethnies différentes, dans la joie de ces chemins de fraternité que rend possible l’accueil du Dieu de Jésus-Christ au milieu de nous, Lui qui nous répète que nous sommes tous de la même famille.
Voici le flyer :
https://www.church-and-peace.org/fr/2023/05/conference-europeenne-vaincre-le-racisme-dans-leglise/.
« Les jours où iels n’avaient pas l’occasion de parler un peu, juste tous les deux, iel se sentait vide » (Carina Rozenfeld, La Symphonie des abysses, Robert Laffont, 2014, livre 1).
L’amour durable m’apprend
à me défusionner de mon amoureuse.
Je laisse là les horizons du monde extérieur.
Je regarde, écoute, sens à l’intérieur.
Oui, oui,
Vie vibre
au fond
de mes tréfonds.
J’ouvre la porte de cet espace sacré en moi,
qui contient tous les trésors.
C’est le plus beau cadeau qui m’est fait :
l’Esprit incarné de manière unique en moi.
Je suis moi-même ce cadeau.
En faire l’expérience en moi,
pas seulement par l’autre…
Pour moi, ce cadeau d’amour
se trouve en moi d’abord.
Pour l’autre, ce cadeau d’amour
se trouve en lui d’abord.
Une fois que chacun a bien reçu son cadeau propre,
nous pouvons en jouir l’un avec l’autre…
Quand bien des blessures encombrent le corridor de notre relation,
il m’est précieux alors de porter toute mon attention sur ce qui
compte prioritairement entre nous deux. C’est ceci :
établir la connexion, nourrir le lien,
sentir ce qui est vivant ici et maintenant,
accueillir nos complicités spontanées,
apprécier ce qui vibre en moi, entre nous, en toi,
goûter à la joie d’être côte-à-côte, simplement,
savourer ce que je reçois, ce que je donne,
me régaler de notre profonde connivence,
me délecter de ce qui fait chanter nos cœurs et nos âmes,
jouir de nos parfums qui jouent comme des exaltateurs d’arôme,
en présence l’un de l’autre,
déguster les saveurs, exhausteurs de goût qui se dégagent alors,
rendre grâce pour ce qu’Il nous donne par cette présence l’un à l’autre,
cette joie de la communion qui me parle d’éternité.
Tout cela suppose de pouvoir rester dans l’ici et maintenant, pour profiter pleinement de ce qui est là : ne pas t’enfermer ni dans mes blessures du passé ni dans mes projets, dans mes attentes, ni dans ce que nous avons fait de mal ni dans tes propres projections. Accueillir ce qui vient et aussi accepter ce qui ne vient pas. Être présent avec suffisamment d’espace intérieur et de gratuité que je me réjouis de ce qui est donné + reçu ET que je suis aussi OK avec ce qui n’est pas donné + reçu…