Il fait F . R . O . I . D : c’est comme ‘froid’, sauf qu’on se l’épelle dans l’hémisphère Nord.
Ceci dit, moi, je savoure les 25° du décembre égyptien… Et courage à l’hémisphère Sud qui bascule dans de fortes chaleurs… Comme quoi, nos lieux relativisent nos temps : l’hiver a été / à l’été !
Quand chacun parle à partir de ses propres perceptions, cela donne :
Quand certains projettent sur l’autre, cela donne :
L’erreur qui consiste à inverser des consonnes (les linguistes parlent là d’une métathèse), comme dans aréoport pour aéroport et infractus pour infarctus, est intervenue quand mosquito est devenu moustique ou « formage » est devenu « fromage », lequel vient du latin formaticus : « moulé dans une forme » ; le formage est une pâte qu’on met dans une forme. Les Italiens qui disent formagio n’ont pas fait la métathèse !
Je suis en train de présenter à l’Université Senghor (à Alexandrie, en Égypte) la méthode C-R-I-T-E-R-E, que j’ai forgée. Elle nous met au défi d’articuler 3 compétences : 1) C-R : au sein d’un cadre de droit ajusté, délivré des jeux de pouvoir, 2) I : déployer une communication vraie, sincère, authentique, pour vibrer aux trésors de chaque partie et honorer ce qui lui importe le plus ; 3) T-E-R-E : et parvenir ensuite à une négociation efficace pour optimiser le meilleur accord possible, de laquelle tout le monde sort gagnant.
C = Se mettre d’accord sur le Cadre R = Se mettre d’accord sur les Règles du jeu I = Combiner Intelligences émotionnelle et rationnelle pour définir en profondeur le problème T = Trouver un maximum d’idées E = Evaluer les solutions imaginées R = Retenir la meilleure idée et la planifier avec Réalisme E = Evaluer ultérieurement les résultats obtenus
Cf. Chomé Étienne, La méthode C-R-I-T-E-R-E pour mieux gérer nos conflits, Presses universitaires de Louvain P.U.L., 2009, disponible en français et en anglais et les sessions organisées par le réseau CommunicActions (www.communicactions.eu et www.communicactions.org).
« Les couleurs primaires de la lumière sont le rouge, le vert et le bleu. Si vous les soustrayez du blanc, vous obtenez du cyan, du magenta et du jaune. Le mélange des couleurs génère de nouvelles couleurs. Le mélange de ces trois couleurs primaires génère du noir. À bonne température, les couleurs chaudes se composent d’orange, de rouge, de jaune et de combinaisons de couleurs similaires. Elles font penser au chaud, comme la lumière du soleil et la chaleur. A l’opposé, les couleurs froides sont caractérisées par le bleu et le vert. Là où les couleurs chaudes vous rappellent la chaleur et le soleil, les couleurs froides rappellent l’eau et le ciel, même la glace et la neige.
Les couleurs neutres sont des nuances atténuées qui changent avec l’éclairage comme le beige ou le marron. Elles ne figurent pas sur la roue chromatique mais complètent les couleurs primaires et secondaires » (Adobe.com).
Comment expliquer à son enfant d’où vient le nombre π (3,14…) ?
Prendre n’importe quel objet rond, telle une assiette à table.
Inviter son enfant à découper une ficelle de la longueur du diamètre et une autre de la longueur de la circonférence.
Lui demander combien de fois la première ficelle rentre dans la deuxième ; il répondra : 3 fois et un peu plus. Il vient de trouver π = le nombre que le diamètre peut remplir la circonférence = le rapport entre le diamètre et le périmètre de tout cercle, quelle que soit sa grandeur !
π dit l’unité de tous les cercles dans leur infinie diversité…
Vive le tissu aérien, sport qui consiste à faire des acrobaties aériennes à l’aide de deux longues bandes de tissu souple accrochées au plafond : une activité qui muscle les bras.
Vive la pole dance, qui mêle la danse et les acrobaties autour et sur une barre verticale ( = “pole” en anglais) : un fin mélange entre sensualité, fitness et gymnastique.
La pole dance est accessible à toutes et à tous, homme ou femme… Certaines mamans pratiquent la pole dance avec leurs enfants dès 6 ans. Cette discipline leur enseigne la coordination, la prise de conscience de leur corps et la confiance en soi ; elle offre le renforcement de leur musculature profonde et un corps plus souple : un gage de santé.
Une part manager d’Arthur ne connait que la lutte : elle se bat durement, à coups de bonnes résolutions. Mais quand ses parts fragiles et blessées n’en peuvent plus d’être ainsi en dictature, intervient un pompier = la part d’Arthur qui le rend malade ; c’est son moyen radical pour empêcher que le manager continue son puissant contrôle, un moyen paradoxal pour soulager à sa façon les parts fragiles en souffrance…
Quelle beauté pour Arthur le jour où il apprendra à vivre un dialogue intérieur de type IFS, afin qu’il rencontre son manager et son pompier dans leur intention positive : chacun, à sa manière, tente du mieux qu’il peut, de protéger. Le manager protège le système par le contrôle ; il exile les parts fragiles dans la cale du navire, espérant que la blessure ne soit pas revécue, en tous cas qu’elle ne mette pas de désordre sur le pont. Le pompier, quant à lui, cherche à contrecarrer le contrôle du manager en vue d’un soulagement-détente des exilés…
Mener un tel dialogue permet l’émergence du Self : ce lieu-source en Arthur, où coule abondamment et naturellement la capacité à entrer et à demeurer en contact, avec curiosité, compassion, clarté et créativité, à partir de la simple Présence capable d’accueillir pleinement chaque part dans ses motivations et intentions profondes…
L’Avent-sais-tu pas ? c’est l’avancée pas tue d’abord dans l’accueil bienveillamment lutin de nos parts qui luttent, hein !
« La liberté extérieure que nous atteindrons dépend du degré de liberté intérieure que nous aurons acquis. Si telle est la juste compréhension de la liberté, notre effort principal doit être consacré à accomplir un changement en nous-même » (Mahatma Gandhi).
L’IFS ((Internal Family System) nous invite à un dialogue intérieur dans lequel émerge le Self, ce lieu-source en nous, dont l’écoute curieuse et généreuse libère nos parts chargées de fardeaux, jusqu’à restaurer une vie psychique et relationnelle harmonieuse.
La méthode C-R-I-T-E-R-E, cinquième étape : l’émotion conduit à la chambre du trésor.
Par exemple, la joie est aussi l’art d’accueillir jusqu’au bout la tristesse quand elle vient clignoter sur mon tableau de bord interne… La tristesse est un cadeau en cas de perte pour que je fasse toutes les étapes qui mènent jusqu’à l’acceptation de la perte et ainsi jusqu’à la vie nouvelle après deuil, afin d’expérimenter à nouveau la joie, authentiquement…