
« Ta bouche, c’est le ciel même,
mon âme veut s’y poser :
puisse mon souffle suprême
s’en aller dans ce baiser ! »
(Victor Hugo, La Esmeralda, III, 3).
La bibliothèque d'Étienne Chomé
Jeux du "je" jusqu'au coeur du coeur
« Ta bouche, c’est le ciel même,
mon âme veut s’y poser :
puisse mon souffle suprême
s’en aller dans ce baiser ! »
(Victor Hugo, La Esmeralda, III, 3).
« Si les cochons avaient des ailes,
quelles montgolfières sensationnelles,
leur queue servant de gouvernail !
Tout est bon dans cochon ! Poitrail,
laissez-le retourner la terre,
il fécondera la jachère.
Bon sur terre, mer, air : quelle lumière ! »
(É tienne Chauds mets, Balance le meurtre de tant de porcs-d’hamsters-d’âmes).
« Roule que rouleras, à ta maison tu reviendras » (Proverbe provençal).
« Qui sait si deux parallèles ne se rencontrent pas quand on les perd de vue ? » (Fernando Pessoa).
« Roule que rouleras, à ta maison tu reviendras » (Proverbe provençal).
« Qui sait si deux parallèles ne se rencontrent pas quand on les perd de vue ? » (Pessoa).
« La crise n’existe vraiment que dans la mesure où nous y résistons. Elle durera aussi longtemps que nous nous accrocherons aux repères que nous avons perdus. L’innovation n’est pas une idée nouvelle, mais une vieille croyance qu’on abandonne » (Bertrand Piccard, Changer d’altitude).
« Vouloir tout changer, c’est ne rien changer. Le changement se trouve dans l’art du petit pas, qui se répète jusqu’à s’installer dans ma routine quotidienne » (Étienne Chomé).
« Les promesses engraissent les oreilles, pas les joues » (Proverbe rwandais).
« Les promesses de la nuit, faites de beurre, fondent au soleil » (Proverbe arabe).
À toi qui lis mes chaumesqueries, j’adresse mes meilleurs vœux d’innovation pour 2021, dans tous les registres de ta vie.
Chaque an neuf n’est-il pas une porte ouverte, une invitation à se réinventer ?
À renaître, ose dire carrément Jésus ;
voir mon post http://etiennechome.site/vieillir-renaitre/) ?
Ét tienne Chaud met
« Il faut donc toujours tout quitter, ne créer que pour rompre, nous retrouver non point en exil, mais en dehors de toute chose une fois faite, ne jamais nous laisser enfermer dans aucun ordre de plénitude, et regarder toute perfection comme le trompe-l’œil d’un tombeau » (Pierre Emmanuel, Le tombeau d’Orphée).
« Désormais, à chaque fois que je rencontre une personne forte, je veux savoir : quelles ténèbres avez-vous dû traverser dans l’histoire de votre vie ? Les montagnes ne se dressent pas sans tremblement de terre » (Katherine MacKenett).
« C’est bien souvent en allant au fond de soi que l’on refait surface » (Jérôme Touzalin).
« Dans la solitude, on y est sans fruit, quand on y est malgré soi » (Fénelon, De l’éducation des filles. Dialogues des morts, 1712).
« La solitude, j’en goûte les fruits, quand j’y suis avec moi » (É tienne Chaud met, De la rééducation de mes membres blessés avec aqui je dialogue, 2021).
80 ans : tonnerre de Brest,
bon anniversaire, Capitaine Haddock,
aussi irascible que généreux !
Être un olibrius bourré
et un zigomar bourru,
ça sert à quoi ? Sinon à protéger le fond de sa bouteille hyper sensible et au cœur tendre… Circulez, Bachi-bouzouk des Carpathes, cons-centrés de moules à gaufres, Zouaves interplanétaires, espèces de loup-garou à la graisse de renoncule de mille sabords, bayadères de carnaval, bandes de canaques, d’ectoplasmes, de zapotèques de tonnerre de Brest, sans oublier les bougres de zouaves d’anthropopithèques, d’amiral de bateau-lavoir et de crème d’emplâtre à la graisse de hérisson…