Je croîs qu’en maladie / quand mal-a-dit

 Y aurait-il maladie moindre mal choisi par le corps afin d’éviter pire encore ?

Déjà, la science observe que le corps peut inhiber certaines fonctions pour en préserver d’autres ; déclencher des « problèmes » (fièvre, inflammation, fatigue) qui sont en réalité des cadeaux pour mieux se défendre et guérir ; sacrifier une partie pour préserver l’ensemble… Formidable capacité de s’adapter en permanence !

Plus difficile à vérifier, le corps peut exprimer un conflit intérieur ou une tension psychique à travers une maladie. Exemple : une personne en situation de stress chronique développe une maladie de peau. Son corps trouve ce moyen d’expression visible plutôt que de laisser le stress affecter le cœur ou le système nerveux.

Bienheureuse et sage la personne qui écoute les messages de son corps et qui reçoit un début de maladie comme un appel à prendre soin du dysfonctionnement et à rétablir l’équilibre… Mon corps est tourné vers la vie, bêtement / instinctivement, heureusement. Il s’agit d’être avec l’organe corporel douloureux et de le prendre pour précieux guide fiable : suivre humblement et dans la confiance ses sensations physiques qui vont me conduire assurément exactement là où il y a le déséquilibre, là où le corps va rééquilibrer, en ma présence bienveillante, dans la douceur.

Mes autres posts sur ce sujet :
http://etiennechome.site/comme-une-visite-au-malade/
http://etiennechome.site/le-processus-naturel-de-guerison-devant-une-attaque-externe/
http://etiennechome.site/le-corps-sait-sans-corset/