Et si le germe comptait moins que le terrain ?
Et si le virus s’arrêtait peu dans un système immunitaire de qualité et avait de bonnes raisons de s’attarder dans un système dysfonctionnel ?
Et si les agents pathogènes
étaient des éboueurs utiles
pour nettoyer et réordonner à la vie ?
Et s’ils étaient parfois ces sécateurs
émondant ce qui meurt et
provoquant le vivant à traverser
la mort pour mieux renouer avec la vie ?
Cf. https://etiennechome.site/comme-une-visite-au-malade/
À méditer et à pratiquer en temps de paix,
en amont d’une grave alerte de santé…
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