« La pensée sans poésie, c’est comme un paysage sans ciel : on y étouffe » (Henri-Frédéric Amiel, Grains de mil, 1854).
La bibliothèque d'Étienne Chomé
Jeux du "je" jusqu'au coeur du coeur
« La pensée sans poésie, c’est comme un paysage sans ciel : on y étouffe » (Henri-Frédéric Amiel, Grains de mil, 1854).