Mets ta physique jusqu’au-delà, pas en-deça des antennes de la science

Photos ci-dessous du Mont Saint-Michel ébloui par le feu d’artifice de la comète Neowise ! Bonne fête, mes chers voisins de France. Que vous puissiez célébrer la danse du Vivant quand la terre reçoit les lumières du ciel…
Nous sommes nés avec des antennes qui captent bien plus que ce qui est visible et mesurable… Je nous souhaite la magie de l’ingénu ingénieux, capable de science et aussi d’au-delà métaphysiques ! Double défi : ne pas être en-deça des acquis que nous offre la méthodologie scientifique ET ne pas y réduire « l’essentiel, invisible pour les yeux » et pour nos instruments de mesure scientifiques…
Entende qui a des oreilles… métaphysiques : mets ta physique jusqu’au-delà, pas en-deça des antennes de la science…
É-tienne Chaud-met

Séduire plusieurs fois la même femme : délice sans fin d’alliance, âme à âme

« Ce que j’appelle amour est entier dans cette phrase d’un rabbin rescapé d’un camp de la mort : « la souffrance a tout calciné, tout consumé en moi, sauf l’amour. » Si cette phrase nous atteint de plein fouet, c’est que nous sentons bien combien nous sommes loin des représentations, du décorum de l’âme. L’amour est ce qui reste quand il ne reste plus rien. Nous avons tous cette mémoire au fond de nous quand, au-delà de nos échecs, de nos séparations, des mots auxquels nous survivons, monte du fond de la nuit comme un chant à peine audible, l’assurance qu’au-delà des désastres de nos biographies, qu’au-delà même de la joie, de la peine, de la naissance et de la mort, il existe un espace que rien ne menace, que rien jamais n’a menacé et qui n’encourt aucun risque de destruction, un espace intact, celui de l’amour qui a fondé notre être » (Christiane Singer).

« Par-delà les idées du bien et du mal, il y a un champ. Je t’y retrouverai » (Djalâl-od-Dîn Rûmî).

Christine, épouse chérie / pas toujours tendrement chérie, en 33 ans, nous avons appris ensemble que c’est par-delà les idées du bien et du mal, qu’il y a ce chant, parfois à peine audible, où nous pouvons nous retrouver… Je t’aime, bien plus et un peu mieux que dans ma fougueuse jeunesse !

Quand tu oses, tu vois la vie en rose

« Il faut se tromper, il faut être imprudent, il faut être fou. On est infirme, autrement » (Jacques Brel, Belge éternel).

« Entre possible et impossible, deux lettres et un état d’esprit » (Charles de Gaulle, a la gaule de France).

« Il faut toujours viser la Lune, car même en cas d’échec, on atterrit dans les étoiles » (Oscar Wilde, wide poet, ose-car from Ireland, 1854-1900).

« Il y a un moment, dans la vie, où on sait que c’est exactement le moment de franchir le pas. Maintenant ou jamais. Maintenant, ou plus rien ne sera comme avant. Et ce moment, c’est maintenant » (Federico Moccia, Roma, arôme caput mundi).

Syntonie musculaire : « la libération du ressenti par le dialogue tonico-émotionnel »

La syntonie musculaire est la clé de la formation de « la libération du ressenti par le dialogue tonico-émotionnel » du Dr Jean Lerminiaux, neuropsychiatre, 89 ans, naïf / natif à souhait ! Il est passionné par l’étude du tonus musculaire et de la relation tonico-émotionnelle comme base d’une thérapie, notamment à partir d’une lecture corporelle minutieuse.

Je vous recommande vivement sa formation, ancrée dans le meilleur des découvertes en neurosciences : durant 6 week-ends de trois jours (à Bruxelles), des exercices et des mises en situation conduisent chaque participant à développer ses propres capacités d’observation et d’écoute de son ressenti, jusqu’à rencontrer ses propres blocages…

Site web : http://www.sfp-asbl.com.

E-mail : jlsecretariat@gmail.com.

L’enthousiasme donne du souffle

L’étymologie de « s’en-thou-siasmer » parle de Dieu (εν θεοῦ [èn théou]) et de son souffle de vie, présent dans toutes les sagesses du monde : Prāṇa hindou / Qi Chi Shū chinois / Ruah hébreu / Rûh musulman / Pneuma grec / Anima latin / Ankh égyptien / Mana polynésien / Orenda amérindien / Od germain…

Heureux qui rend grâce d’être insufflé et inspiré par ce Souffle, Présence qui oxygène et que tous respirent…

On s’aime : un cadeau… . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . => On sème des cadeaux

« Le cadeau n’a rien à voir avec son prix, il tient tout entier dans l’intention et la beauté du geste. Si humble soit-il, il est comme un émissaire de la personne et garde sur lui son empreinte » (Pascal Bruckner, La sagesse de l’argent, 2016).

« Le plus précieux cadeau que nous puissions offrir aux autres est notre présence. Quand notre énergie de compréhension et d’amour prend dans ses bras ceux que nous aimons, ils se mettent à éclore comme des fleurs » (Thich Nhat Hanh, La Paix en soi, la paix en marche, 2006).

« La tendresse a des secondes qui battent plus lentement que les autres » (Romain Gary, Gros-Câlin, 1974).

Tes yeux, dont je suis bleu ; ces éclats d’or, à l’orée du trésor

« Être vivant, c’est être vu, entrer dans la lumière d’un regard aimant » (Christian Bobin).

« Quand je porte sur l’autre un regard amoureux, je lui révèle sa nature profonde, je le rappelle à son identité véritable… Le regard de celui qui m’aime, ce regard qui voit en moi ce que je suis dans ma profondeur me place dans ma royauté, me remet dans la lumière originelle » (Christiane Singer).

Trésor que nous portons dans des vases d’argile, lumière vacillante, jaillie de ma lampe à huile

« Peut-être Dieu n’est-il dans nos mains qu’une petite flamme qu’il dépend de nous d’alimenter et de ne pas laisser s’éteindre. […] Combien de malheureux qu’indigne la notion de son omnipotence accourraient du fond de leur détresse si on leur demandait de venir en aide à la faiblesse de Dieu ? » (Marguerite Yourcenar, L’œuvre au noir).

« Dieu a dit : « Que la lumière brille du sein des ténèbres ». Il a lui-même brillé dans notre cœur pour y faire resplendir la connaissance de la gloire de Dieu qui rayonne du visage de Jésus-Christ. Mais ce trésor, nous le portons dans des vases faits d’argile, pour que ce soit la puissance extraordinaire de Dieu qui se manifeste, et non notre propre capacité » (2 Corinthiens 4,6-7).

Des forts sans faire d’efforts

« Par les soirs bleus d’été, j’irai dans les sentiers,
Picoté dans les blés, fouler l’herbe menue :
Rêveur, j’en sentirai la fraîcheur à mes pieds.
Je laisserai le vent baigner ma tête nue.
Je ne parlerai pas, je ne penserai rien.
Mais l’amour infini montera dans l’âme.
Et j’irai loin, bien loin, comme un bohémien,
Par la nature, heureux comme avec une femme »
(Arthur Rimbaud, Sensation, 1870).

« Celui pour qui le temps est comme l’éternité
et l’éternité est comme le temps,
celui-là est libéré de toute lutte »
(Jacob Boehme, L’Aurore Naissante, 1612).