Tout bon développement personnel . . . . . . . . . . . . . . . conduit au dépouillement personnel

« Un besoin n’a pas d’abord besoin d’être satisfait, il a surtout besoin d’être reçu, reconnu, écouté. Et quand il y a en moi de la générosité pour l’accueillir, quand je regarde avec lui ce qui lui ferait du bien concrètement, voilà que ce besoin n’a plus la même nécessité impérieuse d’être assouvi. C’est comme si, en étant honoré et pris au sérieux, il goûte à l’essentiel, savoure ma présence bienveillante qui prend soin de lui. Et, du coup, il quitte la place centrale qu’il occupait jusque-là, les stratégies deviennent accessoires. Il y a plus d’espace en moi, une ouverture à une aspiration plus profonde, des motivation et intention plus fondamentales…

Ainsi, un développement personnel authentique ne conduit pas au nombrilisme égocentrique : « moi, je ; moi, je ». il réalise un magnifique désencombrement et donne envie d’un véritable altruisme. Car, une fois l’empathie aux commandes, qui cesse d’être soi-niant devient soignant » (Étienne Chomé, Apprendre à mieux gérer nos conflits. Une communication vraie et une négociation efficace, paru en 2005 à l’île Maurice, p. 175-177 + La méthode C-R-I-T-E-R-E pour mieux gérer nos conflits, de 2009, p. 237-239).  

Étape 6 du parcours de formation C-R-I-T-E-R-E !

D’où nous vient cette lumière ?

« Je viens vers toi dans cette lumière, j’ai envie de rire et de crier. Mon cœur est plein de ciel » (Jean-Baptiste Rossi, plus connu sous son nom de plume Sébastien Japrisot).

« Qu’est-ce qu’une relation « sainte » / sacrée ? Deux êtres réunis par la Source, qui en rayonnent la paix et l’Amour en mouvement » (Nadine Delhaye, alias Hermine).

« En faisant scintiller notre lumière, nous offrons aux autres la possibilité d’en faire autant » (Nelson Mandela, Discours d’investiture du 10 mai 1994).

Synchronicités suspectes et Saint Chronicité à point nommé…

« Tant que le maquillage sera ma vie, quand reconnaitrais-je mon visage ? » (Guy Ferré).

« La photographie devient de l’art quand elle dévoile l’âme et révèle l’authenticité du sujet » (Monique Moreau).

« C’est la flamme intérieure qui fait les vraies bonnes photos » (Laetitia Casta).

« L’authenticité se révèle dans la constance, non dans les circonstances » (Kheira Chakor).

Le réverbère et le rayonnement d’un être solaire

« Nous ne saurons jamais tout le bien qu’un simple sourire peut être capable de faire » (Mère Teresa).

« L’amour est la source de lumière qui apporte à la vie son meilleur éclairage » (Ariane Angeloglou, Petit Dictionnaire de l’amour).

« Quand la lumière de l’amour ne pénètre plus un cœur, sa nuit ressemble aux ténèbres » (Bernard Willems-Diriken, Le Bûcher des Illusions).

Merci, pardon, s’il te plaît

De la manière de transformer nos grains de blé et de riz en paillettes d’or…
Les trésors les plus précieux sont d’une simplicité déconcertante, dont le rituel de coucher suivant. Vécu fidèlement, seul ou en couple ou en famille, pendant quelques minutes, il marque la nuit et colore toute la vie.
Nommer et exprimer de la manière la plus concrète et précise possible
a) 1 à 3 MERCI recueillant un bien bon de la journée,
b) PARDON pour un geste / une parole qui n’a pas fait du bien,
c) S’IL TE PLAÎT s’ouvrant avec attention et intention à l’advenue demain d’un bien bon…
Et le soir suivant, repartir de c).
Cette prière d’alliance honore simplement le précieux en nous…

« Le chariot s’arrêta là où je me tenais. Ton regard tomba sur moi et tu descendis avec un sourire. Je sentis que la chance de ma vie était enfin venue. Soudain, alors, tu tendis ta main droite et dis :
« Qu’as-tu à me donner ? »
Ah ! quel jeu royal était-ce là de tendre la main au mendiant pour mendier ! J’étais confus et demeurai perplexe ; enfin; de ma besace, je tirai lentement un tout petit grain de riz et te le donnai.
Mais combien fut grande ma surprise lorsque, à la fin du jour, vidant à terre mon sac, je trouvai un tout petit grain d’or parmi le tas des pauvres grains. Je pleurai amèrement alors et pensai : « Que n’ai-je eu le cœur de te donner mon tout ! » » (Rabindranath Tagore, L’Offrande lyrique).

Les mondes invisibles et leurs oreilles…

« Il est décrété qu’à partir de cet instant,
il y aura des tournesols à toutes les fenêtres
et que les tournesols auront le droit
de s’ouvrir dans l’ombre,
et que les fenêtres doivent rester, toute la journée,
ouvertes sur le vert où grandit l’espérance » (Thiago de Mello).

« La petite graine savait que pour grandir, il fallait la laisser tomber dans la terre, la couvrir de noirceur et lutter pour atteindre la lumière » (Sandra King).

« Un maître bouddhiste, au Laos, prit un verre d’eau et dit : vous voyez ce gobelet ? Pour moi, il est déjà cassé. Je l’aime bien, je bois dedans. Il retient de manière admirable l’eau que je bois ; parfois il reflète le soleil en beaux dessins ; si je le frappe, il donne un joli son. Mais que mon coude en passant l’écarte de la table, il tombera au sol et se brisera. Je dirai alors : « Bien sûr ! ». Et lorsque je comprends que ce verre est déjà cassé, tous les moments que je passe avec lui en deviennent précieux ! » (Mark Epstein, Pensées sans penseur).

Amour infini

« La passion est le pressentiment de l’amour et de son infini » (Honoré de Balzac, La duchesse de Langeais).

« L’amour, comme tous les principes, ne se calcule pas. Il est l’infini de notre âme » (Honoré de Balzac, Les mémoires de deux jeunes mariées).

« L’amour est la seule chose qui puisse être infinie dans le cœur de l’homme » (George Sand, Les sept cordes de la lyre).

« L’amour, aspiration divine, entraîne l’âme vers l’infini » (Victor Hugo, William Shakespeare).

Oser la vie

« Rire, c’est risquer de paraître idiot.

Pleurer, c’est risquer de paraître sentimental.

Aller vers quelqu’un, c’est risquer de s’engager.

Exposer ses sentiments, c’est risquer d’exposer son moi profond.

Présenter ses idées, ses rêves à la foule, c’est risquer de les perdre.

Aimer, c’est risquer de ne pas être aimé en retour.

Vivre, c’est risquer de mourir.

Espérer, c’est risquer de désespérer.

Essayer, c’est risquer d’échouer.

Mais il faut prendre des risques

car le plus grand danger de la vie,

c’est de ne rien risquer du tout.

Celui qui ne risque rien ne fait rien, n’a rien, n’est rien.

Il peut éviter la souffrance et la tristesse

mais il n’apprend rien, ne ressent rien,

ne peut ni changer ni se développer,

ne peut ni aimer ni vivre.

Enchaîné par sa certitude, il abandonne sa liberté »

(Soeur Emmanuelle).

Seul l’amour lève les incompréhensions…

« Les miracles ne sont pas en contradiction avec les lois de la nature, mais avec ce que nous savons de ces lois » (Saint Augustin).

« Il n’y a que l’amour qui nous rende à nous-mêmes » (Albert Camus).

« Ce court précepte t’est donné une fois pour toutes :
Aime et fais ce que tu veux.
Si tu te tais, tais-toi par amour.
Si tu parles, parle par amour.
Si tu corriges, corrige par amour.
Si tu pardonnes, pardonne par amour.
Aie au fond du cœur la racine de l’amour. 
De cette racine, rien ne peut sortir de mauvais »
(Saint Augustin).

Toi et moi masqués toute la journée, il me reste mes yeux pour te sourire…

Un regard sur la littérature / Lis tes ratures sur un regard :

« Les regards sont les premiers billets doux des amants » (Ninon de Lenclos, Les confessions, 1700).

« Pour concilier deux cœurs, une seule parole, un sourire gracieux, un seul regard suffit » (Jean-Baptiste Massillon, Les maximes et pensées, 1742).

« Un regard de toi, une seule parole m’en dit plus que toute la sagesse de ce monde » (Johann Wolfgang von Goethe, Faust, 1808).

« Un seul regard de l’être qu’on aime équivaut à douze années de bonheur » (Honoré de Balzac, Les deux poètes dans Illusions perdues, 1843).

« Ce que la lumière est aux yeux, ce que l’air est aux poumons, ce que l’amour est au cœur, la liberté est à l’âme humaine » (Robert Green Ingersoll, Voltaire, a lecture, 1895).

Vive rave party / bal des-masqués !…