« Quand on sait que certains arbres comme les pins, sapins, les camphriers ou les eucalyptus diffusent des terpènes odorants, utiles pour nos fonctions respiratoires, on comprend qu’il fait bon y passer du temps. D’autres molécules, les phytoncides, communes à tous les arbres vont renforcer notre système immunitaire » (Florence Karras, sylvothérapeute).
« Avez-vous déjà enlacé un arbre ? Savez-vous que vous pouvez entrer en contact avec lui et être ainsi rechargé ? La rencontre avec l’énergie de l’arbre va vous permettre une rencontre avec soi. L’arbre vous aide à retrouver le calme, la joie, la sérénité. Il peut agir sur votre état de santé. Utilisez les cinq sens.
1) Se mettre dos contre le tronc de l’arbre qui vous parle. Une main vient contre votre sacrum (bas du dos) et en contact avec l’arbre, l’autre vient en contact sur votre plexus solaire. Au bout de 5 minutes, alternez les mains, pour respecter le principe de la polarité de votre corps. L’idéal est d’avoir l’arrière de la tête contre le tronc et les pieds enlacés dans les racines (si c’est possible).
2) Se tenir debout contre le tronc d’arbre et l’enlacer dans vos bras. Essayer d’avoir le plexus solaire et le troisième œil en contact avec le tronc et bien enrouler vos bras autour du tronc, et si possible les pieds dans les racines.
Fermez les yeux, bras le long du corps et demandez à l’arbre, à voix haute ou mentalement : « Peux-tu sentir mes vibrations ? »
Après quelques secondes, si vous vous sentez légèrement perdre l’équilibre vers l’avant, cela veut dire qu’il vous a répondu par un « Oui ».
Avancez alors à environ 5 m. de son tronc. Détendu, fermez les yeux, bras le long du corps et demandez à l’arbre : « Peux-tu me donner de l’énergie ? ».
Après quelques secondes, si vous vous sentez légèrement perdre l’équilibre vers l’avant, cela veut dire qu’il vous a répondu par un « Oui ».
Avancez alors à 1 m. de son tronc et tournez lui le dos. Fermez les yeux, bras le long du corps et demandez à l’arbre : « Donne-moi l’énergie dont j’ai besoin et relâche moi quand c’est terminé. »
Après quelques secondes, si vous vous sentez légèrement perdre l’équilibre vers l’avant, cela veut dire que le transfert d’énergie est terminé.
Pour certaines personnes bien déchargées d’énergie, cela peut durer des minutes au lieu de secondes.
Après, n’oubliez pas de remercier ce grand-père qui vous a fait la grâce de vous donner de son énergie. Vous lui touchez le tronc et lui dites merci » (http://www.sakuradojo.be/lenergie-des-arbres/).
« Ta bouche, c’est le ciel même, mon âme veut s’y poser : puisse mon souffle suprême s’en aller dans ce baiser ! » (Victor Hugo, La Esmeralda, III, 3).
« La crise n’existe vraiment que dans la mesure où nous y résistons. Elle durera aussi longtemps que nous nous accrocherons aux repères que nous avons perdus. L’innovation n’est pas une idée nouvelle, mais une vieille croyance qu’on abandonne » (Bertrand Piccard, Changer d’altitude).
« Il faut donc toujours tout quitter, ne créer que pour rompre, nous retrouver non point en exil, mais en dehors de toute chose une fois faite, ne jamais nous laisser enfermer dans aucun ordre de plénitude, et regarder toute perfection comme le trompe-l’œil d’un tombeau » (Pierre Emmanuel, Le tombeau d’Orphée).
« Désormais, à chaque fois que je rencontre une personne forte, je veux savoir : quelles ténèbres avez-vous dû traverser dans l’histoire de votre vie ? Les montagnes ne se dressent pas sans tremblement de terre » (Katherine MacKenett).
« C’est bien souvent en allant au fond de soi que l’on refait surface » (Jérôme Touzalin).
« Dans la solitude, on y est sans fruit, quand on y est malgré soi » (Fénelon, De l’éducation des filles. Dialogues des morts, 1712).
« La solitude, j’en goûte les fruits, quand j’y suis avec moi » (É tienne Chaud met, De la rééducation de mes membres blessés avec aqui je dialogue, 2021).
80 ans : tonnerre de Brest, bon anniversaire, Capitaine Haddock, aussi irascible que généreux !
Être un olibrius bourré et un zigomar bourru, ça sert à quoi ? Sinon à protéger le fond de sa bouteille hyper sensible et au cœur tendre… Circulez, Bachi-bouzouk des Carpathes, cons-centrés de moules à gaufres, Zouaves interplanétaires, espèces de loup-garou à la graisse de renoncule de mille sabords, bayadères de carnaval, bandes de canaques, d’ectoplasmes, de zapotèques de tonnerre de Brest, sans oublier les bougres de zouaves d’anthropopithèques, d’amiral de bateau-lavoir et de crème d’emplâtre à la graisse de hérisson…
« Être créatif signifie être en amour avec la vie. Vous pouvez être créatif seulement si vous aimez assez la vie, que vous souhaitez mettre en valeur sa beauté, vous voulez lui apporter un peu plus de musique, un peu plus de poésie, et un peu plus de danse » (Osho).
« La créativité est la façon dont je partage mon âme avec le monde » (Brené Brown).
Dieu réac = Il y eut un soir assommoir. Dieu créa = Il y eut un matin de bien.
« Janvier » vient de Janus, le dieu romain des commencements et des fins, des choix, du passage et des portes. Comme une porte ouvre sur deux possibilités, Janus a deux visages : l’un tourné vers l’avant, l’autre vers l’arrière !
« Un homme âgé n’est qu’une chose misérable, à moins que son âme chante » (Frère Luc, moine trappiste de Tibhirine, chanté par Michael Lonsdale).
« Si un homme ne naît de nouveau,
il ne peut voir le Royaume de Dieu » (Jean 3,3).
« Tomorrow, from time’s belly, a new year will arise / Demain, du ventre du temps, surgira une année nouvelle » (Njabulo Ndebele).