
Marilyne Monroe a dit : « Nous sommes toutes des étoiles, il nous suffit juste d’apprendre à briller ».
Ne serait-ce pas plutôt : « Nous sommes toutes des étoiles, il nous suffit juste de vivre un infini merci à la source de notre brillance » ?
La bibliothèque d'Étienne Chomé
Jeux du "je" jusqu'au coeur du coeur

Marilyne Monroe a dit : « Nous sommes toutes des étoiles, il nous suffit juste d’apprendre à briller ».
Ne serait-ce pas plutôt : « Nous sommes toutes des étoiles, il nous suffit juste de vivre un infini merci à la source de notre brillance » ?

« Un jour, quand j’étais gamin, un sage m’a dit :
—Il ne te manque pas grand-chose pour pouvoir marcher entre les gouttes de pluie…
—Marcher entre les gouttes de pluie ?
—Entre les gouttes de la pluie, il y a des mystères qui descendent du ciel.
—Ah bon ? Comment fait-on ?
—Va te mouiller.
Je suis entré dans des pluies torrentielles, à en être trempé comme un oiseau qui sort d’un bain. Il me disait : « Maintenant que tu es mouillé, goûte la pluie ! »
J’ai passé un ou deux mois à me mettre dehors chaque fois qu’il pleuvait mais ça ne venait pas. Puis, j’ai compris que je la désirais d’une façon trop possessive. Je la voulais pour moi. Alors, je me suis donné à elle. Et lorsque je me suis donné à la pluie, à l’eau, tout s’est ouvert. L’humidité de l’univers, l’humidité de la femme, tout ce contact de conduction s’est ouvert.
Sentir chaque goutte de la pluie et dire merci, merci, merci ! » (Luis Ansa).

« Cultiver le jardin de la gratitude peut modifier en profondeur notre regard sur nous-mêmes et sur nos expériences et nous offre la possibilité de partager le bonheur qui en découle » (Rebecca Shankland, Les pouvoirs de la gratitude).


« On ne s’arrête pas de jouer parce qu’on devient vieux ;
on devient vieux parce qu’on s’arrête de jouer » (George Bernard Shaw).
« La vie que tu aimerais après la mort, vis-la sans attendre » (Marc-Aurèle).

« Aimer, cela veut dire rester avec. Cela veut dire émerger d’un monde de fantasmes pour entrer dans un univers où un amour durable est possible, face contre face, os contre os » (Clarissa Pinkola Estes, Femmes qui courent avec les loups).



Post du 7 mai : Entre 4 et 5 heures ce matin, dans la nuit qui précède l’aube, je suis sorti à la rencontre de la lune qui brillait de toute sa rondeur, dans son majestueux coucher à l’ouest… De retour à mon bureau, je trouvai les bons vœux d’une amie : « Il est bientôt minuit, la lune brille de toute sa rondeur… Magnifique moment pour rendre hommage à ta naissance… ». Je la remerciai par le quatrain ci-dessous.

Merci pour chaque attention à l’occasion de mes 55 ans (beau palindrome, m’a dit ma fille). Je viendrai vous saluer ce soir via la pleine lune spéciale de ce 7 mai 2020… Vos présences affectueuses dans mon cœur en augmenteront encore la brillance ! Gratitude…

