My name is Kate Weiland. I’m a happy mother of three kids and the creator behind the delicious (and totally ridiculous) photography food series Our family bites (#ourfamilybites).
« Ce n’est pas la réalité qui compte dans un film, mais ce que l’imagination peut en faire » (Charlie Chaplin).
« Les génies n’ont pas plus de neurones que la moyenne mais ils ont la capacité de faire beaucoup plus de connexions entre ceux-ci ! C’est cette capacité qui leur permet d’inventer » (Philippe Brasseur).
« Le seul vrai pouvoir révolutionnaire, c’est le pouvoir d’inventer » (Joseph Beuys).
« Connais-moi si tu peux, ô passant, connais-moi ! Je suis ce que tu crois et suis tout le contraire : La poussière sans nom que ton pied foule à terre Et l’étoile sans nom qui peut guider ta foi. Je suis et ne suis pas tel qu’en apparence :
Forte comme en plein jour une armée en bataille Qui lutte, saigne, râle et demeure debout; Qui triomphe de tout, risque tout, souffre tout, Silencieuse et haute ainsi qu’une muraille… Faible comme un enfant parti pour l’inconnu Qui s’avance à tâtons de blessure en blessure Et qui parfois a tant besoin qu’on le rassure Et qu’on lui donne un peu la main, le soir venu…
Connais-moi ! Connais-moi ! Ce que j’ai dit, le suis-je ? Ce que j’ai dit est faux – et pourtant c’était vrai ! – L’air que j’ai dans le cœur est-il triste ou bien gai ? Connais-moi si tu peux. Le pourras-tu ?… Le puis-je ?…
Ô passant, quand tu verrais Tous mes pleurs et tout mon rire, Quand j’oserais tout te dire Et quand tu m’écouterais, Quand tu suivrais à mesure Tous mes gestes, tous mes pas, Par le trou de la serrure… Tu ne me connaîtras pas!
Et quand passera mon âme Devant ton âme un moment Éclairée à la grand-flamme Du suprême jugement, Et quand Dieu comme un poème La lira toute aux élus, Tu ne sauras pas lors même Ce qu’en ce monde je fus…
Tu le sauras si rien qu’un seul instant tu m’aimes ! »
« Oui il est grand temps de révéler à nos enfants – de nous révéler à nous-mêmes – l’autre versant du monde, celui où, jour après jour, s’invente la vie : les mille gestes d’amour, de compassion, de tendresse, les multiples mains qui bénissent, caressent, plantent, sèment, rêvent, se joignent pour prier, jour après jour, sans se lasser. Car le monde doit de tenir debout à cette conspiration de l’amour, à cette clandestinité de la tendresse et de la louange » (Christiane Singer).
« Qu’ils louent son nom avec des danses. Qu’ils le célèbrent avec le tambourin et la harpe » (Psaume 149).
« Plus le cœur de l’homme est pur, plus la vue de celle qu’il aime le sanctifie. Elle est comme un talisman merveilleux qui l’initie aux enchantements de la vie immortelle. […] Comme l’artiste, la femme n’aspire qu’à réveiller en nous le Feu sacré. Elle se fait aimer pour porter le cœur de celui qui l’aime dans les abris éternels » (Antoine Blanc de Saint-Bonnet, De l’unité spirituelle, 1845).
« Aujourd’hui je n’ai rien fait. Mais beaucoup de choses se sont faites en moi.
Des oiseaux qui n’existent pas ont trouvé leur nid. Des ombres qui peut-être existent ont rencontré leurs corps. Des paroles qui existent ont recouvré leur silence.
Ne rien faire sauve parfois l’équilibre du monde, en obtenant que quelque chose aussi pèse sur le plateau vide de la balance »
« La mort est le plus grand de tous les maîtres. Plus grand que toutes les philosophies. Plus vrai que toutes les religions. La mort nous dépouille des mensonges, des faux-semblants. La mort se moque de notre ressentiment. Elle consume notre avidité, notre rancune et nos griefs. La mort nous invite à être complètement présents, à lâcher prise, à pardonner, à nous rejoindre, sans histoire. La mort nous fait comprendre que seul l’amour compte, que seul l’amour fait que la vie vaut la peine d’être vécue, et que tout le reste est poussière. La mort est un portail impitoyable. Les richesses du monde ne peuvent rien contre elle. La haine ne peut lui survivre. Seul l’amour peut le franchir. Nous retournons à notre Vraie Nature. Le cycle est terminé » (Jeff Foster).
« La sainteté, c’est la force de Dieu dans la faiblesse de l’homme » (Père Marie-Eugène de l’Enfant-Jésus).
« La vie des saints est à l’Évangile ce qu’une musique chantée est à une musique notée » (St François de Sales).
« Ne savez-vous pas que vous êtes un temple de Dieu et que l’Esprit de Dieu habite en vous ? (1 Co 3,16). Ne savez-vous pas que votre corps / vos membres sont un temple du Saint-Esprit qui est en vous ? » (1 Co 6,19).
« La courbe de tes yeux fait le tour de mon cœur, Un rond de danse et de douceur, Auréole du temps, berceau nocturne et sûr. Et si je ne sais plus tout ce que j’ai vécu, C’est que tes yeux ne m’ont pas toujours vu. Feuilles de jour et mousse de rosée, Roseaux du vent, sourires parfumés, Ailes couvrant le monde de lumière, Bateaux chargés du ciel et de la mer, Chasseurs des bruits et sources des couleurs. Parfums éclos d’une couvée d’aurores, Qui gît toujours sur la paille des astres, Comme le jour dépend de l’innocence. Le monde entier dépend de tes yeux purs Et tout mon sang coule dans leurs regards » (Paul Eluard, Capitale de la douleur, 1926).
« Si vous rencontrez une sorcière, il faut savoir qu’elle aime le silence, tout comme la nuit aime ses étoiles infinies.
Si vous rencontrez une sorcière, n’ayez pas peur de ses émotions intenses, imprévisibles et changeantes, tout comme celles de la lune à qui elle est liée.
Si vous rencontrez une sorcière, vous ne la comprendrez probablement pas. Laissez-la faire et parler des mystères de l’univers, citer un poème…
Si vous rencontrez une sorcière, préparez-vous, vos jours vont devenir magiques et le quotidien, une aventure.
Si vous rencontrez une sorcière, ne vous inquiétez pas, elle rit des drames et elle pleure avec des fleurs.
Si vous rencontrez une sorcière, gardez à l’esprit qu’elle verra dans vos yeux la beauté que vous avez toujours craint. Elle verra votre puissance, vos souffrances et tous vos rêves.
Si vous rencontrez une sorcière, elle vous emmènera dans ses rêves pleins de vols et de rencontres fantastiques.
Et enfin, si vous rencontrez une sorcière, il se pourrait que, pendant un moment fugace, vous puissiez la confondre avec une femme normale… » (auteur inconnu).