
« La fraternité n’est qu’une idée humaine, la solidarité est une idée universelle » (Victor Hugo).
« En matière de solidarité, ce sont souvent les plus petits qui s’avèrent être les plus grands ! » (Gérard Briffoteaux-Fleury).
La bibliothèque d'Étienne Chomé
Jeux du "je" jusqu'au coeur du coeur
« La fraternité n’est qu’une idée humaine, la solidarité est une idée universelle » (Victor Hugo).
« En matière de solidarité, ce sont souvent les plus petits qui s’avèrent être les plus grands ! » (Gérard Briffoteaux-Fleury).
« Il faut donc toujours tout quitter, ne créer que pour rompre, nous retrouver non point en exil, mais en dehors de toute chose une fois faite, ne jamais nous laisser enfermer dans aucun ordre de plénitude, et regarder toute perfection comme le trompe-l’œil d’un tombeau » (Pierre Emmanuel, Le tombeau d’Orphée).
« Désormais, à chaque fois que je rencontre une personne forte, je veux savoir : quelles ténèbres avez-vous dû traverser dans l’histoire de votre vie ? Les montagnes ne se dressent pas sans tremblement de terre » (Katherine MacKenett).
« C’est bien souvent en allant au fond de soi que l’on refait surface » (Jérôme Touzalin).
80 ans : tonnerre de Brest,
bon anniversaire, Capitaine Haddock,
aussi irascible que généreux !
Être un olibrius bourré
et un zigomar bourru,
ça sert à quoi ? Sinon à protéger le fond de sa bouteille hyper sensible et au cœur tendre… Circulez, Bachi-bouzouk des Carpathes, cons-centrés de moules à gaufres, Zouaves interplanétaires, espèces de loup-garou à la graisse de renoncule de mille sabords, bayadères de carnaval, bandes de canaques, d’ectoplasmes, de zapotèques de tonnerre de Brest, sans oublier les bougres de zouaves d’anthropopithèques, d’amiral de bateau-lavoir et de crème d’emplâtre à la graisse de hérisson…
« Le penchant à la solitude provient d’abord du besoin de fuir tout ce que nous haïssons dans le tumulte du monde, puis du besoin de recouvrer le calme et l’indépendance, puis ensuite, pour un esprit sensé, du besoin de goûter le bonheur non envié que l’on trouve en soi-même » (Johann Georg Zimmermann, Les réflexions sur la solitude, 1756).
« Un groupe combinant la simplicité de vie, la discipline de la non-violence, et une sage transformation des pratiques économiques et sociales, pourrait acquérir une puissance morale suffisante pour guider et façonner une nation nouvelle. Chacun peut y prendre une part utile en vivant simplement. C’est à la portée de chacun d’entre nous » (Richard Gregg, La valeur de la simplicité volontaire, 1936).
M’est avis que le meilleur cadeau de Noël
est de préparer la fête
en regardant dans ma besace
ce dont je dispose
comme ingrédients de la fête réussie,elle qui comble de joies et de paix…
À chacun.e, bons préparatifs,
sans bonds pré-pas hâtifs
« Le phare illumine les mers, fi.
Le fard enlumine les mères/filles »
(en m’inspirant d’Alphonse Allais, Le Chat noir).
« Le génie est le phare. Dieu est l’étoile » (Victor Hugo, Choses vues).
En Avent, en avant derrière les apparences !
« Les apparences sont un masque qui souvent cache mille raisons, mille pensées, mille sentiments dont on ne peut définir réellement, la personnalité de celui qui le porte » (Pascal Desliens, en apparence Descrea).
« Les apparences sont belles dans leur vérité momentanée » (Octavio Paz).
« Gare aux préjugés sur les hommes. Les apparences sont trompeuses. Les plus fiables ne sont pas toujours ceux qu’on croit. Pensez ainsi à la fable du chêne et du roseau : à celui qui rompt, à celui qui plie, mais ne rompt pas. La main tendue, lorsque l’on aura besoin d’aide, ne sera peut-être pas celle à laquelle on pensait » (Catherine Rambert, Petite philosophie pour ceux qui veulent atteindre le sommet de la montagne).
« Être heureux, c’est laisser vivre la créature libre, heureuse et simple qui vit en chacun de nous. Que votre vie devienne un jardin d’opportunités pour être heureux … Puissiez-vous être un amoureux de la joie dans vos sources. Puissiez-vous être pour vous-même un ami de sagesse et de paix pendant vos hivers » (pape François).
« Ne sens-tu pas que je veux t’aimer jusqu’au fond de ton âme ? » (Antoine Blanc de Saint-Bonnet, De l’unité spirituelle, 1845).