« Avoir la foi, c’est monter la première marche, même quand on ne voit pas tout l’escalier » (Martin Luther King).
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Donner vie à son rêve commence par un acte de foi !
La bibliothèque d'Étienne Chomé
Jeux du "je" jusqu'au coeur du coeur
« Avoir la foi, c’est monter la première marche, même quand on ne voit pas tout l’escalier » (Martin Luther King).
Donner vie à son rêve commence par un acte de foi !
Au milieu des fausses rumeurs colportées,
expérimenter que la tendresse va jusqu’à
se mettre à genoux, pauvre et démuni, devant la liberté de l’autre.
Devant les médisances et les calomnies, rester en silence ;
ne pas ravaler ce qui mord le cœur, les souffrances ;
plutôt faire et refaire le choix de les offrir à Jésus, dans la confiance,
en se tenant au pied de la croix, soutenu par le Paraclet (Jn 14-18).
Faire l’étonnante expérience, encore et encore,
que là où la blessure béante gît et saigne,
mystérieusement, l’amour s’élargit et règne,
plus fort encore que nos pourritures de mort.
« Tu es célibataire et tu manques de compagnie.
Tu es en couple et tu manques de liberté.
Tu travailles et tu manques de temps.
Tu as trop de temps libre et tu aimerais travailler.
Tu es jeune et tu veux grandir pour faire les choses des adultes.
Tu es adulte et tu aimerais faire les choses des jeunes.
Tu es dans ta ville mais tu aimerais vivre ailleurs.
Tu es ailleurs mais tu aimerais retourner dans ta ville…
Il est temps d’arrêter de regarder ce qui te manque
et de commencer à vivre dans le présent,
vraiment apprécier ce que tu as.
Profite de l’arôme de ta maison avant d’ouvrir la porte
et de sortir chercher les parfums du monde
parce que rien n’est donné pour être acquis
et tout est un cadeau.
Donne-lui de la valeur… »
(Oscar TRAVINO).
Tout mariage a deux cœurs,
l’un clair, l’autre obscur.
(Stephen King, Histoire de Lisey).
« Celui qui aime vraiment, revient toujours,
parce que l’Amour connait toutes les routes »
(proverbe russe).
Peinture : Sandro Boticelli
« Oser vivre sa vie, c’est prendre le risque de se mettre au monde en permanence » (Jacques Salomé).
« La vie est une aventure, ose-la » (Mère Teresa).
« L’ombre du frêne,
venin n’entraîne »
(proverbe français).
« Les arbres sont de grands sages. Bien ancrés dans le sol, ils sont à l’écoute de la terre, mais cela ne les empêche pas d’avoir la tête dans les nuages et d’écouter les histoires du vent, et encore de vouloir aller plus haut, vers la lumière » (Michel Tournier).
Terre-mère/mer, air, lumière (du Père
‘qui est aux Cieux’), vive le
carré sémiotique et phonétique
qui anime chaque vivant…
« L’autre est là pour m’ouvrir les yeux. C’est son rôle. C’est le but des relations » (Byron Katie).
« Ne juge pas chaque journée à ta récolte, mais aux graines que tu as semées » (Robert Louis Stevenson).
« Relativiser, il paraît que cela fait partie d’un processus qui s’appelle vieillir » (Philippe Labro, Manuella).
« L’idéal pour toi, c’est de tout relativiser car ton souffle de vie ne tient qu’à un fil » (Dona Maurice Zannou),
Mon séjour dans la Région des Grands Lacs s’approche de la fin. Ci-dessous c’est pas faim ?
« Tout le monde est un génie, mais si vous jugez un poisson à sa capacité à grimper à un arbre, il passera sa vie à croire qu’il est stupide » (Matthew Kelly, The Rhythm of Life : Living Every Day with Passion and Purpose, 2004, p. 80).
« Croître, c’est d’abord être défait, par une immensité qui ne cesse de croître. Ô nuit sans objets, tu viens et tu tiens l’immensité derrière toi et tu es tout entière devant elle ; non pas comme un rideau qu’elle pourrait soulever ici et là. Non ! Comme si tu l’avais rattrapée à l’appel de celui qui avait besoin de toi. Comme si tu avais devancé de beaucoup tout ce qui peut encore arriver et que tu n’eusses dans le dos que ta course vers lui, ton chemin éternel, le vol de ton amour » (Rainer Maria Rilke, Les Cahiers de Malte Laurids Brigge).
« L’amour abonde en toutes choses, de l’abîme jusqu’aux étoiles » (Hildegarde de Bingen).