L’alcool démolit le foie, tout(e) à la foi(s) ?

« L’alcool altère la conscience de soi : les individus ayant bu de l’alcool utilisent moins fréquemment que les autres les termes ‘je’, ‘moi’, ‘mien’, ‘mon’. Il se pourrait qu’il facilite le passage d’un ‘je’ cartésien, contrôlé et rationnel, à un ‘je’ d’une autre nature, décrit par Rimbaud dans sa Lettre du voyant à Paul Demeny en 1871 : ‘Je’ est un autre. Sous influence alcoolique, par le dérèglement des sens, ‘je’ devient autre » (Laurent Bègue-Shankland).

« L’arrêt de toute consommation d’alcool entraîne de nombreux bienfaits : s’améliorent à court terme la qualité du sommeil et la santé de la peau ; à moyen terme, le foie et le poids ; à long terme, la tension artérielle et la mémoire » (les médecins Livi).

L’émergence du Self en IFS

Je fais le bon choix quand
-je donne priorité à l’accueil de ce qui est présent,
ici et maintenant, en moi ;
– je lui offre toute la bienveillance dont je dispose
ici et maintenant, même si ‘toute’ est un tout petit peu ;
– je suis curieux de son intention, en amont de son comportement.
– À ce qui est en manque, je veille à donner ce dont il a besoin, jusqu’à ce qu’il se détende et ait l’élan de faire un pas de côté, laisse le centre de la scène, accepte qu’une place soit faite à un autre en manque…
Me reliant à cet autre qui a besoin d’attention, je répète la démarche, avec la bienveillance alors disponible. Tiens, elle a grandi entretemps : c’est le cercle vertueux de la bienveillance ! Et quand toutes les parts ont été comblées, libérant l’une après l’autre l’espace central, le petit filet de bienveillance est devenu fleuve riche en fécondité (Ézéchiel 47). L’émergence du Self en IFS (Internal Family System) est un amazing process… Gratitude!

Le bon lait de vache saine

Si, plutôt que de décrier le lait de vache saine, on mettait fin à la course effrénée qui augmente les rendements laitiers par la sélection des vaches laitières et les traitements hormonaux et antibiotiques. Ce sont les molécules hypertrophiées, que dis-je ? éléphantesques, que dis-je ? gargantuesques du lait de ces vaches laid-d’hier qui est de plus en plus indigeste, non ?

Signé : un Rwandais qui se porte très bien de boire le lait de nos excellentissimes partenaires que tu auras beau-vidés à mes yeux sans y parvenir.

Vitale, la circulation de l’énergie vitale

Le secret d’une bonne santé : rétablir et stimuler la circulation de l’énergie vitale, lorsqu’elle est bloquée ou ralentie quelque part en moi. Je mets cela concrètement en pratique à l’écoute de tout l’être vivant que je suis, qui je suis, qi je suis, dit la sagesse millénaire des Chinois (pour qui l’énergie vitale s’appelle le qi ; et oui, mon qui-qi). Je n’ai par contre jamais bénéficié d’une séance d’acupuncture, ni d’acupression / digitopuncture ou d’auriculothérapie… Y gagnerai-je ?

Cet espace sacré en moi qui contient tous les trésors

L’amour durable m’apprend
à me défusionner de mon amoureuse.
Je laisse là les horizons du monde extérieur.
Je regarde, écoute, sens à l’intérieur.
Oui, oui,
Vie vibre
au fond
de mes tréfonds.
J’ouvre la porte de cet espace sacré en moi,
qui contient tous les trésors.
C’est le plus beau cadeau qui m’est fait :
l’Esprit incarné de manière unique en moi.
Je suis moi-même ce cadeau.
En faire l’expérience en moi,
pas seulement par l’autre… 
Pour moi, ce cadeau d’amour
se trouve en moi d’abord.
Pour l’autre, ce cadeau d’amour
se trouve en lui d’abord.
Une fois que chacun a bien reçu son cadeau propre,
nous pouvons en jouir l’un avec l’autre…

Douceurs en règles, sans attaque en règle

« Mes sœurs et moi retrouvons dans nos lunes la puissance autrefois accordée aux femmes qui saignent. Dans certains peuples, on leur vouait un culte. Si proches de leur intuition, elles recevaient les oracles des dieux. Dès lors, on leur foutait la paix. Aujourd’hui, nous reprenons conscience du trésor cyclique de notre nature. Nous nous délestons chaque mois, nous nettoyons nos intérieurs, nous lâchons par le sang ce qui n’est plus vivant, vibrant. Nous laissons couler la mort, et reprenons vie. Inlassablement. Ce cycle se révèle être un puits de joyaux inestimables » (Isabelle Schmidt, qui anime divers ateliers, dont des cercles de tambour vivifiants).

Je suis le Top model le plus adéquat pour moi

Victoria’s Secret, lingerie de luxe aux top modèles angéliques, affublées d’ailes : une machine de guerre pour vendre. C’est le numéro un de la lingerie aux États-Unis !
En lançant ses soutien-gorge Body, l’enseigne a pris sa guitare pour chanter son slogan « The perfect Body« , avant de corriger, vu les réactions : « The Body for every body« .

Commentaire de la photo jointe : « le patrimoine
architectural d’un pays est le miroir de sa société ! »

Pauvres papillons allant dans la nuit griller
leurs ailes sur la première lampe venue / veut-nue :

« Ange ou Démon, de par sa beauté, elle m’ensorcelle.
Nul besoin de prières pour capter son attention.
Alors que je m’approche, la Divine déplie ses ailes.
Ces yeux de braises provoquent en moi d’érotiques frissons.
Rien de plus sensuel me sortant de ma torpeur.
Hallucinante créature qui, en tout point, me fascine.
Aveugle obéissant, je me laisse aller sans heurts.
Nonobstant, j’ai peur ; mon âme d’amour se calcine,
Idolâtrant ma courtisane comme son pire esclave,
Soumis à ma diablesse, entravé par des fers,
Cerné par le Styx, un fleuve de haine fait de lave,
Qui sépare le monde terrestre des enfers »
(un Parisien qui s’est autoproclamé Perceval).

Invités à renouer avec la vie…

Et si le germe comptait moins que le terrain ?
Et si le virus s’arrêtait peu dans un système immunitaire de qualité et avait de bonnes raisons de s’attarder dans un système dysfonctionnel ?
Et si les agents pathogènes
étaient des éboueurs utiles
pour nettoyer et réordonner à la vie ?
Et s’ils étaient parfois ces sécateurs
émondant ce qui meurt et
provoquant le vivant à traverser
la mort pour mieux renouer avec la vie ? 
Cf. https://etiennechome.site/comme-une-visite-au-malade/
À méditer et à pratiquer en temps de paix,
en amont d’une grave alerte de santé…

Nos anges de santé

L’écoute d’une musique contribue efficacement à apaiser une douleur. Plusieurs expériences scientifiques l’ont objectivé, avec des taux de réduction impressionnants : de 20 à 90 %, qu’ils disent les experts.

Ceci dit, pour qui a appris à accueillir ses sensations physiques désagréables comme agréables comme des anges, la baguette magique n’est pas extérieure. Une douleur est un cadeau de notre corps pour que nous prenions soin d’un dysfonctionnement interne. Une souffrance est un cadeau de notre cœur pour que nous prenions soin d’un dysfonctionnement plus profond encore.

Entende qui a des oreilles
la mélodie interne de
ses anges de santé…
Et ceux-ci cesseront
d’être des démons !

À bon escient, l’écoute vous offre un arc-en-ciel et vous mène au ciel.
À mauvais escient, l’écoute vous met la tête en compote,
loin de vos potes-en-ciel…

La musique, un bon médicament :