
Nous re-con-naître…

La bibliothèque d'Étienne Chomé
Jeux du "je" jusqu'au coeur du coeur
La méthode C-R-I-T-E-R-E, première étape : bien gérer le conflit, plutôt que subir nos conflits mal gérés ou évités.
Oser le conflit pour échapper à la violence. La violence est souvent le prix payé d’un conflit évité qui a dégénéré…
La méthode C-R-I-T-E-R-E, première étape : le CADRE ; outils « Reporter aux meilleurs moment et lieu » et « Temps de qualité réguliers et privilégiés »
La méthode C-R-I-T-E-R-E, première étape : le CADRE ; outils « Reporter aux meilleurs moment et lieu » et « Temps de qualité réguliers et privilégiés »
La méthode C-R-I-T-E-R-E, troisième étape : repérer le jeu de pouvoir + quatrième étape : connecter mon/ton trésor derrière mes/tes paroles-poison.
La méthode C-R-I-T-E-R-E, quatrième et huitième étape : connecter ton trésor derrière tes paroles-poison.
La méthode C-R-I-T-E-R-E, septième étape : oser dire ce qui me fera du bien, demander sans exiger.
Un couple en conflit s’arrose mutuellement de reproches :
— « Il est narcissique ».
— « Elle est hystérique ».
La médiation commence par créer les conditions d’une écoute réelle de chaque partie. Longue remontée, en amont de nos paroles-poisons, vers les trésors parfumés de nos motivations profondes et intentions fondamentales, jusqu’à ce que chacun.e se sente vraiment compris.e !
« Je vais être comme un enfant qui vient de naître, qui ne connaît rien et qui découvre tout. Celui-là, je vais le protéger à l’intérieur de moi-même. Il va peut-être m’amener vers un autre monde dans lequel je suis incapable d’aller parce que je connais trop de choses » (Luis Ansa).
« Quand je suis en face de quelqu’un, je tombe dans son regard. Pour moi, les yeux sont vertigineux. Au fond de la pupille, comme au fond d’un tunnel, je vois approcher quelqu’un qui porte un flambeau. Je traverse l’apparence et je sens la personne » (Christiane Singer).
Naître avec le printemps, mourir avec les roses,
Sur l’aile du zéphyr nager dans un ciel pur,
Balancé sur le sein des fleurs à peine écloses,
S’enivrer de parfums, de lumière et d’azur,
Secouant, jeune encor, la poudre de ses ailes,
S’envoler comme un souffle aux voûtes éternelles,
Voilà du papillon le destin enchanté !
Il ressemble au désir, qui jamais ne se pose,
Et sans se satisfaire, effleurant toute chose,
Retourne enfin au ciel chercher la volupté !
(Lamartine, Le papillon).