
« Permets à mon sourire
de t’offrir ma tendresse,
permets à ma main
de t’apporter du doux,
permets à mon regard
de te dire ton importance,
et accepter ainsi ma gratitude
au cadeau de ta présence »
(Jacques Salomé).
La bibliothèque d'Étienne Chomé
Jeux du "je" jusqu'au coeur du coeur
« Permets à mon sourire
de t’offrir ma tendresse,
permets à ma main
de t’apporter du doux,
permets à mon regard
de te dire ton importance,
et accepter ainsi ma gratitude
au cadeau de ta présence »
(Jacques Salomé).
« Je suis apte à l’émerveillement. Je veux toujours voir apparaître le soleil à travers les arbres » (Olivier de Kersauson).
Bien plus que nous indigner de la crise écologique, nous avons notamment à surmonter ce qui est à son origine : la crise de notre relation au vivant. Dans Manières d’être vivant, Baptiste Morizot parle de politiser l’émerveillement, en propageant une forme de cosmo-politesse, sorte de diplomatie fine d’égards pour chaque être vivant. Apprendre à se sentir vivants, au point de s’aimer comme vivants. Déployer des politiques d’interdépendances, dans la cohabitation et le respect des altérités.
« Il fait beaucoup pour le monde celui qui panse ses blessures et pacifie son histoire » (Christiane Singer).
« Dès que cesse l’agrément d’être ensemble, beaucoup prennent les jambes à leur cou, ignorant que le plus beau de l’aventure va tout juste commencer : la construction d’un amour d’adulte » (Christiane Singer toujours).
Je goûte la paix et je savoure la confiance vécues lors de notre rencontre. Elles sont cadeaux, présents d’une Présence que j’ai reçue en ta présence ce jour-là et Présence que je sens encore maintenant. Elle se tient entre nous, comme une douce et simple nuée quand nous étions physiquement côte-à-côte, comme un arc-en-ciel rayonnant et paisible depuis que nous nous sommes quittés… Et je reste ainsi en lien avec toi, d’une manière merveilleuse et mystérieuse, sans savoir d’où me viennent ces débordements de joie et où ils me mènent…
« Aider sans réfléchir rapproche de la bienveillance.
Donner sans calculer rapproche de la compassion.
Attendre sans impatience rapproche de la sérénité.
Écouter sans jugement nous rapproche les uns des autres.
Aimer sans compter rapproche tous les cœurs » (Gwen).
La psychothérapie de la ‘Libération du Ressenti par le dialogue tonico-émotionnel’ (École du Dr Jean Lerminiaux) offre un protocole par lequel le thérapeute dialogue avec le patient à partir de ses expressions tonico-émotionnelles, dans le but immédiat que le patient libère jusqu’au bout ses ressentis enfouis au plus profond de son corps et dans le but ultime qu’il recouvre toutes ses ressources et puisse s’épanouir dans toutes ses dimensions.
La formation de base commence dans 8 jours, en Belgique.
Renseignements et inscription :
« Il veut des sons et des couleurs.
Il a des cris, il a des pleurs
et des colères.
Mais ses fureurs d’enfant gâté,
comme les orages d’été,
sont passagères »
(Eugène Manuel, La chose ailée, 1907, p. 15).
« Les filles étaient précoces, aux fosses. Il se rappelait les ouvrières de Lille gâtées dès quatorze ans, dans les abandons de la misère » (Zola, Germinal,1885, p. 136).
« Les plus cruels critiques des poètes sont encore les imitateurs : ils se mettent, comme les mouches, sur l’endroit gâté et le dessinent » (Sainte-Beuve, Tableau historique et critique de la poésie française,1828, p. 101).
« Il veut des sons et des couleurs.
Il a des cris, il a des pleurs
et des colères.
Mais ses fureurs d’enfant gâté,
comme les orages d’été,
sont passagères »
(Eugène Manuel, La chose ailée, 1907, p. 15).
« Les filles étaient précoces, aux fosses. Il se rappelait les ouvrières de Lille gâtées dès quatorze ans, dans les abandons de la misère » (Zola, Germinal,1885, p. 136).
« Les plus cruels critiques des poètes sont encore les imitateurs : ils se mettent, comme les mouches, sur l’endroit gâté et le dessinent » (Sainte-Beuve, Tableau historique et critique de la poésie française,1828, p. 101).
« Dégager un vide dans nos vies
où la bénédiction peut entrer…
Préparer un endroit dans notre maison,
dans notre histoire, dans notre cœur,
où la magie peut se sentir accueillie…
C’est le vrai sens de la prière »
(Toko-pa Turner).
« Le subconscient murmure sans cesse,
et c’est en écoutant ces murmures
que l’on entend la vérité »
(Gaston Bachelard).