Encore quelques places au séminaire que j’anime ce WE (à Maurice), où nous travaillerons particulièrement le « communalisme », nos réflexes communautaires lor nou ti zil la, à partir d’un point de vue tout différent que d’habitude…
Bienvenue, vou zot tou. Plus il y aura de la diversité entre nous, mieux ce sera.
Encore quelques places au séminaire que j’anime ce WE (à Maurice), où nous travaillerons particulièrement le « communalisme », nos réflexes communautaires lor nou ti zil la, à partir d’un point de vue tout différent que d’habitude…
Bienvenue, vou zot tou.
Plus il y aura de la diversité entre nous, mieux ce sera.
« S’ils ont la peau noire, jaune, ou blanche, les humains ont tous la même origine. Très peu de leurs gènes diffèrent. Les nuances de couleur de peau sont des adaptations ajustées au milieu dans lequel chacun vit ! » (Nina Marchi, Musée de l’Homme).
Ce WE-ci, au cours de la conférence européenne de Church and Peace (à Baarlo, aux Pays-Bas), nous serons une centaine des 4 coins de l’Europe et plusieurs d’Afrique à relever le défi d’accueillir ensemble les souffrances causées par le racisme + la discrimination. Nous allons vivre ensemble un laboratoire d’expérimentation de relations nouvelles entre personnes de couleurs et d’ethnies différentes, dans la joie de ces chemins de fraternité que rend possible l’accueil du Dieu de Jésus-Christ au milieu de nous, Lui qui nous répète que nous sommes tous de la même famille.
Article (7 pages) published originally in French : Vers une théologie de la paix juste, grâce aux nouvelles pratiques en gestion des conflits, dans Actes du colloque Paix des Églises : paix du monde ?, ISEO, Paris, 2023, p. 205-214.
Piece from my book Le nouveau paradigme de non-violence, p. 219 :
In Poland, the KOR (Komitet Obrony Robotników, Workers’ Defense Committee) and the Solidarnosc movement did not fall into the trap of the Soviet leaders, who expected violence from the Polish trade union and even sought to provoke it, in order to legitimize the dispatch of tanks massed at the border, whose orders were to crush the rebellion. After General Jaruzelski’s coup de force in December 1981, the official press of the Polish People’s Republic called Lech Walesa and the Solidarnosc activists « terrorists », but nobody was fooled about the origin of the terror. The entire art of the resistance was to fight in indirect confrontation, avoiding the mistakes of the spontaneous, open-air Budapest uprising of 1956. In the underground, for many long years, it was necessary to organize civil society, build citizens’ power, create solidarity, without ever offering the slightest pretext to justify the intervention of the forces of law and order of the Pax Sovietica. « If totalitarian power is perfectly armed to crush any violent revolt, it is largely helpless to confront the non-violent resistance of an entire people who have freed themselves from fear.[…] Thus, non-violence, that doctrinaire minds profess plays into the hands of totalitarian regimes, actually proves to be the most appropriate way of combating them » (Muller Jean-Marie, La nouvelle donne de la paix, 1992).
Le 11 septembre 1973 (il y a 50 ans), le général Augusto Pinochet opère un coup d’État au Chili, transforme en centre de détention et de torture le grand stade national de Santiago. « Nous sommes 5.000 au stade », chante Victor Jara. C’est son dernier poème avant d’être tué par balles : « Ay Chant, tu ne me réussis pas quand je dois chanter l’effroi, effroi comme celui que je vis. Comme je meurs d’effroi de me voir entre tant et tant de moments de l’infini, parmi le silence et le cri qui sont l’horizon de ce chant. Ce que je vois, je ne l’ai jamais vu ; ce que j’ai senti et ce que je sens fera germer cet instant… »