« Longtemps j’ai cherché la femme idéale,
je l’ai enfin trouvée.
Seul problème :
elle aussi recherchait l’homme idéal ! »
(Alexandre Jollien).

La bibliothèque d'Étienne Chomé
Jeux du "je" jusqu'au coeur du coeur
« Longtemps j’ai cherché la femme idéale,
je l’ai enfin trouvée.
Seul problème :
elle aussi recherchait l’homme idéal ! »
(Alexandre Jollien).

« Malheur aux peuples qui ont besoin de héros » (Bertolt Brecht).
« Les actes de l’individu sont limités, mais le héros perçoit son être en puissance comme illimité. C’est pour cela que la mort est toujours prématurée, un vrai scandale. Ce qu’il n’a pas pu accomplir, pas pu épuiser, ce sont ses possibilités. Il se sent trahi, dupé par la puissance de la mort. Elle paraît injuste. Le héros veut la vaincre. L’injustice est dans la raison humaine, pas dans la nature » (Efi Papavassilopoulou, Le héros, le monstre, la mort).
« Le héros militaire est un dupe. Le véritable héros n’est pas celui qui se précipite dans une belle mort ; c’est celui qui se compose une belle vie » (Jean Giono).

‘Méchant’ vient du verbe ‘méchoir’, littéralement mal choir.
Le méchant tombe, chute, tourne mal ; sa chute cause un dommage.
{ Conjugaison à arracher la mâchoire : celui qui a méchu, méchoit et mécherra. }
‘Pécher’, étymologiquement, c’est faire un faux pas, broncher, manquer, faire une erreur, échouer, manquer sa cible.


« Un baiser est un secret raconté
à la bouche au lieu de l’oreille.
Les baisers sont les messagers
de l’amour et de la tendresse »
(Ingrid Bergman).
« C’est à travers un baiser
que je t’envoie mon cœur »
(Anatole France).
« Un baiser sur ta bouche,
un autre sur ton cœur »
(Napoléon Bonaparte,
très amoureux de
Joséphine de Beauharnais).

« L’amour est la seule religion,
le seul Dieu, le seul mystère
qui mérite d’être vécu.
L’amour ne connaît pas de devoir.
L’amour est un plaisir, une joie »
(Osho).
« Je suis un athée chrétien » (Michel Onfray,
philosophe sur pattes de plateaux médiatiques
dont les contradictions multiplient les pattes hics,
jusqu’aux crises (de foi et de foie) hépatiques !
bien plus soucieux de provoquer des ébats publics
que d’éclairer par une pensée académique).
« Michel Onfray ? Un petit maître-penseur
de la doxa, passé de la gauche libertaire
à une forme de populisme conservateur ! »
(Jonathan Sturel, La contre-histoire de Michel Onfray).
« En tuant cette vieille femme, c’est sa propre âme que Raskolnikov avait tué. […] Sonia sourit au prisonnier d’un air aimable et heureux, mais, selon son habitude, ne lui tendit la main que timidement. […] Mais cette fois, leurs mains ne pouvaient rompre leur étreinte. […] Soudain, et sans que le prisonnier sût comment cela était arrivé, une force invincible le jeta aux pieds de la jeune fille. Il se mit à pleurer en enlaçant ses genoux. Au premier moment, elle fut terriblement effrayée et son visage devint mortellement pâle. Elle bondit sur ses pieds et le regarda en tremblant, mais, au même instant, elle comprit tout… Un bonheur infini rayonna dans ses yeux. Elle comprit qu’il l’aimait, oui, elle n’en pouvait douter. Il l’aimait d’un amour sans bornes ; la minute si longtemps attendue était donc arrivée !
Ils voulaient parler, mais ne purent prononcer un mot. Des larmes brillaient dans leurs yeux. Tous deux étaient maigres et pâles, mais ces pauvres visages ravagés étaient illuminés par l’aube d’un avenir renouvelé, d’une résurrection complète faisant passer à une vie nouvelle. C’était l’amour qui les ressuscitait. Le cœur de l’un enfermait une source de vie inépuisable pour l’autre. […] Mais ici commence une autre histoire, celle de la lente rénovation d’un homme, de sa régénération progressive, de son passage graduel d’un monde à un autre, de son entrée dans une réalité nouvelle, jusqu’alors entièrement insoupçonnée » (Fiodor Dostoïevski, finale de l’épilogue de Crime et châtiment).

« Le seul véritable voyage, le seul bain de jouvence, ce ne serait pas d’aller vers de nouveaux paysages, mais d’avoir d’autres yeux, de voir l’univers avec les yeux d’un autre, de cent autres, de voir les cents univers que chacun d’eux voit, que chacun d’eux est » (Marcel Proust).
Dans “la fontaine de jouvence”, jouvence signifie jeunesse (du latin juventus).

Ces 11 au 13 novembre 2025, nombreuses ont été les aurores boréales dans notre ciel nocturne tout dégagé.
Logique ! le Soleil suit un cycle d’activités magnétiques d’environ 11 ans, alternant entre phases calmes et phases intenses, avec un « maximum solaire » à son plus haut niveau d’activité.
Le cycle solaire actuel a débuté en 2019 et a atteint son maximum début 2025. Voilà pourquoi, en ce moment, des aurores boréales sont observées jusque dans le sud de l’Europe. Car le Soleil produit davantage d’éruptions et de vents solaires, avec projection de particules en direction de la Terre qui, en pénétrant dans la partie haute de notre atmosphère, entrent en collision avec les atomes et molécules de l’air (essentiellement oxygène et azote). Ces collisions transmettent de l’énergie aux gaz, qui deviennent « excités ». En revenant à leur état normal, ces gaz émettent de la lumière : verte quand il s’agit d’oxygène en basse altitude et rouge quand il s’agit d’oxygène en haute altitude (au-delà de 200 kms) ; quant à lui, l’azote jouit dans les bleue, violette et rose (le plus rare).
Leur joie
qui se voit
après l’orgasme, quoi…
Comme dans mon cœur magnétisé et
tout excité après chaque rencontre authentique !
Une aurore est un phénomène électromagnétique et lumineux,
non pas thermique ou chimique. Les particules ne brûlent pas :
elles transmettent leur énergie aux gaz de l’atmosphère.
Il n’y a pas de combustion ; juste électromagnétisme…

Voir aussi mon post rédigé quand j’étais à Rovaniemi, en Laponie :
https://etiennechome.site/aurore-boreale/
« Aimer, c’est toucher l’intérieur d’une personne
en veillant à ne rien casser » (Sandrine Fillassier).
« Seul l’amour remplace le lait »
(Proverbe australien).
« La tranquillité est le lait de la vieillesse » (Thomas Jefferson).
« Le fromage, le saut du lait vers l’immortalité » (Cliff Fadiman).


Un robinet qui fuit goutte-à-goutte gaspille au minimum 25 litres d’eau par jour ;
une chasse d’eau qui coule, c’est bien plus.
150 litres par jour de perdu, c’est plus de 55.000 litres par an,
ce qui équivaut à plus de 450 bains (de 120 litres chacun).
Réparer rapidement un joint ou un mécanisme de chasse d’eau
coûte très peu comparé aux coûts qu’entraîne cette discrète perte d’eau.