Catégorie : Philosophie
Ce qui comble ma vie n’est pas ce qui la remplit. Danse de la vie dense n’est pas errance de la cadence
Fêter ensemble : se connecter de cœur à cœur… sans téléphones dans le champ…
Réveillon du Nouvel An
Savourer chaque instant : présent présenté une seule fois, qui ne se représentera plus
Téléologie pour Wallons nous…
Les 4 âges d’un homme, face au Père Noël
Cueille le jour présent sans t’inquiéter ni du jour ni de l’heure de ta mort et sans t’encombrer des crédulités colportées pour le jour à venir
Déconfinement en vue ?
“Longue-vue, oh ma longue-vue,
dis-moi « pas dix mois » ?!
« Carpe diem, quam minimum credula postero » :
« Cueille le jour présent sans t’inquiéter ni du jour ni de l’heure de ta mort et sans t’encombrer des crédulités colportées pour le jour à venir » (traduction personnelle de Horace, À Leuconoé dans Odes, I, 11, 8, 22 aCn).
« Vis comme si tu vas mourir demain.
Apprends comme si tu vis éternellement » (Gandhi)
Une tuile ? L’art de s’adapter…
Posté le 16/3/2020 : France et Belgique entrent en confinement…
Un feu à allumer, plutôt qu’un vase à remplir
Bonne session d’examens.
Tous mes vœux, mon gamin !
Début juin 2020
« Former les hommes, ce n’est pas remplir un vase, c’est allumer un feu » (Aristophane).
« Éduquer, ce n’est pas remplir des vases mais c’est allumer des feux » (Michel de Montaigne).
« L’enfant est un feu à allumer, pas un vase à remplir » (François Rabelais).
La citation originale semble de Plutarque :
« Car l’esprit n’est pas comme un vase qu’il ne faille que remplir. À la façon du bois, il a plutôt besoin d’un aliment qui l’échauffe, qui fait naître en lui une impulsion inventive et l’entraîne avidement en direction de la vérité » (Plutarque, Comment écouter, traduit par Pierre Maréchaux, Rivage poche n°150, p. 67).
L’amour intense vers quelle évidence ?
« Aimer savoir est humain,
savoir aimer est divin »
(Joseph Roux, Les pensées, notes et réflexions, 1866).
« Je sais que sur les vœux on n’a point de puissance,
Que l’amour veut partout naître sans dépendance,
Que jamais par la force on n’entra dans un cœur,
Et que toute âme est libre à nommer son vainqueur »
(Molière, Le Misanthrope, 1666).
Molière le misanthrope, aide-moi !
Maux-lierres, la mise en strophes est-de-moi !