Il y a de simples et ingénieux petits changements structurels qui améliorent la vie quotidienne, comme ajouter des étagères murales libérant de l’espace au sol et rendant les objets plus accessibles.
Tes trucs à toi pour améliorer tes espaces de vie ?
En ayurvéda, la cannelle est utilisée pour renforcer le feu intérieur, et à partir de là, la passion et la libido sexuelle… Dans l’autre antique médecine, la chinoise, la cannelle est réputée tonifier et augmenter la vitalité en stimulant la circulation sanguine et l’irrigation des organes. Son parfum, son arôme chaud, son goût intense et légèrement sucré offrent de plaisantes sensations qui énergisent les papilles et éveillent les sens.
En outre, la cannelle favorise une meilleure digestion et contribue à brûler les graisses. Elle aide à stabiliser le taux de sucre dans le sang, ce qui évite les pics d’insuline responsables des fringales. Cette régulation de la glycémie aide à réduire les envies de sucre, l’envie de grignoter. Coupe-faim naturel idéal entre les repas…
L’Antarctique semble un désert blanc, glacé et inerte. À vrai dire, son côté occidental est posé sur une des chaînes volcaniques les plus denses de la planète, avec au moins 138 volcans (dont certains s’élèvent à plus de 4000 mètres, entre leur socle rocheux et leur sommet). Ils échappent à notre vue sous les kilomètres de glace qui les recouvre…
À part quelques exceptions (comme le Mont Erebus, situé sur l’île de Ross, avec son bouillonnant lac de lave), ils sont plutôt dormants en ce moment. Mais si une éruption volcanique venait à faire fondre toute la calotte glaciaire de l’Antarctique occidental, le niveau des océans monterait d’environ 3 mètres. À vos maillots, matelots !…
« Comme un flot grossi par la fonte des glaciers grondants, quand l’eau de ta bouche remonte au bord de tes dents, je crois boire un vin de Bohême, amer et vainqueur, un ciel liquide qui parsème d’étoiles mon cœur ! » (Charles Baudelaire, Le Serpent qui danse, section de Spleen et idéal, dans Les Fleurs du Mal).
Embrasser de toute la langue langoureusement = « rouler une pelle », qui dérive de « peloter » (« caresser avec insistance ») « rouler un pélot (ou palot) » « rouler une pelle ».
« Mais toi, tu manques à l’appel, ma vieille branche de campagne ! » (Brassens dans la chanson Auprès de mon arbre, déplorant cette amitié perdue, ce temps révolu, cet ancrage intime qui s’étiole).
L’expression « ça se goupille bien » signifie que quelque chose s’arrange ou se déroule de manière favorable, de façon réussie ; « ça se goupille mal » = les choses tournent mal.
Le terme « goupille » provient à l’origine du nom de l’animal rusé, le goupil (renard), et par extension, le verbe « goupiller » signifiait à l’origine « arranger habilement, combiner » puis « ruser, manigancer ». Viendra ensuite le sens technique de la goupille avec laquelle le mécanicien fixe deux pièces ensemble.
Le goupil n’est autre que le renard. ‘Goupil’ était le terme normal. Le mot renard vient du nom propre « Renart », personnage principal du célèbre Roman de Renart, une série de récits satiriques écrits il y a 800 ans. Ce personnage a été si populaire que son nom a fini par remplacer le mot ‘goupil’ dans la langue française ! Fameuses ruse et furtivité, n’est-il pas ? Faut pas faux pas, n’est-ce pas ?
M’est avis que la grêle est créée dans les laboratoires secrets du lobby des carrossiers.
« Moi, je dis qu’il existe une société secrète avec des ramifications dans le monde entier, qui complote pour répandre la rumeur qu‘il existe un complot universel » (Umberto Eco, Le Pendule de Foucault).
Dans la Bible, bien mieux qu’une histoire sur la création du monde physique, la Genèse nous invite notamment à suivre ce Dieu qui sépare et ordonne, pour sortir du chaos. La première action divine est de séparer la lumière des ténèbres, séparer ce qui éclaire de ce qui égare, distinguer le vrai du faux, clarifier, ordonner et discerner en mettant de la lumière là où c’est confus.
La téléréalité a accouché d’une ‘infoman’ = titre d’une émission ‘infotainment’, mélangeant les séquences informatives et divertissantes, où nous avons à discerner et distinguer une nympho d’une info !
Sans nous la péter, nous filons à 107.000 kms/heure. Kepler est le premier à avoir capté l’indice-pensable : indispensable est cette vitesse pour rester sur notre orbite solaire. Moins vite, nous serions attirés par le Soleil jusqu’à avoir toujours plus chaud et finalement nous écraser en lui ; plus vite, nous quitterions notre orbite en nous en éloignant et en frissonnant toujours plus.
Même chose pour les autres planètes. Ainsi, Vénus qui est à seulement 108 millions de kilomètres du Soleil (plus proche de lui que la Terre) joue l’équilibriste cosmique à 125.000 kms/heure (225 jours par an), pour garder son orbite… Cette danse orbitale est la même pour tous les satellites terrestres. Plus ils sont proches de nous, plus ils vont vite pour rester en orbite. Par exemple, les satellites GPS qui sont en orbite moyenne (+/- 20.000 kms d’altitude) tournent à environ 14.000 kms/h.
Ce qui était tenu pour vrai hier peut apparaître faux demain, même en science !
Ce qui est vrai ici ne l’est plus là-bas.
Ce qui est sensé ici (par exemple dans la cheminée de l’illustration) a un autre sens là (dans le pot d’échappement).
Vivent les vérités bien situées dans leur contexte, n’en déplaisent aux Ultramontains (au-delà des Alpes), tel l’abbé Gaume qui écrivit « Le ver rongeur », en lançant l’offensive contre les Gallicans. Attention aux vérités définies de manière centralisée à prétention universelle.
Le Vivant ne nous montre-t-il pas un autre chemin, celui du déploiement organique plein de respect de chacun ? Dans la nature, chaque espèce, chaque organisme, chaque cellule s’épanouit selon sa propre logique. Et pourtant, c’est cette prolifération du singulier qui crée des équilibres globaux, des écosystèmes, des lois biologiques universelles.
L’hêtre ne cherche pas à ressembler au baobab et il ne devient pas universel en l’imitant. C’est en se déployant soi-même que tous deux contribuent à la symphonie du vivant.
Quelle bonne nouvelle : c’est en vivant pleinement ma propre expérience concrète que je peux savourer la beauté de l’universel. C’est à travers le respect de chaque personne dans sa singularité que nous pouvons ensemble goûter à l’universel qui nous unit. C’est aussi la manière de faire de Dieu dans la Bible : se révéler dans l’histoire, dans des visages, dans des lieux, pas dans des idées désincarnées. Et, en Genèse 12, 1, il montre qu’Il sauve l’humanité, un cœur à la fois.
Dans un monde qui cherche souvent à uniformiser, à standardiser, à globaliser, le Vivant nous rappelle que l’unité ne vient pas de la ressemblance, mais de la danse entre différences.
L’universel n’est pas un sommet imposé d’en haut que l’on pense abstraitement. C’est une plaine fertile, nourrie par les racines du particulier, que l’on touche de ses pieds et de ses mains, de ses racines et de ses ailes.
Parmi les figures de style, l’homéotéleute (du grec homoios : « semblable » et teleutê : « fin ») consiste en la répétition d’une même terminaison phonique (syllabe ou son) à la fin de plusieurs mots proches dans une phrase. D’autres parleront d’homéoptote. Exemple : « Elle pue le service, l’office, l’hospice » (Balzac).
« Un jour de canicule sur un véhicule où je circule, gesticule un funambule au bulbe minuscule, à la mandibule en virgule et au capitule ridicule » (Queneau, Exercices de style, 1947).
À côté de l’homéotéleute (répétition de phonèmes ou de syllabes finales), se tiennent l’allitération (répétition de consonnes : « le vent violent vibre dans la vallée vide » ; « un chasseur sachant chasser doit savoir chasser sans son chien » ) et l’assonance (répétition de voyelles : « là-bas, la vague s’abat » ; « où roule la houle, tout coule sous la voûte des moules » ; « dans la brume, murmurent les murs plus obscurs que mûrs »).