Image : fécondation
franco-allemande ?
Catégorie : Humour
De ouf
Définition de « de ouf » :
1) Tout à fait, d’accord.
2) Vraiment, beaucoup, bien.
Exemple venant de Chloisdead :
« La journée j’suis fatiguée de ouf
mais vas-y, 20 h passée
et j’suis en pleine forme,
j’commence à être soulée ».
« De ouf » vient du
verlan « de fou » ;
c’est fou, hein ?
Enfance-présence
« L’enfant trouve son paradis dans l’instant.
Il ne demande pas du bonheur,
il est le bonheur »
(Louis Pauwels ; j’ai changé ‘L’enfance’ en ‘L’enfant’).
Tout pile :
Un petit rien, morceau de tout
« Je ne suis rien, je le sais,
mais je compose mon rien
avec un petit morceau de tout »
(Victor Hugo, Le Rhin, lettres à un ami, Lettre XXVIII).
La grande Gaule
Trois citations du Général de Gaulle
sur la grandeur de la France :
« La France choisit le chemin nouveau […] S’il existe encore des Bastilles, qu’elles s’apprêtent de bon gré à ouvrir leurs portes. » (Discours d’Alger, 14 juillet 1943).
« J’entreprendrai […] de faire changer, partout où il le faut, des structures étroites et périmées, et ouvrir plus largement la route au sang nouveau de la France » (Allocution radiotélévisée en plein mai 1968).
« La grandeur est un chemin vers quelque chose qu’on ne connaît pas » (Les Chênes qu’on abat, avec André Malraux, 1971).
L’eau en vin pas en vain ?
Pierre Dac a dit :
« J’aime le vin d’ici mais pas l’eau de là.
Et au cas où la vérité se trouve dans le vin,
qu’elle y reste ! »
D’ac avec votre ami Dac côté ?
Quand tu peux changer l’eau en vin,
facile d’avoir 12 gars qui te suivent partout ?!…
Festival de Cannes
« Tous les ans, au Festival de Cannes, les
vedettes impalpables quittent la pellicule
et s’offrent au regard des mortels »
(Edgar Morin, Pour une politique de civilisation).
« Le palais des Festivals à Cannes, c’est
un endroit où on applaudit les toilettes
avant d’aller se faire chier »
(Laurent Ruquier, Je ne vais pas me gêner).
« À Cannes, j’ai connu la fin de l’âge d’or.
On est entré dans l’âge des Assedic »
(Pascal Thomas, Le Grand Appartement).
Elle visse, the king!
Charlie three : « Même quand Elles-vissent, Presse-les ! »
Below British humour in front of the Americans…
Nostalgie d’inachevée
« J’ai le sentiment de ne pas vivre
vraiment, mais seulement exister.
Je porte en moi une sorte de nostalgie
que je n’arrive pas à décrire,
la nostalgie de quelque chose
qui semble perdu. J’ai l’impression
de m’être arrêtée quelque part,
d’avoir une part de moi inachevée »
(Sabine Kuegler, L’enfant de la jungle).
« Les chasseurs gravent sur leurs flèches des signes permettant de les identifier. C’étaient parfois de véritables œuvres d’art. Mais leur beauté ne les empêchait pas de faire beaucoup de mal » (idem).
Les têtes couronnées nous font rêver et chanter
Rêvons :
« Moi, dit la cathédrale, je voudrais être coureur à pied
pour pouvoir lâcher mes béquilles.
Moi, dit le pont, je voudrais être suspendu
pour pouvoir sauter à la corde.
Moi, dit l’imagination, je voudrais être riche
pour pouvoir emmener l’Anselme en vacances.
Moi, dit le Seine, je voudrais être mer
pour avoir des enfants qui jouent dans le sable »
(Jean L’Anselme, Il fera beau demain, 1952).
Charles 1er nous a déjà tant fait rêver :
« Qui a eu cette idée folle un jour d’inventer l’école?
C’est ce sacré Charlemagne, sacré Charlemagne,
de nous laisser dans la vie, que les dimanches, les jeudis
C’est ce sacré Charlemagne, sacré Charlemagne
Ce fils de Pépin le Bref nous donne beaucoup d’ennuis
Et nous avons cent griefs contre, contre, contre lui… »