« Vous vous rappelez, à l’époque, avant internet ?
On pensait que toute cette stupidité collective
était due à un manque d’accès à l’information.
Bon ben ! c’était pas ça… ».
Source : lu sur le net (c’est tout dire !).
Catégorie : Humour
Indéfinissable ?
Dans le dictionnaire, je suis tombé sur le mot
« Indéfinissable ». Et y avait une définition !
Ils se paierait pas notre tête ?
Peau lithique
« Mon cher, quel que soit le système politique,
les hommes de pouvoir sont toujours des parleurs »
(Georges Duhamel, Vie et aventures de Salavin).
« Il ne faut pas jouer avec la langue française.
Personnellement, jeu de mots-torise
aucun calembour » (Grégoire Lacroix).
Circulez, tambourins, il
n’y a aucun bal-en-cours !
Étrange lutin aux portes du matin
« Mon cœur s’est dérouté dans un flot d’impatience.
Ce n’est qu’un orphelin perdu de toute attente.
Il recherche toujours ce qu’est la délivrance
Mais il garde l’espoir qu’un ange se présente.
Quel est donc ce démon, cet étrange lutin
Qui ose réveiller et tourmenter mon âme ?
C’est la déclaration par cette puissante flamme
Qui caresse mon corps aux portes du matin.
Ressentir cet amour, l’émoi qui m’émoustille,
Fredonnant un air sain dans le courant amer
D’un regard passionné lorsque son sens pétille.
C’est au creux de ces vagues, des vents et de la mer
Que j’apporte des fleurs en bouquet, en couronne,
Afin d’y achever cette vie monotone »
(Sylvie Souaidet, Ange ou Démon).
Abayas / Abba ya…
« Pharisiens, vous purifiez l’extérieur de la coupe et du plat, mais à l’intérieur de vous-mêmes vous êtes remplis de cupidité et de méchanceté. Insensés ! Celui qui a fait l’extérieur n’a-t-il pas fait aussi l’intérieur ? Donnez plutôt en aumône ce que vous avez, et alors tout sera pur pour vous. Malheur de payer la dîme et de se mettre en ordre avec la loi, en passant à côté du jugement et de l’amour de Dieu » (Évangile de Luc, 11, 39-42).
Vivent les belles abbayes de France : Abba-yes !
‘Yes’, c’est ‘ya’ en néerlandais : Aba-ya !
CQFD déshabilla :
des abbay à
des abayas…
Deux pis panthères
Connaissez-vous cette énigme à résoudre ? (Mon père la posait à qui mieux mieux et à l’envi, dès qu’il rencontrait de nouvelles connaissances.)
Tu survis à un crash d’avion dans le désert dans lequel rôdent des panthères. En plus de tes habits, tu n’as sur toi qu’un fusil et deux cartouches. Tu es un grand fumeur de pipe. Or, tu n’as ni pipe, ni tabac. Comment tu fais ?
Solution : tu mets une cartouche dans ton fusil, tu vises une panthère ; la vache ! tu la tues. Tu vas chercher la panthère, tu la prends par la queue et tu lui fais faire un cercle autour de ta tête.
Comment calcule-t-on la circonférence, le périmètre de ce cercle ?
2πR : deux fois pi fois le rayon. Ici, le rayon, c’est la panthère ;
donc, 2 pi panthère.
Tu prends une des 2 pipes en terre, tu la broies et tu fais deux tas :
un tas haut et un tas bas. Tu bourres la deuxième pipe avec le tabac.
Tu mets la deuxième cartouche dans le fusil, tu vises encore une panthère,
tu tires et tu la loupes ! Avec la loupe et un tel soleil, tu allumes la pipe !…
CQFT, ce qu’il fallait trouver…
Bretton Woods & Breton Pont
Les BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) contestent de plus en plus le système mondial articulé autour du dollar.
Dès juillet 1944, avant d’en finir avec les Nazis, avant de créer une ONU (+ une organisation monétaire mondiale, etc.), les accords de Bretton Woods (ville aux États-Unis) ont décidé du système financier mondial, au terme de 21 jours de négociation. Le plan Keynes de 1941 avait imaginé un système monétaire mondial fondé sur une unité de réserve non nationale : le bancor. Mais les Américains ont tellement insisté sur le rôle-pivot du dollar américain que, finalement, le système a été organisé autour du dollar américain (avec un rattachement nominal à l’or). La Pax americana commença, au grand dam des Russes…
Je passe de l’âne au coq : bon courage, chers voisins, chers Français, avec cette canicule…
Les foudres, épées du ciel et-paix sur terre ?
Il paraît que les pets de Damoclès
peuvent vous tomber dessus,
pire que laid P / lait-paix / l’épais nuage ?
Les foudres, l’épée du cie l-et-paix sur terre ?
Reproduction interdite
Je n’ai jamais compris l’utilité de préciser
« reproduction interdite » dans les musées.
Ça va quoi, on n’est pas des bêtes non plus !…
Adolescence
« Jeune fille, laissez-moi vous offrir cette rose
Que j’ai cueillie ce matin en pensant à vous.
Voyez comme est jolie cette nouvelle éclose :
Elle a votre fraîcheur et le teint de vos joues,
La rondeur de vos lèvres vierges de baisers
Et un doux parfum qui ne laisse d’envoûter.
Comme vous, elle attend pour dévoiler son cœur
Le rai de soleil qui viendra la caresser.
Si vous êtes pour l’instant une tendre fleur,
Belle enfant, vous régnerez au jardin du bonheur
Sitôt que vos pétales seront déployés
Et votre fragrance librement diffusée.
Sachez que d’aucuns aiment à papillonner.
Gardez-vous qu’un vil ne vienne vous butiner
Car la rose est tant fragile que séduisante,
Les larmes de pluie ont tôt fait de la faner.
Je serais marri de vous voir un jour pleurer
Le triste envol de vos rêves d’adolescente.
Vivez, charmante, sans jamais perdre le sourire,
Vivez la beauté qui saura s’épanouir
Et fleurissez en grâce et en félicité,
Telle la rose qu’un vieil homme vous a donnée »
(Hélène de Vannoise, Adolescence).